Enfin... Quant je dis en deux seconde il avait sa tète entre mes jambes c'est une manière de le dire on se comprend. Vous voyer les hommes on leur fierté mal placé juste en dessous du bassin, pendant entre leur jambes, c'est également souvent la ou on peut trouver leur cerveau aussi.

Il ma fallu quel que seconde et une belle main au fesses pour qu'il daigne se mettre a genoux devant moi et m'enlevé le bas ou me lécher se qui, avec le temps que sa a pris et sont entêtement, m'avais largement refroidie, et c'est cou de langue était bien moins délicieux que se de Sophie. Du cou des que j'en et eu marre je lui et dis de sortir sa queue, on a baisé vite fais et c'était fini...

Bas quoi ? Bas oui sa arrive des fois des déceptions. Je m'attendais a une parti de jambes en l'air digne de se noms, a me faire bien ramoné comme il doit, mais je n'est eu droit qu'a une vulgaire baise pas des meilleurs en plus il n'arrête pas de faire accidentellement sortir sa bite de moi, sois disant part maladresse... m'ouais, on connaît la technique, vous la sortait pour ne pas jouir trot tôt.

pff... après sa j'avais bien besoin de réconfort, et je voulais celui de Sophie. Je lui et donc envoyé un sms lui demandant de ses nouvelle et si c'était possible de se voir. Je n'est jamais eu de raiponce. Se qui ma confirmer que la distance était le pire ennemie de jeune amoureuse. Cette enfoiré nous avait séparé et détruit nos sentiments.

J'ai déprimé pendant des jours, ne mangeant presque rien et déambulant telle un zombie dans le lycée...

Du moins jusqu'à l'arrivé d'un nouveau dans la classe, il s'appelait Benjamin, Ben pour les intimes ou même B pour certain. Il était juste a croquer, Il n'était pas supra beau gosse avec des yeux parfait et des ados reluisant non. Il était... normal en faite, mais il avait quel que chose qui le rendait mignon. Et au début je voulais juste être gentille avec le nouveau, puis petit a petit on et devenu pote, puis amie, et a la fin on passer toute nos récrée tout les deux.

On passer notre temps à rire de tout et de rien, on disait de ses connerie mon dieu... On parler des profs, des collègues de classe, des conneries qu'on avait faite, de sexe... Ho oui putain on en parler tout le temps de sa, chaque occasion qu'on avait pour placer du sexe dans nos dialogues on le fessait, même en cours parfois.

Mais un jour, évidement, il ma dis un truc qui a fais changé notre amitié.

Alors qu'on parler cul, des meufs ou mec qu'on avait sauté, il ma dis.

- ... Tu vois, je m'imagine bien couché avec toi comme sa, juste pour partagé quel que chose en plus et kiffé encore plus la vie.

Avant de vous dire ma réaction faut que je vous parle un peut du passé de Ben.

Il avait une grande sœur, ultra moche au passage mais se n'est pas important, et ses parents était divorcé depuis qu'il avait neuf ans, vivant essentiellement cher sa mère pour les études et cher son père pour les vacances. Et étant pas un boulet de canon aux yeux des filles il n'avait eu que trois ex, avec le quel il na couché qu'une seul fois avec les première et la dernière. Il n'avait donc couché qu'avec deux femmes différentes et que deux fois en tout. Alors que moi j'ai arrête de compté le nombre de fois que je les fais avec Sophie et de Nicolas et l'autre débile...

Donc comprenait que je fus surprise qu'il me dise sa aussi naturellement que quant il parle de sa console ou autres...

- euh... Tu... Et tu me sors sa comme sa ? Lui et-je dis surprise et un peut gêner sur le cou

- Bas ouais, visiblement sais se que je viens de faire, il n'y a aucune sentiments amoureux, non pas que je t'adore et que tu et mon amie mais justement, tu et mon amie, et j'ai envie de partagé sa aussi avec toi. Après tu a le droit de refusé bien sur.

La sonnerie des cours m'empêcha de répondre. Et d'un coté heureusement car je n'avais aucune idée de quoi répondre, je lui simplement dis que j'y réfléchirai pendant les deux heures de sommeil. C'était les cours d'Anglais, notre prof était soporifique...

Et pendant c'est deux heure d'Anglais je n'ai pas écouté une seul seconde se qu'il raconté et ne pensez qu'a une chose, La proposition de Ben.

Sa me perturbé, Oui j'avais envie de baisé avec lui, car j'aime le sexe et j'aimerai le partagé avec lui, Mais j'avais comme une sensation ou plutôt une appréhension, comme si après l'avoir fais tout aller changé, que j'allais perdre se lien qu'on avait tout les deux. Mais une autres parti disais que sa pourrai en tissé d'autres.

Enfin vous avais compris pendant deux heures j'ai eu de quoi réfléchir et me posé quatre mille question dans ma tète.

