Ah ! Les co, co, co,
Un coquin, s'en allant chez sa princesse
Rêvait de son charnel postérieur
Tatouant ses mains sur ses fesses
Il s'en allait les caresser avec vigueur.
Ah ! Les co, co, co,
Les coquins
Sur le bord du lit, ils sont joueurs
N’en parlons plus
Oscar chantonnait un air plein de malice
Dont il fredonnait du bout des lèvres
Un refrain pour sa belle complice
Une douce et sensuelle fièvre.
Ah ! Les co, co, co,
Les coquins
Sur le bord du lit, ils sont joueurs
N’en parlons plus
Il agitait ses doigts sur son derrière,
Comme de petites plumes subtiles.
Juliette remuait pour le satisfaire
Et se mouvait contre sa belle idylle.
Ah ! Les co, co, co,
Les coquins
Sur le bord du lit, ils sont joueurs
N’en parlons plus
Un désir parut : et sur les deux corps
Se glissa cette envie de jouir.
Mais pour faire durer cet accord
Le coquin, la cadence a dû ralentir.
Ah ! Les co, co, co,
Les coquins
Sur le bord du lit, ils sont joueurs
N’en parlons plus
Et tout à son affaire érotique
S'en retourna vers sa belle
Pour lui offrir un instant magique
Accompagné d'un orgasme éternel.
Ah ! Les co, co, co,
Les coquins
Sur le bord du lit, ils sont joueurs
N’en parlons plus
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