La décision
Après cette demande assez particulière, et sans avoir vraiment l'envie, je pris le chemin du retour vers la maison, toujours avec cette idée en tête. qu'est ce que je devais faire? dire oui? mais comment allions nous faire? je devrais laisser ma grand mère livrée à elle même, même si je ne suis pas loin, je ne serai plus auprès d'elle en cas de soucis de santé important. mais si je disais non, est ce que notre relation va durer? c'est un choix assez compliqué à faire. j'y réfléchirai plus longuement à la maison, seul dans ma chambre.
Une fois rentré à la maison, je m'installais dans le divan quand ma grand mère m'interpella:
- ça ne s'est pas bien passer chez ton copain?
- si si, à merveille lui répondis je du tac au tac.
- alors explique moi ce qui te tracasse autant.
je ne comprendrai jamais. elle doit avoir un sixième sens ou je ne sais quoi. ce n'est pas la première fois qu'elle me fait un coup pareil à deviner que quelque chose ne va pas.
- il m'a demander de venir vivre avec lui, chez lui...
-et alors, me dit elle. c'est une nouvelle très positive! en quoi est ce que cela pose un problème?
- mamy. si je vais vivre chez lui, avec lui lui, je ne serai plus auprès de toi. je ne serai plus là pour t'aider en cas de soucis.
- alors écoute moi bien mon petit. j'ai 72 ans, j'ai eu une vie avant toi. et malheureusement pour toi, ma vie ne sera pas éternelle. il faut que tu vive ta vie, toi aussi. et puis tu viendras me rendre visite quand tu le pourra, et tu l'amènera avec, j'en serai d'autant plus heureuse. et puis te savoir avec un beau jeune homme et heureux, c'est tout ce que je demande. je ne veux pas que tu te privé d'un amour et d'une vie juste parce que j'ai besoin d'aide. vis ta vie mon enfant. j'en serai d'autant plus heureuse.
Sur ces mots, je réalisa qu'elle avait raison. je devais moi aussi vivre ma vie, je ne pouvais pas rester au même endroit à attendre quelque chose. Je la regarda avec les larmes aux yeux, elle me caressa le visage le plus tendrement du monde et me dit à nouveau : -
- je t'aime, et je t'aimerais jusqu'à la fin de ma vie. sois en rassuré. et peut importe si tu ne vis plus avec moi, c'est ainsi que va la vie. maintenant, va le rejoindre, et annonce lui la bonne nouvelle.
Je ferma les yeux un moment, au contact de sa main sur ma joue et partis téléphoner dans la pièce d'à côté. sa réaction fut celle d'un enfant à qui on annonçait qu'il partait à Disney Land Paris, il était tellement heureux qu'il me dit qu'il allait arrivé se présenter à ma grand mère, tel que le ferai un gentleman. et quelques instant plus tard, il arriva, habillé comme pour aller à une soirée, avec la cravate, un jeans noir, une chemise blanche et un pull par dessus. et dans sa main gauche, il tenait une bouquet de fleur comme j'en avait rarement vu. et il sonna à la porte. ma grand mère ne sachant pas qui c'est et n'ayant pas eu le temps de la prevenir, alla ouvrir la porte.
- madame, bonjour, je me presente, je suis le copain de... et sans qu'il ait eu le temps de finir sa phrase, elle lui dit d'un air des plus joyeux :
-je sais qui tu es, et je suis très heureuse de faire ta connaissance, entre, ne reste pas sur le pas de la porte. il ne se fit pas prié. il entra donc dans la maison, un peu gêné. ma grand mère s'occupait de lui, comme si elle recevait le roi. boisson, biscuit, elle lui a proposer tout ce qu'elle pouvait. puis arrivant enfin dans la piece, il se leva et me regarda droit dans les yeux.
- tu as fait connaissance de ma grand mere, elle te plait?
-je crois que si je reste loger ici, je regarps avec 20Kilos de plus demain. m'a grand mère le regarda avec un grand sourire, et s'excusa :
oh, je suis desolée, mais Léo est tellement heureux avec toi, je le vois sur son visage. je me mis à rougir et je devisn vite couleur écarlate. -vous savez madame, je suis très heureux avec votre petit fils. il me comble de bonheur. je ne crois pas m'être déjà senti aussi bien dans ma vie que depuis que j'ai rencontré Léo.
-je le vois à vos regards. vous ne demandez qu'à vous retrouver seul, hein, nous dit elle, avec un grand sourire aux levres, et un air de "je sais que vous ne jouez pas aux cartes" je vis les yeux d'Anthony s'ecarquiller en entendant la phrase que ma grand mère venait de dire. je lui dit aussitot que ma grand mère est très ouverte d'esprit et qu'elle n'a pas sa langue dans sa poche, mais que rien n'est dit mèchemment. que du contraire. puis elle me " sauta "dessus pour me montrer le bouquet qu'Anthony lui avait apporter. elle était toute contente. après plus d'une heure à lui poser des questions, elle nous regarda tout les deux et nous dit :
-bon les petits jeune, je commence un petit peu à fatigué, je ne veux pas vous mettre dehors. donc soit vous allez en haut, soit vous restez la, mais je vais me reposer. et une dernière chose, vous savez intérêt à être heureux. parce que même morte, je viendrai vous hanter si vous ne l'êtes pas.
un peu gener, je lui dit qu'il lui reste encore beaucoup de temps à vivre, et qu'elle ne devais pas se tracasser, nous serons les plus heureux du monde. elle nous donna donc sa bénédiction et s'en alla se reposer. pendant ce temps la, nous sommes allez dans ma chambre, pour que je termine de rassemble mes affaires, mais ce ne fut pas l'idée qu'Anthony avait, quand ma grand mère a proposer que nous montions... il commença par me regarder dans les yeux, et s'approchait doucement de moi, qui était en train de ranger dans un sac. puis il pris le sac, le déposa à terre et commença à m'embrasser. je lui dit que j'ai des affaires à preparer, mais il me répondit aussi tôt que ça ne pressait pas, mais qu'en revanche, quelque chose d'autre était plus urgent. et tout en m'embrassant, Il me deshabillait, chose que je fit aussi. puis, une fois, torse nu, il me poussa sur le lit, et alla entre me jambes. et tout en enlevant mon pantalon, il s'occupait de moi. Le fait de savoir que ma grand mère pouvait nous entendre accentua le plaisir qu'il me donnait. puis, pris de la même envie que lui, je le mis sur le lit, et enleva son pantalon tout en m'occupant de lui egalement. ses petits gémissement commençaient à se faire entendre, même si il faisait tout pour les eviter. et ça donnais encore mieux. après un petit temps à m'occuper de lui, je remontais pour l'embrasser, et il me chuchota à l'oreille:
-j'ai une envie folle de toi. il n'a même pas attendu ma raison, pour me retourner à plat dos sur le lit. nos deux jouissement se fit entendre en coeur, et ce n'était que le debut...
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