Cinquième histoire: Alors ça va... (26 Octobre 2021)
Cette soirée commençait sérieusement à m’ennuyer à mort. J’avais passé mon temps au minibar à prendre des verres d’alcool toute la soirée sans que personne ne vienne m’aborder ou même me regarde. C’était une soirée masqué pour l’halloween, donc, tout le monde portait des masques, cachant leur visage. Cependant, certains d’entre nous avaient voulu y rajouter un petit quelque chose, une touche personnelle, comme moi, par exemple. Sous mon masque, j’avais un maquillage de squelette mexicain et avait remonté mes cheveux en chignon sur ma tête et j’y avais mis plusieurs vraies roses rouges en travers pour faire le look que je désirais avoir. Pour le reste, je portais une robe noir courte, très chic.
Les hommes et les femmes avaient tous trouvé un partenaire avec qui discuter et danser durant cette soirée d’halloween.
Le fonctionnement de cette fête se déroulait avec des gens de bureau. C’est-à-dire, le patron d’un certain bureau de la compagnie avait organisé cette soirée, on ignorait qui c’était et les personnes travaillant dans plusieurs bureaux de cette même compagnie, diriger par cet homme, s’étaient pointé chez lui et nous devions apprendre à faire connaissance. Nous n’étions pas obligés de participer, mais dans mon cas à moi, c’était l’occasion parfaite pour trouver quelqu’un à qui parler. Voyez-vous, je suis le genre de fille qui attire très facilement les hommes avec ma beauté rare, sans vouloir me jeter des fleurs, et avec ma façon de les aborder. Pourtant, voilà que ce soir, pratiquement tout le monde avait trouvé quelqu’un, et que moi, je cherchais toujours ma proie. Était-ce la robe qui n’était pas assez jolie, pas assez classe pour les hommes ici? Ou alors peut-être que le maquillage était de trop?
Sincèrement, j’aurais pensé bientôt à partir de cet endroit, jusqu’à ce que je fis la remarque de ce très beau jeune homme plus loin dans une conversation entre plusieurs personnes, autant des hommes que des femmes. Il ne devait pas avoir encore trouvé quelqu’un en particulier avec qui passer la soirée. Il était grand, mince, portait un veston et une cravate et était tout à fait mon genre d’homme, point final. Toujours est-il que, avant de me lever pour aller le voir et lui parler, je devais absolument passer à la salle de bain et me refaire une beauté. Je me levai de mon siège du minibar et me faufila parmi les gens pour me rendre à la salle de bain. Elle n’était pas prise, c’est pourquoi je me suis permise d’entrer. Je retirai mon masque et regarda l’état de mon maquillage. J’avais apporté ce qu’il me fallait dans mon sac à main au cas où j’en aurais besoin. Je corrigeai les quelques petits défauts et le tour était joué. Je remis mon masque correctement puis en voulant sortir de la salle de bain, j’arrivai face à face avec deux personnes, un jeune homme et une jeune femme. Ils furent surpris de me voir là, mais essayait de paraître le plus normale possible.
- Oh, excusez-nous, me dit la femme avec un sourire, mais cachant très mal son malaise.
Elle savait que je savais ce qu’ils allaient fabriquer dans la salle de bain. Je passai à côté d’eux en leur remettant un sourire puis je suis retournée au beau milieu de la fête.
Il était toujours présent, sirotant son verre avec les autres. J’avais une technique pour attirer son attention, sans que ce soit moi qui fasse le premier pas. Habituellement, ça fonctionnait, alors j’allais essayer avec lui. Je me faufilai encore parmi d’autres personnes et j’avais l’œil sur quelqu’un avec qui je pourrais entrer en collision, juste à côté de ce garçon. Je marchai d’un pas décidé vers cette personne, un autre garçon, trop mince à mon goût et trop jeune, qui tenait un verre dans ses mains et qui n’avait pas du tout l’attention devant lui, discutant avec une autre personne qui l’accompagnait. Celui-ci me fonça dessus et renversa de sa boisson sur ma robe noire.
