Nicolas

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Haaa mon cousin Nicolas, C'est un cas particulier. Voyer vous, dans tout les enfants de la famille il et le seul garçon, donc forcément il a appris a vivre entouré de femme, de belle femme en plus.

Déjà avec sa sœur Anaïs, mais encore plus avec Hélène et Julia qui vivais a seulement quel que rue de cher lui. Il vivait à Marseille.

Et du cou, vivre entouré de femme sa peut influer sur le comportement.

Il aurait pue devenir très efféminer, du a une influence féminine importante, Mais non, il et devenu l'inverse, un vrai matcho qui ne se prend pas pour de la merde et qui pense que toute les femmes veule son corps.

Attention, j'adore mon cousin, se n'est pas la question, Mais disons que certain trait de son caractère m'agace.

Comme je les dis quant je les présenté il et le troisième plus vieux dans la famille, donc il et plus âgée que moi, et Anaïs et née un an après moi.

La plupart du temps il se rase la tète et se laisse pousser une petite barbe de trois jour.

Ha oui et je vais le dire une bonne fois pour toute, comme sa on en parlera plus. Oui l'intégralité de ma famille sont noire. Voila ses dis on continu.

Et comme je les dis, Oui la première fois que j'ai couché avec un garçon c'était avec lui.

Je vous interdis de me juger, d'après se que je sais plus de 80% des première fois se ferrai avec un membre de sa famille, donc je ne suis pas une salope qui ses tapé son cousin. Je suis dans la moyenne.

Voici le contexte, vous comprendrai mieux

J'avais 17 ans, sa fessais plus de deux ans que je n'avais pas vue Sophie en vrai, On se fessait des cam, et même des fois des sex-cam mais sa ses rendez-vous se sont de plus en plus étendu, elle ayant un planning compliqué se n'était pas facile de se voir longtemps.

J'étais seul et triste, et on approché des fêtes de fin d'année. Noël et passer, je les passer avec mes parents, rien à dire la dessus, un beau Noël rien d'extraordinaire la dessus.

Puis on a passer le nouvelle an avec toute la famille a Marseille.

La soirée commencer bien, les jumelles était, comme d'habitude, le centre de l'intention de tout le monde, car étant des génies et des sportives qui réussisse tout leur projets forcément sa attire l'attention. Moi je parler avec Anaïs et Nicolas de mon coté. Même si Nicolas ne parler pas beaucoup car on parler de vêtements et de taille de poitrine, comme a chaque fois avec Anaïs fessant une fixette la dessus.

Je lui disais que son cul rattrapé largement sa poitrine, mais elle râlé quant même le couplet habituelle

- Pourquoi je suis la seule planche a pain de la famille ?

Ou encore

- Pourquoi mes herbage son a l'arrière et non a l'avant comme vous ?

Et celle que je préféré car elle me fait rire

- Comment je vais pouvoir donner le sein à mes futures enfants si j'ai pas de seins, je vais pas lui donner du lait avec mon cul !?

Elle se fait reprendre part ses parents a chaque fois qu'elle le dit, mais moi je rigole a chaque fois. Car elle le dit d'une manière juste hilarante, en étant direct et un peut en colère.

Trot chou !

Enfin voila, un nouvelle an tout a fais banal dans ma famille.

Mais a un moment Nicolas et parti, sous prétexte qu'il allait se lavé. Et je pense que je suis la seul à avoir tilté la dessus, c'est qu'il c'était déjà lavé se matin.

Sa a attiré ma curiosité. Pourquoi voulait t'il s'isolé si soudainement ?

Evidemment, après avoir attendu quel que minute histoire que sa ne sois pas louche, je suis allé voir se qu'il fessait. Et je dois avouer que j'espère tomber sur un truc autre que, monsieur se lave...

Et si il était entrain de se branlé ? Ho sa serait trot embarrassant, et excitant aussi. Oui encore a cette période je n'avais pas accepté ma bisexualité, je pensais être lesbienne étant amoureuse de Sophie, mais les mecs m'attiré grave aussi donc je disais juste que j'étais ouverte a la curiosité.

Ou en plus de se branlé, il se branlé sur l'une d'entre nous, l'une de ses cousines ! Ou même d'une de ses tante !

Ho part contre si il se branle sur ma mère je lui arrache les couilles.

Mais a ma grande déception, en arrivant a l'étage j'entendis la douche coulé

Pff, il se lave vraiment... Mais... Mais pourquoi je continu a m'approché alors ?

J'étais comme attiré part la salle de bain, je n'arrivé pas a m'ôté de la tète l'envie d'aller voir se qu'il fessait, même si j'avais clairement compris qu'il était sous la douche.

