Révisions

2 minutes de lecture

Dans le couloir rectiligne d’une école, des élèves se dirigent dans leurs classes perpendiculaires au couloir. Dans le sens du flot des élèves, les salles de classe sont à gauche et de grandes fenêtres sont à droite où l’on peut voir de la verdure, des arbres ou des buissons. Les élèves d’une des classes, peut-être la plus éloignée de toutes, la plus proche de l’extrémité du couloir, rentrent par l’une des deux voies d’entrée, celle de droite qui est en direction oblique de l’autre porte et du couloir. Cette porte transversale donne vers une sorte de vestiaire où la véritable entrée de la classe est au fond à gauche. Droit devant, se trouvent peut-être deux portes, menant éventuellement à deux toilettes. Le vestiaire ne laisse pas beaucoup passer la lumière. Les élèves entrent et occupent leurs places constituées en îlots de tables dans la salle plus éclairée par de grandes fenêtres menant possiblement vers une terrasse avec plus loin de la végétation ou une forêt. Un élève suit le cours à une place proche du fond avec les fenêtres en faisant face aux deux portes d’accès de la salle. Le tableau est face à lui ou sur la gauche tandis que le professeur homme ou femme est face à lui ou sur la droite. Le garçon n’arrive pas à suivre la leçon, est désemparé devant des cahiers qui sont les siens ou ne semblent pas l’être et l’inquiétude commence à le gagner. La leçon se termine, les élèves vont à la cantine ou profitent de la pause du déjeuner. L’élève inquiet, au cours de la pause, se trouve en train de descendre des escaliers face auxquels se trouve une entrée vers la cantine traversée perpendiculairement par un couloir avec des casiers. Une élève s’y trouve, blonde ou autre, belle, apparemment intelligente d'après ses possibles bons résultats scolaires, que le garçon a suivi, cherchait ou a trouvé par hasard. Le garçon court vers elle, se jette sur les cahiers quelle porte sur elle, essaye de les lui arracher des mains mais ne semble pas avoir la force ou l’envie de tirer suffisamment fort pour se les approprier violemment. Le garçon supplie sa camarade de classe de les lui laisser, insiste. L’élève ne cède pas, est légèrement perturbée, apeurée par la demande du garçon mais lui résiste. Deux amies environ de la fille remarquent la scène et s’approchent. Le garçon semble sur le point de pleurer parce qu’il n’a pas réussi à suivre la leçon et qu’il n’a pas ses cahiers, ce pourquoi il essaye d'obtenir ceux de la fille pour les recopier ou car ce sont les siens. Ne réussissant pas à récupérer les cahiers de sa camarade de classe, le garçon s’enfuit la peur au ventre en courant plus bas dans les escaliers.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 3 versions.

Vous aimez lire L'Insaisissable ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0