- Oh bon sang! fit-il.
Bien sûr, ce petit incident attira le regard de plus d’un, dont celui de l’homme que je voulais justement attirer.
Ce dernier se sentait sincèrement mal de m’avoir renversé sa boisson sur ma robe. Il ne savait pas comment se faire pardonner. La fille à côté de lui le dévisagea, attendant à ce qu’il s’excuse auprès de moi.
- Je… je suis vraiment désolé, me dit-il.
Je regardai l’état de ma robe. Ce n’était qu’une tâche foncée, rien de vraiment grave. Ça pourrait sûrement partir avec un peu d’eau.
- Oh, ce n’est rien, dis-je avec un sourire. Cette robe m’a bien coûté une fortune, mais au moins, personne n’est blessé.
- Ouais, répondit le garçon responsable, paraissant trouver ma réaction un peu étonnante.
- Avec de l’eau ça devrait partir, dis-je en prenant la direction du bar.
- Vraiment désolée! répéta la femme.
Je retournai m’assoir au bar et demanda au serveur présent de me servir un verre d’eau.
Sans jeter un coup d’œil derrière moi, je savais qu’il me fixait, cet homme que j’avais choisi comme étant ma cible. Le serveur me remit un verre d’eau puis je le remerciai.
Avec mes doigts et un peu d’eau, je frotta la tâche sur la robe, espérant quand même que ça partirait. Je n’avais pas mentit en disant que cette robe m’avait valu cher.
- Salut, me dit soudain une voix masculine.
Je levai la tête et le vis, juste devant moi, avec son sourire radieux.
- Salut, lui dis-je tout en me remettant à frotter le tissu de ma robe.
- Alors ça va?
- Ouais, ça va bien, mis à part ce petit incident, dis-je en lui désignant la tâche sur ma robe.
- Ouais, j’ai vu ce qui s’est passé.
J’attendais qu’il demande à rester avec moi au bar. Comme je l’aie mentionné, c’est lui qui devait faire les premiers pas. Je préférais que ça se passe ainsi.
- Dit, ça ne t’ennuie pas si je reste avec toi?
Je relevai la tête avec un grand sourire, ce qui lui donna une idée que ça ne me dérangeait aucunement.
- Bien sûr que non.
Il se permit de s’assoir à côté de moi et déposa son verre sur le comptoir. À cet instant, j’arrêtai de me battre avec ma robe et préféra entamer une conversation avec ce cher jeune homme qui voulait parler avec moi.
- Alors, quoi de neuf? débuta-t-il la conversation.
- Rien de bien spécial. Je suis sûrement comme toi, seule et n’ayant pas trouvé encore une partenaire avec qui partager cette soirée.
- Enfin… je crois que c’est ce qu’on fait en ce moment.
- Je voulais dire avant ça.
- Sinon, comment tu t’appelles?
- Hope. Et toi?
- Cuthbert.
Ces fleurs dans mes cheveux commençaient à me fatiguer. J’en profitai pour repousser mes cheveux de mon épaule et retirer une par une les fleurs dans mes cheveux. Je vis du coin de l’œil que son regard descendait sur les courbes de mon corps. C’était exactement le résultat que je voulais. Les fleurs, j’aurais bien pu les endurer encore longtemps.
- Voilà, dis-je après les avoir tous enlevé. Elles ne me fatigueront plus.
Je lui fis un sourire. De son côté, il n’avait pas arrêté de sourire une seule fois depuis qu’il était venu me voir.
- Tu veux peut-être que je t’offre quelque chose?
- Ah non, merci. J’ai passé toute la foutue soirée au bar.
Je le vis réfléchir un moment à une autre solution. Moi j’avais bien des idées en tête, autre qu’un simple verre au bar.
- Je connais le patron qui a organisé cette fête, lui mentis-je.
- Vraiment?
