Un vieux magicien en tenue blanche comme ses longs cheveux et longue barbe avec un sceptre ou un bâton dans les mains se bats sur une sorte de plateforme rocheuse de montagne contre un autre magicien en armure sombre qui ne permet pas de voir son visage. Le premier lance des boules de feu à son opposant, échange des coups physiques et ce faisant la plateforme semble s’effondrer du moins en partie, séparant les deux magiciens en une sorte de pont effondré qui donne sur une porte où il peut sauver quelqu’un. Sur le flanc de la montagne, une porte prend feu d’où sortent le magicien et le jeune homme qu’il a sauvé. Le magicien surexcité se bat ensuite contre deux gardes qui bloquent une entrée à même la montagne en utilisant des boules de feu ou le bâton et peut-être fait-il même un doigt d’honneur derrière son dos. Le combat fini, le jeune homme ouvre la porte pour se retrouver dans une sorte d’hospice ou temple où la lumière sombre est beaucoup plus faible qu’à l’extérieur et où sont amassés, entassés des gens, des malades, hommes, femmes, enfants, vieillards, dont pour certains ou même tous il est difficile de savoir s’ils sont vivants. Peut-être y a-t-il même des ossements eux-mêmes dans le même état que les malades et parfois brisés. L’endroit paraît délabré, les gens dorment sont allongés à même le sol sur des paillasses, des couvertures ou les ont sur eux si toutefois ils en ont. Un ou une malade à terre lève le bras en direction du visiteur qu’il ou elle a remarqué. Bien que surpris par l’endroit, le jeune homme ne fuit pas le ou la malade qui n’arrive de toute façon pas à l’attraper. Le rescapé avance vers l’espèce d’autel droit devant ou sur la gauche où semble se situer une sorte de petit bar, cafétéria, lieu de restauration qui comporte un distributeur de boissons de marques célèbres ou locales et plus encore sur la gauche se trouve une espèce de pharmacie du moins une armoire dédiée dans laquelle se trouvent divers liquides colorés. Un jeune homme ou une jeune femme aux cheveux courts et en bonne ou meilleure santé accueille le voyageur souriante et offre son assistance. En observant un peu autour de lui et la serveuse, barmaid, prêtresse, pharmacienne ou médecin, le jeune homme soupçonne les boissons du distributeur de contrefaçon. Ses doutes semblent se confirmer en voyant les marques affichées. Il obtient une ultérieure confirmation lorsqu’il compare les boissons dans le distributeur aux liquides dans l’armoire à pharmacie qui ont les mêmes couleurs. Dans le choc de ces révélations, il s’écrit à lui-même au sujet des contrefaçons espérant que l’on dissipe ses doutes. La jeune femme dévouée confirme le caractère contrefait des boissons. Le voyageur inquiet commence à s’agiter du fait de son incrédulité. La jeune femme, sans mentir à son jeune visiteur, lui répète la vérité tout en le calmant de sa voix douce.