Je suis donc arrivé a la porte, et j'ai sourie quant j'ai vue qu'il ne l'avait pas verrouillé, un oublie ?

Pour je ne sais quel raison, j'ai posé mon oreille sur la porte pour entendre se qu'il se passer dedans, même si le bruit de la douche couvert largement le reste des bruits a l'intérieur.

Mais je crue entendre un bruit étrange venant de lui. A cette instant mon corps me disais "Ouvre" mais mon cerveau me disais "Part"

Je ne savais pas quoi faire, donc j'ai laissé mon corps agir le temps de réfléchir et j'ai entre ouvert la porte pour le maté.

Moi qui voulait un dossier, j'en et eu un.

Nicolas était sous la douche, dos contre un des murs, le rideau entre ouvert pile se qu'il fallait pour que je le vois, avec sa bite dans les mains. Et je ne dis pas de connerie, il avait ses deux mains sur sa queue et il se branlé !

A cette époque il avait quel âge... il devait avoir 18 19 ans je dirai, et il avait une bite de cheval cette enfoiré.

Quant j'ai vue la taille de son sexe, je me suis mise instantanément a mouiller, avec pour seul désir de me la prendre bien profond. Je voulais cette queue, pas une autre.

Mais comment l'avoir ? C'est mon cousin, sa ne se fais pas entre cousin cousine.

Je ne savais pas encore que c'était une chose réputé mais jamais avoué.

Du cou je suis resté la, dans l'embrasure de la porte a le maté entrain de se branlé, m'enfonçant des doigts dans la chatte sous l'excitation.

En plus que sa sois mon cousin, je n'avais pas envie de trompé Sophie, mais l'envie était trot présente, sa fessais longtemps que je n'avais pas eu d'affection, et mes doigt ne suffise plus. J'aurai pue m'acheté des godes mais mes parents surveillez au mini-mètre près mes dépenses donc je ne pouvais pas.

Et j'avais cette monstrueuse bite a seulement quel que mètre de moi, n'attendant qu'une chose, de pénétré un vagin bien humide, et je voulais que sa sois le mien.

C'est à cet instant que j'ai eu une idée des plus diaboliques pour arriver à mes fins.

Je regarda une dernière fois cette magnifique bite, ne sachant pas si j'allais la revoir, puis j'ai fermé doucement la porte.

Puis comme si de rien n'était j'ai toqué.

Je les entendu réagir de surprise, ayant peur de se faire surprendre

- Qui c'est ?! Demanda-t-il en essayant de cacher sa frayeur et son excitation.

- C'est moi Gwen, je peux entrer ?

- Pourquoi tu veux rentrer ? Il y a des toilettes en bas non ?

- Elle sont occupé et il chie donc sa va prendre trot de temps, puis j'ai pas envie d'aller au toilette, je me suis renversé du jus d'orange sur le pantalon et voulais le nettoyer avant que sa imbibe et que sa fasse une tache.

- Tu peux pas attendre ? Me demanda t'il gène, ne voulant surtout pas risqué de se faire surprendre entrain de bandé.

- Mais non je peux pas, sinon sa va s'incrusté, et puis c'est bon, si tu a le rideau fermer je ne verrai rien.

Quel que seconde passa avant qu'il réponde.

- Ok, mais tu fais vite hein

- D'accord, merci. Hooo oui je vais faire vite, le plus vite possible avant que tu deviennes trot mou pour agir.

Je suis donc rentré, non sans dire qu'il avait pas fermer la porte, pour qu'il se rende compte qu'il se branlé la porte non verrouiller. Puis je suis allé a levier se trouvant face a la douche et enleva mon pantalon me penchant bien comme il faut pour qu'il matte bien mon cul. Car petit détail, de l'extérieur de la douche on ne pouvait pas voir dans la douche à cause des rideaux. Mais de l'intérieur, le rideau était pas suffisamment épais et on voyait un peut en travers, et je le savais.

Du cou je fessais tout pour le chauffé, en plus de mes questions des plus indiscrète.

- Dis moi, on n'a pas beaucoup parlé de toi se soir, Tu a une copine en se moment ? Lui demandai-je

- Non, les filles ne sont pas intéresser part moi.

- Ho arrête, c'est juste que tu na pas vue qu'elle te reluquer sais tout, je suis sur que tu leur plais. Un beau noire sa attire les femmes, surtout du a se qu'on dit d'eux

- Qu'es qu'on dit sur nous ?

Haaa il ne savait pas mentir, il savait très bien de quoi je parlé, mais ne voulais pas aborder la question, ayant la bite tendu dans ma direction me matant le cul a travers le rideau. Car en plus de plus parlé je fessais semblant de nettoyé mon pantalon en remuant le cul comme il fallait.