- Ouais. Je suis déjà venu plusieurs fois ici, chez lui. Si tu veux, je pourrais te faire visiter un peu sa baraque?
C’était un homme milliardaire responsable de la fête, j’étais au courant, c’est pourquoi il avait un minibar dans son sous-sol et que la fête se passait ici.
- D’accord, répondit-il, sûr de lui.
- Très bien, dis-je en me mordant la lèvre inférieure.
Je me levai sans presse et il me suivit du regard. Je passai une main sur son épaule puis il se leva pour me suivre. Nous nous faufilâmes à travers tout le monde pour rejoindre l’escalier pour monter là-haut.
Une fois-là, la musique était plus loin derrière nous et je me sentais bien mieux dans cette ambiance.
L’escalier du sous-sol se trouvait à être entre la grande cuisine et le grand salon. En voyant ces pièces luxueuses, immense et très moderne, Cuthbert fût pratiquement sans mot.
- Ça alors, s’exclama-t-il. C’est… très luxueux.
- Il n’a que de l’argent, rien de plus, dis-je en cherchant l’escalier pour monter aux chambres à l’étage. Ce n’est pas tellement une personne exceptionnelle en dehors de cela.
Je trouvai l’escalier juste avant l’entrée du salon.
- Tu sembles bien le connaître.
Je montai sans l’attendre et il me suivit. L’escalier était interminable, et il menait bien aux chambres là-haut. Une fois dans le couloir, je regardai derrière moi pour m’assurer qu’il me suivait toujours. Il était là. Je m’arrêtai dans le haut des marches, et attendit qu’il passe devant moi. Il me regarda, passant de façon hésitante à côté de moi. Je l’empoignai par l’épaule puis le retourna vers moi puis je ne fus plus qu’à quelques centimètres de son visage. Il ne me repoussa pas. Il avait prédit que ça se produirait.
- Alors, tu es prêt à t’amuser un peu? lui dis-je à voix basse.
- Certainement. Je suis curieux de savoir ce que tu me réserves.
Sa main passa doucement sur mon épaule et ça me donna des frissons tout le long de ma colonne vertébrale. Il sauta ensuite sur mes lèvres. Bien évidemment, je répondis à son baiser avec encore plus de conviction. Ses lèvres se tâchèrent par mon maquillage. Rapidement, ses mains se retrouvèrent sur ma taille et il me serrait contre lui. Il descendit dans mon cou. Je l’arrêtai.
- Suis-moi, lui dis-je.
Je pris sa main et nous nous dirigeâmes vers la première chambre la plus proche et accessible. Il me prit alors dans ses bras dès entrer et il me déposa sur le lit de la chambre, que je n’avais même pas eu le temps d’observer tant l’excitation montait en moi. Il se positionna au-dessus de moi et il fit descendre la fermeture éclair de ma robe noir. Il retira ensuite les bretelles pendant qu’on s’embrassait. Il fit glisser ma robe pour me la retirer puis il la jeta par terre. Je passai une main sous son T-shirt et mon autre main s’empara de sa ceinture qu’il portait. Je la détachai vite fait puis le repoussa. Je lui montrai sa ceinture en la brandissant. Celui-ci me dévisagea, un peu perplexe par ce que je voulais faire avec ça.
- Attache-moi, lui dis-je.
- Quoi? dit-il en fronçant les sourcils.
- Attache-moi les bras, lui répétais-je en me rapprochant un peu plus de lui.
- Euh… je ne suis pas sûr de… de vouloir faire ça, dit-il en riant nerveusement.
Je haussai les épaules puis jeta la ceinture par terre.
- Comme tu voudras.
Je l’embrassai de nouveau. Je m’allongeai sur le lit puis il glissa sa main sous mes sous-vêtements et s’empara de mon intimité, ce qui me fit gémir. Je passai une main dans son dos puis enfonça mes ongles dans sa peau. Il poussa un cri de douleur à peine perceptible et s’arrêta pour me regarder avec tourment. Je lui souris.
