Vous aimez bien faire durer un peu le plaisir et avez envie de le voir durcir au maximum de son potentiel. Vous vous accroupissez donc doucement devant la chaise sur laquelle il est toujours assis, lui écartez voluptueusement les genoux et avancez vers l’endroit qui vous hypnotise déjà. Il vous laisse libre accès à son terrain de jeu intime sans mot dire, visiblement satisfait de vous voir si entreprenante. Sa bite est déjà bien dure quand vous la prenez en main, mais vous êtes certaine de pouvoir faire mieux. Vous commencez par le masturber lentement, avant d’augmenter graduellement la cadence. Il ne vous quitte pas des yeux et passe une main insistante dans vos cheveux. Il sait ce qu’il veut. Vous aussi.

Vous rapprochez le visage de votre nouveau jouet et vous sentez presque la chaleur exaltée qui en émane. Vous commencez par le lécher de bas en haut, vous arrêtant tout particulièrement sur le frein de son prépuce que votre langue vient chatouiller de manière espiègle. Par expérience, vous savez que c’est cette zone sensible qui détient en elle une grande partie du pouvoir d’un homme sur la libération de ses plaisirs primaires. Il contracte alors sa verge, comme pour vous faire comprendre qu’il languit déjà de la sentir recouverte de vos lèvres. Vous lui lancez un sourire malicieux, le faites mariner attendre quelques secondes, puis vous vous lancez. Son gland, lisse et chaud, épouse parfaitement les contours de votre bouche. Du bout de la langue, vous continuez de le titiller, mais de l’intérieur cette fois-ci. Tandis que votre main droite n’a pas cessé de le branler, vous venez placer la gauche sous sa bourse, que vous entreprenez de masser délicatement. Tous ces efforts conjugués font déjà leur petit effet car votre conquête se raidit et s’accroche aux accoudoirs de sa chaise.

– Putain... lâche-t-il en entrouvrant la mâchoire dans un air de béatitude infinie.

Vous devenez plus insistante pour que votre salive recouvre chaque millimètre carré de sa verge et le bruit de succion caractéristique d’un tel acte ne tarde pas à se faire entendre, ponctué par ses « Hmm... » appréciateurs. Sans arrêter de le sucer, vous levez des yeux aguicheurs vers lui et êtes satisfaite de constater qu’il ne décolle pas les siens de ce que vous infligez à son organe reproducteur. Puis vous les fermer pour mieux apprécier l’instant et vous concentrer brièvement sur votre plaisir à vous. En effectuant cet acte, vous vous projetez quelques mois en arrières avec votre ex. Pratiquement chaque fois avant de faire l’amour vous lui accordiez une fellation et avec la pratique vous êtes devenue plutôt bonne en la matière. Pour satisfaire à votre excitation mutuelle, il vous arrivait même de le sucer dans des endroits plus impromptus tels que sa voiture pendant qu’il conduisait, les toilettes d’un bar, ou encore dans la pénombre intimiste d’une salle de cinéma en pleine projection, et ce jusqu’à le faire jouir, quitte à en mettre un peu de partout lorsque vous n’aviez pas de mouchoir. Vous aimez faire ça, lorsqu’un homme vous offre son si précieux pénis et vous accorde sa totale confiance pour en faire ce que vous voulez.

Après quelques minutes de ces préliminaires durant lesquels il n’a eu de cesse de vous passer la main dans les cheveux et d’abaisser et lever le bassin comme s’il voulait déjà s’entraîner en vous baisant la bouche, vous êtes satisfaite. Vous vous retirez et contemplez votre œuvre : sa bite, humide à souhait, est étirée comme jamais. Vous la sentez si raide sous vos doigts qu’il en serez probablement de même si vous teniez un concombre. Parfait pour passer à la suite... Vous vous relevez, fin prête. Il ne tient plus et, en toute franchise, vous nous plus...

Que souhaitez-vous faire ?

· Passer aux choses sérieuses et vous assoir sur lui. ENTRETIEN.6.Chaise

· Passer aux choses sérieuses et vous mettre à quatre pattes sur le tapis, prête à l’accueillir. ENTRETIEN.6.Tapis

· Passer aux choses sérieuses et vous assoir face à lui sur le sofa, jambes écartées, pour l’inviter à vous rejoindre. ENTRETIEN.6.Sofa