Branche
- Papa : J’imagine vous voulez aller à la plage ?
- Amandine et Moi : Oui
- Papa : Et toi Jean ?
- Jean : Si elle est aussi froide qu’hier ça me branche moyen….
- Moi : Vu le temps qu’on a eu aujourd’hui il y a des chances que ce soit comme hier.
- Papa : Désolé Jean mais Pierre a raison elle doit être fraîche.
- Maman : On peut rester à la maison tous les deux Jean si tu veux.
- Jean : Oui je préfère.
- Papa : OK !
On arrive a la maison, comme prévu les motivés comme Amandine, Papa et moi faisons le détour par nos chambre pour nous préparer et enfiler nos maillots. Après quoi on part directement pour la plage.
Comme la veille, on ne prend pas notre beau flamant rose, certains de pas rester longtemps dans l’eau. Amandine et moi sommes malgré tout un peu effrayés par la potentielle fraîcheur de la mer.
On arrive à la plage et on est déjà un peu découragés car la mer est encore plus reculée que la veille. Malgré tout on dépose nos affaires, et on se dirige vers les premières vagues.
Les derniers mètres sont pour nous les plus longs, on est hésitants avec Amandine. Papa lui est déjà presque complètement dans l’eau, et il nous chambre généreusement afin de nous encourager.
Il est très compliqué pour Amandine comme pour moi de rentrer dans l’eau elle est encore plus froide que la veille. Le froid fait que mon sexe est ridiculement petit et le fait de le faire entrer dans l’eau est particulièrement difficile. L’effet du froid accentue davantage sa petite taille toute provisoire et je n’aime vraiment pas me sentir de la sorte.
J’essaye d’oublier la situation, j’embrasse ma douce Amandine et nous nageons un petit moment espérant nous réchauffer. N’y parvenant pas je sors finalement de l’eau bientôt rejoint par Amandine.
- Amandine : Brrrrrooouuu Gla Gla !
- Moi amusé : J'aurais pas dit mieux. Tu veux que je te frotte ?
- Amandine : Ah oui je veux bien.
Je prends sa serviette et lui frotte le dos vigoureusement. Je suis déjà presque sec en ce qui me concerne donc elle n’a pas besoin de me rendre la pareille. Je lui dépose la serviette sur les épaules après quelques instants, et l’enlace. Étant de dos elle ne peut ni se défendre ni me rendre mon tendre câlin mais ses caresses sur mes mains et sur mon crâne me font comprendre qu’elle apprécie cet élan de tendresse.
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