- Enfin, ne t’arrêta pas en si bon chemin.
Un peu hésitant, il se reprit.
Je l’arrêtai après une minute où il en profitait pour me toucher. Il se retira de sur moi.
- Juste une seconde, lui dis-je.
Je me levai du lit et alla récupérer ma robe par terre. J’en sortis cet objet que j’avais amené exactement pour cette occasion. Je fis gaffe de ne pas lui montrer tout de suite et je me retournai vers lui et le cacha derrière mon dos. Il me regardait sans vouloir en savoir plus sur ce que j’avais. Cette fois, ce fût à mon tour d’être par-dessus lui. Je le poussa brusquement contre le matelas puis je l’embrassai avec passion, l’étouffant quasiment. Je l’entendis se plaindre puis j’arrêtai.
- Hey hey, doucement, me dit-il.
- Enfin, arrête de te plaindre, lui dis-je en détachant son veston.
Je détachai ensuite sa chemise blanche pour y dévoiler son torse.
- Ferme les yeux, lui dis-je.
De plus en plus incertain, il ferma les yeux quand même. Je sortis le couteau que j’avais amené avec moi. Je le fis glisser doucement sur son ventre. Il réagit au contact froid de l’objet et rouvrit les yeux pour regarder ce que je faisais. Je le sentis se redresser sous mon corps.
- Bon sang, qu’est-ce que tu fous avec ça!? paniqua-t-il.
- Ne t’en fait pas.
- Non, je suis désolé, je ne peux pas faire ça.
Il s’apprêta à me repousser pour se dégager de sous moi, pourtant, je marquai son ventre avec un geste brusque d’une croix avec le couteau. Il cria de douleur et je me suis mise à rire. Il réussit à me repousser sur le lit et il se leva d’un bond. Il renfila vite fait sa chemise et son veston tout en me dévisageant, effrayé. Son ventre s’était mis à saigner et tâchait ses vêtements. Moi, j’étais toujours étendu sur le lit, un sourire aux lèvres. Il quitta la chambre sans rien dire.
- Où est-ce que tu vas comme ça?! lui demandais-je. Ce n’est pas terminé!
Je me levai à mon tour sans presse du lit et enfila ma robe de soirée. Je lui avais fait assez peur pour qu’il déguerpisse d’ici avec sa voiture.
Je passai à la salle de bain pour corriger mon maquillage juste avant de partir moi aussi avec ma voiture. Avec un peu de chance, je pourrais peut-être le rattraper et on pourrait en rediscuter.
Nous avions quittés tous les deux sans prévenir. Je sortis à l’extérieur et vis que le véhicule de Cuthbert n’était plus là. Oui, je savais lequel était son véhicule. Je sortis mes clefs, débarra les portes de la mienne puis embarqua dans ma voiture. Je démarrai puis je suis parti.
Je savais exactement où il serait. J’avais tout prévu d’avance. Cette maison se trouvait au beau milieu de nulle part dans les montagnes, dans le Wyoming. De plus, il faisait nuit depuis quelques heures. Nous empruntions tous le même le chemin, alors je savais que j’allais le croiser sur ma route.
Ça faisait à peine 5 minutes que j’étais partit de la fête que je vis un véhicule de luxe sur le côté de la route, une Ferrari grise. En réalité, je savais que c’était sa voiture parce que depuis le tout début, il était celui que j’avais voulu comme proie, avant même de rentrer dans le domicile. Ce n’était qu’un jeu que je faisais en faisant semblant de chercher un homme qui n’avait pas de partenaire. Tout avait été organisé dans ma tête. Je le savais parce que c’était à cause de moi s’il était arrêté là, sur le bord de la route. J’arrêtai ma voiture derrière la sienne puis éteignis le moteur. Je sortis et ferma ma portière, me dirigeant vers son véhicule. Je l’entendais se plaindre alors qu’il ne pouvait pas repartir d’où il était. Il avait une crevaison. Parfait.