Et a la récré suivante je suis allé le voir, je m'attendais a se qu'il me pose la question pour connaitre ma raiponce, mais non, il a fais comme si rien ne c'était passer, comme si il ne m'avait jamais proposé de baisé avec lui.

Les première seconde sa ma surprise, puis j'ai trouvé sa bizarre, mais en réfléchissant bien j'ai compris se qu'il voulait me montré. Que quoi qu'il arrive il resterai le même en mon égard, car je suis son amie et que se qui se passe entre nous le reste.

Alors j'ai accepté, et pour lui faire comprendre que j'étais d'accord, juste avant la dernière heure de cours j'ai mis ma main entre ses jambes et j'ai juste dis.

- Je l'attends. Discrètement dans son oreilles, d'ailleurs je me rappelle avoir senti que sa a commencé à durcir entre ses jambes avant que je retire ma main.

Il a beugé après sa c'était trot mignon.

La dernière heure passa, et pendant cette heure, discrètement bien sur, j'ai envoyé un sms à Ben en lui donnant mon adresse pour qu'il vienne dans la soirée. Et avec un petit avant gout de se qu'il l'attend se soir, une photo que j'ai sur mon portable de moi en petite culotte entrain de me prendre en selfi en me cachant la poitrine avec mon deuxième bras.

Evidemment il a regarder le sms pendant le cour et des qu'il a vue la photo il a réagit d'un cou, comme si quel que chose lui avais piquer les fesses le fessant se levé d'un cou sec et me regarder. Heureusement pour lui, et aussi pour moi d'un coté car je n'aurai pas aimé que les profs lui confisque son portable et vois la photo, le prof avais demandé si quel qu'un voulait venir au tableau pour essayé de résoudre le problème. Une demi-seconde après Ben se leva, se qui surprit le prof mais l'enchanta de sa détermination. Et même si il na pas réussi a la résoudre le prof le félicita d'avoir essayé et de continué dans cette démarche.

- [Dans ma tète] Ho oui il va continuer dans cette démarche, il va venir cher moi et on va baiser, c'est sa la démarche mon vieux.

Le soir arriva, Ben sonna a la porte de cher moi, on passa quel que minute en bas avec mes parents avant de monté dans ma chambre.

Il était très très nerveux et n'osé presque pas regarder ailleurs que mes yeux, et les quel que fois ou il na pas réussi à se retenir de regardé ma poitrine il se mettait a tremblé et les relevé instantanément. Sa me fessais presque mal de le voir dans un telle état de stress, je tenais beaucoup a lui. Alors j'ai donc décidé de faire le premier pat.

- Tu na pas chaud toi ? Moi je vais me mettre à l'aise, après tout je suis cher moi.

J'ai donc enlevé mon t-shirt sous le quel je ne portais rien, car je détesté déjà porter des sous-vêtements cher moi, a l'extérieur j'en mettais mais uniquement pour évité les problèmes, mais alors cher moi jamais.

Alors part contre après il n'avait plus aucun problème a me maté les seins la héhé, au contraire il ne les lâché plus du regard, la maison aurait pue prendre feu qu'il ne l'aurai même pas vue en senti. Pendant qu'il me maté je sentais l'excitation monté en moi en même temps que je regarder son entre jambe ou se crée discrètement une belle bosse du a son érection.

Mais je voulais pas le brusqué en sautant sur sa bite, donc j'ai continué a l'allumé.

- Tu les aimes ? Lui demandai-je en les touchant.

- Hoo oui il... ils sont magnifique

- Tu veux les touchés ? Evidemment qu'il le voulait, mais je lui donné l'occasion de le faire sans avoir peur.

Il leva doucement la main et la diriger vers ma poitrine, timide et emplie de doute et surement d'incompréhension, ne comprenant pas se qui se passer vraiment.

Je les donc aidé et lui et attrapé la main et posé sur mon seins. Et vue sa réaction j'ai eu peur pendant un instant qu'il éjacule précocement dans son pantalon mais visiblement il avait réussi à se retenir.

Après quel que seconde pour se retenir il se mis a me malaxé le sein. Pour ma part j'étais super excité, il était intégralement sous mon contrôle et jamais je n'avais était excité aussi rapidement pour baisé. Je pense que c'est a se moment ou je suis devenu accro au contrôle sexuel, bien sur avec des limites, je ne suis pas une dominatrice ou une salope qui va aller jusqu'à violé pour avoir du sexe.

Ne tenant plus je me suis mise a califourchon sur lui et lui et mis sa tète entre mes seins tout en remuant le bassin sensuellement.

Lui commencer à prendre du poil de la bête, sans que je ne fasse rien il m'attrapa les fesses en les claquant et me soulevant un peut pour les avoirs bien en mains.

