Stupéfiants
Dans des bureaux qui pourraient très bien ne pas appartenir à la police, un ou une policière arrive en sortant d’une réunion ou d’un entretien avec éventuellement ses supérieurs. Il ou elle rencontre son équipière apparemment plus jeune du moins plus douce dans son caractère qui peut être en uniforme et d’autres collègues sont un peu plus à l’écart. L’équipière semble s’inquiéter pour son ou sa partenaire qui n’est pas en uniforme et qui paraît avoir le regard au moins légèrement dur ou en colère. Il est possible qu’un lien plus fort existe entre les deux équipiers ou équipières. Le ou la policière au regard dur quitte l'endroit. Plus tard, elle se retrouve en un lieu approximativement désert au sens climatique du terme, un endroit où ne se trouve pas beaucoup de végétation qui peut s’expliquer par l’urbanisation environnante mais aussi par la chaleur du soleil frappant fort le sol et déformant l’horizon. La terre est sèche, de la poussière et du sable recouvrent l’espace environnant de leurs couleurs ou volent au passage du vent, d’une vibration ou simplement dans l’atmosphère. Si l’on peut comprendre que l’endroit se trouve à l’intérieur d’une immense mégapole au vu des nombreux bâtiments tout autour et l’activité rageante de la ville, le ou la policière avance à pied dans ce qui semble être une sorte de terrain vague où se trouve à sa droite un tunnel ou un pont routier où le trafic paraît néanmoins assez intense. Une voiture à l’arrêt au moteur éteint se trouve sur la droite un peu avant l’entrée du tunnel ou sous le pont. Le ou la policière est vêtue de noir, sombrement ou avec un pull à capuche qu’elle porte sur la tête comme pour cacher son visage et son identité car on ne semble pas distinguer si c’est un homme ou une femme. Il ou elle garde ses mains dans la ou les poches du pull comme pour les cacher ou disimuler un objet. Son allure est plus celle d’un délinquant que d’une policière ce qui peut constituer le but recherché car il est possible que des personnes de ce genre soient présentes et l’endroit n’est pas fréquentable. La policière assomme un à un les éventuels truands libérant ainsi son passage ou déplace la voiture dans le tunnel sous le pont, y met le feu et part vers l’autre sortie. La voiture explose et la cocaïne à l’intérieur aussi ainsi révélée. Cachée sous la capuche de son pull, la femme est heureuse d'avoir mené à bien son action alors que la police arrive sur les lieux sans faire attention à elle à cause du feu et de la cocaïne.
Annotations
Versions