Sa vitre du côté conducteur était ouverte, c’est pourquoi je me penchai. Il sursauta en me voyant à côté de lui, surtout qu’il ne s’attendait pas à ce que ce soit moi.
- Seigneur! dit-il. Qu’est-ce tu fous ici? me demanda-t-il, assez mécontent et anxieux de voir que je l’avais suivit.
- Tu as de petits ennuies? lui dis-je, avec un petit sourire.
Il détourna le regard.
- Vraiment? Ça se voit tant que ça? dit-il sarcastiquement.
J’observai l’état de son véhicule. C’était bel et bien une crevaison à l’arrière, du côté gauche. Je souris, mais repris vite mon sérieux en revenant à lui.
- Je vais devoir appeler une dépanneuse, déclara-t-il en voulant sortir son téléphone de son veston. Je n’ai plus de roue de secours.
Je l’arrêtai.
- Oh, moi j’en aie une. J’ai tout pour changer cette roue, ça ira beaucoup plus vite, lui offris-je.
Il m’examina, vraiment incertain de vouloir me laisser faire un tel truc, ayant toujours le traumatisme de ce qu’il avait vécu dans cette chambre avec moi.
- Ne bouge pas de là, je vais chercher ce qui faut, lui dis-je, sans lui demander son accord.
Le but était qu’il reste dans son véhicule.
Je retournai vers ma voiture et ouvrit la portière arrière de celle du conducteur. Mon sac à main était là. Je
fouilla à l’intérieur et chercha au toucher la petite boîte que j’avais besoin. Je la trouvai et la sortir du sac. C’était une boîte d’allumette. Je refermai mon sac, claqua la portière puis me retourna maintenant à l’arrière pour ouvrir la valise et y récupérer un bidon d’essence. Mes deux armes en main, je retournai vers sa Ferrari en faisant gaffe de les garder derrière mon dos. Il n’avait pas bougé d’où il était. Je me penchai à nouveau vers sa fenêtre.
- Ça y est, j’ai tout.
- Très bien, me dit-il en détachant sa ceinture.
Je me penchai pour récupérer le bidon d’essence que j’avais déposé par terre, ouvrit le bouchon et pris la bouteille puis l’aspergea sans même qu’il le voit arriver. Sa main sur la poignée de la porte pour sortir, il la lâcha, saisit par mon geste. Quand il me vit avec ce bidon d’essence, je vis son visage se changer en expression de terreur.
- Qu’est-ce que tu fous?!
Je laissai tomber le bidon plein juste à côté de sa voiture et m’empara maintenant de la petite boîte d’allumette. Je l’ouvris et en prit une.
Cuthbert savait pertinemment bien ce que je m’apprêtais à commettre. Je fis craquer l’allumette sur la boîte et je levai les yeux vers lui, puis dit :
- Alors ça va? Ce n’est pas ce que tu m’as dit en venant me voir? Et maintenant tu t’enfuis?
Il resta figé par l’horreur, ne sachant pas comment il devait réagir. Je laissai ainsi tomber l’allumette par terre et les flammes se formèrent en un rien de temps. Le véhicule se retrouva en flammes en à peine une seconde, et le corps de Cuthbert aussi. Je regardai les flammes grossir à force de brûler tout en observant mes alentours et entendant ses hurlements, incapable de sortir. Je pris la fuite en me dirigeant dans le boisé juste au bord de la route. Je me faufilai entre les arbres et me cacha derrière elles, observant la scène et m’assurant qu’à la toute fin, il ne resterait plus que de la cendre et une carcasse. S’il ne m’avait pas laissé planter là dans la chambre, qu’il n’aurait pas refusé à entrer dans mon petit jeu, nous n’en serions jamais arrivés à ce point.
Le feu dura et dura encore, et la voiture au complet fût calciné. Et je suppose que Cuthbert également ne devait plus ressembler qu’à un morceau de viande brûlé et que plus personne ne pourrait le reconnaître.
Une autre victime de coché sur ma liste.
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