Je me leva et enleva ensuite ma culotte. Et c'est la que j'ai vue qu'il tenait a moi c'est qu'il na pas hésité a me la lécher sans même que j'ai à lui dire. Il a mis sa tète entre mes jambes juste après avoir jeté ma culotte. Evidemment il était très inexpérimenté, et comparé a Sophie c'était presque nul, mais il ma quant même bien fais mouiller.

Mais je descendis mes lèvre jusqu'au sienne avant qu'il me fasse jouir et l'embrassa langoureusement.

Après sa tout et aller très vite, en tout cas de mon point de vue.

Il ses déshabiller me montrant enfin son sexe qui était magnifique, pas plus long que la moyenne mais il était bien large et veineux, ses veines ressortait jusqu'à son gland circoncis, il n'était pas juif mais il l'était quant même circoncis.

Je fis comme lui, a peine sa bite était a ma porté que je la mis dans ma bouche pour la sucé comme j'adore le faire, bien en profondeur et lentement en utilisant également ma langue pour augmenté le plaisir. Part contre lui na pas réussi a m'arrête avant de jouir au fond de ma gorge, et ne mis attendant pas vraiment j'ai presque avalé de travers. Je n'est pas réussi a tout avalé d'un cou, du cou j'en et laisser dans ma bouche et j'ai sorti sa queue de ma bouche pour lui montré son sperme bien chaud dans ma bouche se qui le fis redevenir dur en deux seconde. Après avoir avalé se qui me rester je me suis relevé en léchant une dernière fois son délicieux sexe.

- Tu veux me prendre comment ? Comme une chienne en levrette ou que je te monte t'elle une cowgirl ? N'étant pas fan du missionnaire je ne lui et pas proposé, c'est trot bateau comme position...

- Je... toute, je veux te baisé dans toute les positions possible.

Le sourire que j'ai fais entendant sa. Il devait être tout aussi excitant que terrifiant.

Je le poussa sur mon lit et monta sur lui pour enfoncé sa large bite en moi, et étant trempé part elle et rentré facilement dans un gémissement de plaisir mutuelle. Puis quant j'ai commencé a bougé le bassin c'était très différent qu'avec Nicolas, c'était sensuel et délicieux, alors qu'avec lui c'était brutal et jouissif. Et personnellement je préfère quant c'est délicieux que jouissif car quant on arrive a l'orgasme il et d'autant plus puissant et agréable a vivre.

L'ambiance de ma chambre était devenu des plus érotique, deux meilleurs amie entrain de partagé leur intimité dans des bruits des plus excitant et mignon, mélangé au petit claquement de mes fesses sur son bassin et du bruit des pénétrations en moi devenant a chaque cou plus mouiller. Franchement si quel qu'un serait rentré dans la chambre a cette instant, même si c'était mes parents je suis sur qu'il aurait bandé ou mouiller en voyant et entendant sa.

D'ailleurs je ne sais pas si ses mon imagination ou une impression mais, pendant que je le fessais avec Benjamin, je croyais entendre d'autre gémissement féminin qui n'était pas les miens, esse que mes parents baisé également ? Je ne les jamais sue, mais je suis sur que c'était le cas.

Après de longue minute de cowgirl, il me m'attrapa les fesses et me fis tourne pour me prendre en missionnaire. Comme je les dis j'en suis pas fan mais bon, sa ne m'empêche pas de prendre du plaisir. Je n'y resta pas longtemps part contre, voulant qu'il me prenne en levrette il suffi que je lui dise pour qu'il m'aide a me retourné, sa timidité c'étant vaporisé.

Je me mise a quatre patte et il pénétra entièrement d'un cou sec me poussant très proche de l'orgasme d'un cou, et les cous suivant ne fis que me confirmé cela.

- Hoo va si, va si, va si... je vais jouir va si, baisé moi fort hooo... t'arrête pas.... haaaaa

Et quant j'ai joui mon corps ne ma plus obéi et ses contracté d'un seul cou, mes bras ne mon plus tenu me fessant tombé la tète dans mes draps gorgé de ma mouille de notre ébat orgasmique, camouflant mon crie de plaisir dans les draps étant saccadé part mon corps tremblant de partout.

M'entendant et me voyant jouir de la sorte il na pue se retenir d'éjaculé également, le problème c'est qu'il a joui en moi. Non pas que je n'est pas aimé sur le cou, toute cette soudaine chaleur et sensation de se faire remplir et juste une sensation unique, mais les conséquences sont plus sérieuse.

On a continué encore une bonne heure en changeant de position, on a fais le 69, puis la levrette debout et pour finir la branlette espagnole ou il c'est déchargé sur mon visage et mes seins.

Après presque deux heures de baise on était mort, allongé sur mon lit recouvert de mouille et de sperme, mais on s'en foutée car on avait sur-kiffé l'un comme l'autre.

On et resté allongé sans rien dire durant plusieurs minute.

Mais alors que j'aurai du repensé a tout se qui venait de se passer en m'extasient comme toute les femmes font, je n'est eu qu'une seul pensé.

Sophie.