ENTRETIEN.5.D.Vrai.2
Vous ne savez pas ce qui vous a pris en vous offrant ainsi, mais l’afflux d’excitation qui vous habitait est soudainement retombé, laissant un vide béant derrière lui. Vous réalisez que cet homme vous désir au point de vous le montrer physiquement et sans aucune retenue, vous qui étiez encore vierge l’année passée à la même période. Est-ce vraiment ce que vous recherchiez en venant ici, vous faire passer dessus en bonne jeune fille soumise, fantasme des clichés parisiens en costard ? La réponse est non, définitivement non. Vous vous êtes laissée allée à croire que cette petite séance d’exhibitionnisme était inconséquente, qu’après tout cela vous ferait une petite expérience sympa sur laquelle vous pourriez fantasmer ces prochains mois en vous touchant, que ce n’était qu’un peu de cul bien sage et loin de ce que ce qu’il se passe habituellement dans les vidéos que vous regardez en cachette. Mais là, depuis qu’il a sorti sa bite dressée fièrement comme un trophée, c’est comme si la réalité vous avait rattrapée. Pour lui, vous n’êtes probablement qu’un objet sexuel, certainement une conquête de plus à baiser aujourd’hui en profitant de l’autorité que son statut de recruteur lui confère sur ses candidates. Vous ne voulez pas participer à ça. Vous détournez les yeux en vous relevant d’un bond. Il semblait ne pas s’y attendre, car il vous lance :
– Mais... où allez-vous ?
Vous notez qu’il vous vouvoie encore, en dépit du fait qu’il a la main autour de sa queue. Vous ne lui répondez pas et faite un pas vers le paravent derrière lequel vous vêtements libérateurs vous attendent. Il vous interrompt au dernier moment :
– Attendez !
Vous n’avez pas envie d’attendre mais vous vous arrêtez quand même dans votre élan, sans toutefois vous tourner vers lui. Vous sentez qu’il cherche ses mots.
– Je... Je... Je suis réellement désolé si je vous ai brusquée. J’ai cru que... Enfin... Vous avez mis tellement d’entrain dans... dans... Vous aviez l’air de prendre tellement de plaisir à vous montrer que... J’ai pensé...
Comme vous ne réagissez pas, il reprend :
– Vous savez, malgré ce que vous devez penser ce n’est pas dans mes habitudes de... faire ça. Mais quand vous m’avez demandé de me déshabiller j’ai cru que c’est ce que vous... enfin ce que vous... recherchiez. Je me suis peut-être trompé.
Vous daigniez finalement vous tourner brièvement vers lui. Vous remarquez qu’il a eu la "délicatesse" de ranger son sexe dans son caleçon, même si vous pouvez encore voir le bout de son gland qui dépasse comme s’il n’y avait pas assez de place pour tout accueillir.
Que souhaitez-vous faire ?
· Lui dire « Vous vous êtes effectivement trompé » et aller vous rhabiller. Rendez-vous à ENTRETIEN.5.D.Vrai.3
· Il semble honnête dans ses propos. Rester un peu plus longtemps finalement... Rendez-vous à ENTRETIEN.5.D.Vrai.4
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