- Qu'ils sont une grosse bite. Et toute les femmes veule savoir si ses vrai, moi y compris

- c...Comment ça ? Tu ne le sais pas ?

- Bas non, je n'est jamais couché avec un noire, même jamais couché tout cours d'ailleurs. Mensonge mensonge... enfin demi-mensonge, jamais avec un homme en tout cas.

- Tu... Tu aimerai ?

Hoo il semblerait que je le tienne, il ne faut pas que je fasse n'importe quoi.

- Grave, me prendre une grosse bite dans la chatte me tente a mort, mais bon, je n'arrive pas a trouvé d'homme qui et les couilles de me baisé.

Bon... alors, comment vous dire, je pensez que mon cousin Nicolas était comme on dit, une baltringue, un mec qui n'ose pas agir et qui se pisse dessus au moindre pique de stresse.

Mais alors a cette instant j'ai était surpris car, avant que je n'est le temps de comprendre, il a ouvert le rideau, enlevé ma culotte et avais posé son gourdin contre mon intimité encore vierge de tout pénis.

Je nus le temps que de légèrement tourné la tète avant qu'il ne commence a me l'enfoncé dans la chatte centimètre part centième.

Les sensations étaient très très différentes que quant Sophie me mettait ses doigts ou sa langue c'était... énorme, chaud, et dur hmmm... Je voulais qu'il continu. Alors je les regardai dans les yeux a travers miroir et lui et dis.

- J'ai failli attendre, va si, baise ta salope de cousine comme tu rêvé de le faire juste avant que je rentre gros cochon, Tu a l'occasion et l'autorisation, Fais le !

Et la... Ho mon dieu, jamais je n'oublierai. Il a posé ses mains sur mes hanches et a appuyer dessus pour faire rentré son sexe en moi.

Cette douleur mélangée au plaisir. Cette sensation d'élargissement de mon vagin a chaque centimètre qu'il rentré. Cette sensation de remplissage intérieur mélangé a cette chaleur intense.

Mais sa encore se n'était rien, car une fois qu'il n'arrivé plus a rentré, il se mit a bougé, a la sortir et la re-rentré en la pénétrant plus profondément que la fois d'avant.

Etant face au miroir je pouvais voir chaque réaction de son visage, mais également les miennes. Et la seul chose a la quelle j'ai pensé en voyant mon visage c'est... Mais quelle salope !

J'avais les yeux grands ouverts avec les pupilles vers le ciel, presque révulsé sous le plaisir, la langue qui sortait de la bouche en bavant. Le reste il suffisait de m'écouté, a chaque mouvement de bite en moi je poussais des gémissements digne d'une actrice porno en pleine ébat avec quatre mec lui défonçant chaque troue.
Et oui j'ai réagi comme sa pour ma première foi, que voulait vous, j'étais déjà accro au sexe avant, juste que c'était pas pareil.

Avoué que vous avais pensé la même chose que moi.

Et se n'est pas fini. Car il n'avait pas encore enfoncé l'intégralité de son engin en moi. Petit a petit il le rentré, mais quant il a vue qu'il ne manqué que quel que centimètre, il ma attrapé part les épaules et la rentré d'un cou sec, me fessant hurlé sous la douleur procuré et l'orgasme violant qui a suivi.

Mes jambes tremblées comme si j'étais nue dehors part -20 degré. Mais le pire, c'est que se débile n'avais pas compris que j'avais joui, car il ne savait pas que nous les filles pouvions avoir aussi un orgasme, il a donc pensé que je sur-kiffé sa queue, se qui était le cas mais..., après avoir eu cette orgasme j'avais besoin de quel que instant avant qu'il continu. Mais lui il ses soudainement mis a me baisé frénétiquement en claquant violemment son bassin sur mon cul fessant un bruit pas possible résonnant surement dans tout l'étage. Accompagniez de mes cries de plaisir a chacune de ses pénétration.

Sous l'excitation, et aussi part impatience, il attrapa a travers mes vêtements mes seins et commença a les malaxé. Part réflexe je posais l'une de mes mains sur les siennes en essayant de me déshabiller, je lui aurai bien dis de ralentir pour me laisser enlevé le haut, mais je n'arrivé même pas a parlé tellement mon cerveau était noyé sous le plaisir.

Pour vous dire, j'avais littéralement la tète dans levier a cette instant, plus aucun muscle de mon corps ne réagissais sauf mes jambes et mes bras.

Voulant absolument touché réellement mes seins, il a eu la magnifique idée de tiré un grand cou pour essayé de déchiré mes vêtements, heureusement il n'avait pas assai de force pour sa, il na réussit qu'a me sortir la tète de levier m'arrêtant net de crié.

Et deux seconde après, on a toqué a la porte...

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