Espions
Lors d’un mariage dans la propriété avec un grand jardin d’une luxueuse villa en pierres claires comptant des invités élégamment vêtus pour l’occasion ou la fête en général, plusieurs personnes agissent autrement que pour l’événement. Un homme en veston-cravate aux manières également raffinées rappelant celles d’un lord anglais qu’il est probable qu’il soit discute ou se fait aborder par quelqu'un de possiblement américain dans une tenue semblable mais légèrement plus décontractée à l'image de son caractère auprès du noble anglais. Une certaine rivalité lie les deux hommes comme celle de leurs pays ou pour d’autres raisons qui concernent les affaires et les femmes. L’Américain se moque de l’Anglais par ses plaisanteries. De belles et ravissantes femmes dans leurs magnifiques robes semblent néanmoins distraire ces hommes et le plus espiègle des deux en particulier, qui abandonne son ami ou rival. Un invité apparemment écossais aux cheveux gris en uniforme d’officier ou général de l’Armée britannique rôde également au cours de ces festivités. L’Anglais qui observe les tableaux de la villa est rejoint par une femme à sa gauche dont les charmes laissent imaginer la douceur d’une biche à cause de sa chevelure châtain sage et abondante qui caresse sa robe aux couleurs chaudes de la forêt. Les deux se connaissent ou par leur travail semblent se reconnaître et la femme moqueuse contemple un autre tableau, imaginant déjà l’échec de son voisin. L’homme en uniforme de général s’approche d’eux, s’arrête en observant éventuellement importuné le tableau devant lequel se trouve l’Anglais, puis retire un objet de l’arrière de la toile et le place dans un sac de femme qui se trouvait dans les mains du lord, sa consœur ou entre eux deux. L’Écossais part ensuite sans avoir dit un mot. La femme se moque encore de lui et rit franchement tout en gardant un air convenable face à l’échec de son voisin. Celui-ci n’en revenant pas, choqué par ce qui vient de se passer, ne comprenant pas comment ce général qu’il ne connaît pas ou ne reconnaît guère plus pas leur travail, a pu découvrir le stratagème et un début de peur s’installe en lui, de la déception ou de la frustration. Pour sa sécurité ou mieux atteindre son objectif, l’Anglais retire un second objet situé derrière la toile sous le premier que l’Écossais vient d’enlever. Surprise par cette aptitude, la femme qui n’en croit pas ses yeux cesse les moqueries combien elle sent qu’il vient subitement de la surpasser. Celui-ci passe derrière sa voisine alors qu’il quitte la pièce et se rend ailleurs en montant éventuellement un grand escalier dans ce repaire d’espions.
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