MERCI
ILS SAUVENT DES VIES
Merci à tous ceux que j’oublie
MERCI
Merci à vous tous qui m’avez soutenue tout au long de ce fleuve tumultueux que fut ma vie !
Outre les précieuses personnes que j’ai rassemblées dans le chapitre « remerciements » de mon précédent ouvrage, il me tient particulièrement à cœur d’adresser un merci particulier à Joël et Alain, deux personnes tout aussi particulières. Leur rencontre n’est pas le fruit du hasard, je suis persuadée que c’est la Providence qui les a fait croiser ma route.
En effet, je voue depuis toujours une profonde admiration pour les textes de Jean-Jacques Goldman. D’ailleurs, le tout premier concert auquel j’ai assisté a eu lieu en juin 2002 au Zénith de Lille, là où J.-J. G. a enregistré son dernier album. J’en suis sortie pleine d’admiration, émerveillée. De ce fait, je souhaitais illustrer les différents chapitres de mes ouvrages au moyen de citations extraites de ses chansons. Contacter cet artiste, c’était mission impossible… Or, il se trouve dans ma région un groupe de musiciens et de chanteurs – les Goldmen – qui interprète son répertoire. J’ai pris l’initiative – sans me faire trop d’illusions, je l’avoue – de les solliciter.
À ma grande surprise, Joël – leur manager – a immédiatement répondu à ma requête, il a pris connaissance de mes écrits et m’a encouragée à mener à son terme l’édition de mes deux livres. Dans la foulée – j’ai dû me pincer pour y croire – il a suggéré qu’Alain, le chanteur du groupe, en rédige la préface !
Imaginez dès lors mon état d’excitation, le jour où Alain m’a annoncé sa visite. Un chanteur talentueux… chez moi ! J’avais le sentiment de vivre un conte de fées.
Je crois – du moins, j’ose croire – que la plupart des gens ne savent pas comment nous aborder, ou n’osent même pas nous approcher, nous, les personnes moins valides, par crainte de mal se comporter, de mal s’exprimer ou de nous blesser.
Alain, lui, s’est tout naturellement assis près de moi. Il m’a demandé autour d’un café ce que j’attendais de lui. Il a sélectionné les paroles les plus appropriées des chansons de Goldman et, quelques jours plus tard, je recevais son texte. J’étais sidérée d’un tel investissement en toute gratuité.
Alain a également participé au Téléthon de sa commune en y organisant un concert dont les recettes étaient destinées à cette manifestation.
Lors de son concert à Lille, où mon aide de vie et moi étions invités en VIP, il a même « osé » poser la main sur mon épaule ! J’ai senti à ce moment passer à travers moi un véritable souffle d’humanité. Il n’a pas cherché ses mots : ils coulaient de source, ils provenaient de son cœur !
Je suis peu de chose, une anonyme, une simple goutte dans l’océan des admirateurs du célèbre chanteur. Les Goldmen ne me connaissaient pas davantage, ils avaient d’autres chats à fouetter. Pourtant, Alain m’a consacré de l’attention ; de la véritable attention ; de l’attention totalement désintéressée. Il a même préfacé sans hésiter mon premier ouvrage « Me relever toujours ».
Merci, Alain, et merci à toi, Joël ! Vous aussi, vous m’aurez permis d’avancer et de me revaloriser.
Je n’oublie pas Alain, Stéphane, Teddy, Nathalie ainsi que toutes les personnes qui ont pris le temps de me lire et qui m’ont aidée pour la correction de cet ouvrage.
Je remercie encore une fois toutes les personnes chères à mon cœur sans lesquelles ma vie aurait été « plate » et peut-être même piètre.
De près, de loin, mais surtout de là-haut, je veillerai aussi sur vous.
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