- On et rentré. Cria ma grand mère toute contente en rentrant les bras chargé de nombreuse chose qu'ils avais acheté au marché.

- Je peut vous dire qu'on c'est fait plaisir, pas trot non plus, la carte bleu a suffisamment chauffé pour les cadeaux, mais on a de quoi passer un excellent Noël. Continua t'elle en posant tout son bazar et enlevant sa veste.

- Les filles ? Gwen ? Anaïs ?

Elle vit grand père allongé sur son fauteuil habituel ou il fessait toute ses sieste et le secoua un peut.

- Réveille toi mon cœur, ou son passer les filles ? Demanda ma grand mère

- Mais j'en sais rien moi, je dormais, je vous et vue partir, elle papoté dans le salon et puis je me suis endormi, elle dois pas être loin, cherche les.

- Attend maman. Dis ma mère. Ecoute, sa ne serait pas la douche sa ?

- Si, toute les deux dans la salle de bain en même temps ?

- Ho maman, se sont des filles, et elle sont cousine, t'inquiète pas pour elle.

- Je vais quant même aller toquer pour savoir si elle vont bien.

En faite a l'instant ou la porte a commencer a s'ouvrir, Anaïs et moi on a ramasser nos fringue le plus vite possible et avons couru a l'étage pour pas qu'elle nous voie, mais on avais pas le temps de se changé, et on était toute décoiffé et recouverte de sueur, et j'imagine même pas l'odeur qu'on devait avoir. Alors quant j'ai entendu ma grand mère nous appelé, j'ai poussé Anaïs dans la salle de bain et allumé l'eau sachant que d'en bas on l'entendait couler.

Et quel que seconde plus tard la porte toca

- Les filles vous êtes la ?

- Mamie ? Dis-je comme si j'était surpris qu'elle sois derrière la porte 

- Oui c'est moi, Anaïs et avec toi ?

- Oui mamie, elle prend sa douche pendant que je me coiffe, hein Anaïs. dis-je en la regardant pour qu'elle réponde.

- Ouais mamie je suis entrain de me lavé pour me faire toute belle pour se soir.

- Ho parfait, je ne vous dérange pas plus longtemps, venais des que vous aurai terminé que je vous montre se que j'ai acheté.

- D'accord. le disant en même temps avec Anaïs sans se concerté.

Ensuite on attendis quel que seconde avant de soufflé. étant encore complètement nue et décoiffé, les joue encore rouge et les yeux encore sous l'excitation.

Mais cette soudain adrénaline et cette panique nous a fait toute les deux rire au éclat juste après.

On a rigolé facilement dix bonne minute sans s'arrêter a en pleuré et en avoir mal au ventre.

Après c'être calmé et lavé, non sans se roulé de bonne grosse pelle dans la douche et se touchant  pour se "lavé" l'une l'autre. On sorti l'air de rien et on repris cette journée de la même manière qu'elle avait commencer, comme si rien ne c'était passer.

Et cette journée fut magnifique, ayant des regards complice avec Nicolas et Anaïs maintenant, me sentant désiré a chaque instant, cette sensation et unique.

Le repas du soir arriva et on commença a mangé et boire en attendant minuit. Je parler avec Anaïs de ses penchant pour les femmes, comprenant on peut mieux se qu'elle ressente étant passer part la et ayant était sa première fois. 

Lui disant qu'il n'y avais rien de mal a sa et qu'elle était lesbienne, rien de bien méchant. Mais elle elle le vivait comme un calvers, voulant devenir  Sage-Femme et a l'avenir avoir des enfants.

Je lui et dis qu'elle pouvait être Bisexuel, autant avoir des relations avec des femmes que des hommes. Mais elle était pas a l'aise avec cette idée, car comme je les dis j'était sa première fois. On a passer la plupart de la soirée a parler de sa, elle me poser beaucoup de questions sur comment j'ai sue que j'était Bis, avec qui j'avais couché la première fois, femme comme homme, j'avoue avoir évidement mentis sur l'homme, ne voulant pas crée de problème... j'ai donc dis que c'était avec mon ancien mec Adrien, même si en réalité il ne ma jamais baisé. Elle n'en aurait jamais la preuve de toute façon.

Minuit approché, il devait être vingt-trois heure trente quant les deux jumelle Julia et Hélène se sont levé de la table en s'excusant et elle sont parti a l'étage.

Les ayant regardé partir j'aperçue quel que chose que je pense que je n'aurai pas du voir.

Quant elles sont arrivé dans la cage d'escalier, pensant que plus personne ne les regarder elle se sont pris la main.

Rien d'extraordinaire me dirai vous mais, cette manière n'était pas pareil que comment on tient la main de sa sœur ou de sont frère, ou même de son cousin.

Cette idée m'obsédant, et me demandant se qu'elle fessais, j'attendis quel que minute avant de joué la comédie en disant a haute vois.

- Elle font quoi les Jumelles ? Bon je vais aller voir se qu'elle fabrique.

Se qui me donner l'occasion de monté, et vue que tout le monde m'avait entendu personne ne montrait dans les dix prochaine minute, largement suffisant pour savoir se qu'elle fessais et redescendre.

Montant a pas de loup, j'entendait rien. J'approchai de la salle de bain, personne.

C'est a se moment que je vis la porte de la chambre dans la quel elle dormais s'entre ouvrir, la lumière de la chambre attirant mon regard.

Je m'approcha donc a la manière d'un espion dans un film de la porte pour regarder dans l'embrasure de celle-ci.

Et la se que j'ai vue ma simplement cloué sur place.

Elle était entrain de...baisé !

Hélène était allongé sur le dos et Julia avait un gode-ceinture et la baisé puisement en lui tenant le cou.

Pour être sur qu'elle ne me surprenne pas a les regardé je mis ma main devant la bouche, et j'aurai aussi bien pue partir mais... je rester la, bloquer sur cette vue.

Hélène était en pleine extase tendis que Julia elle la baisé d'une violence que je ne lui connaissais pas.

- T'aime sa salle truie ? Bien sur que tu aime sa salle cochonne, tu aime t'en prendre plein la chatte en te fessant étranglé part ta propre sœur !! 

- Ouii, Ouii Maîtresse J'aime sa, Aaaaa !!! Encore !! baisé moi plus fort !! faite moi mal ! Dressé cette chienne que je suis ! j'ai était vilaine je mérite une punition sévère et profonde.

Julia sorti le gode-ceinture du vagin d'Hélène et l'attrapa part les cheveux avant de la jetté contre les murs de la chambre.

- Tu bouge pas salle pute ! Si tu bouge je te fouetterait tellement fort que tout le monde t'entendra et saura qu'elle chienne tu es.

- Non, pas sa, je veut pas qu'il sache, mais je veut que tu me fouette.

- Silence ! Dis Julia en lui donnant une fesser résonnant dans tout l'étage accompagniez d'un crie a moitié retenue.

- Tu ose me donner des ordres ? Dis Julia en attrapant part la gorge Hélène et l'étranglant.

- Pardon Maîtresse, pardon je ne recommencerai plus promis.

- Tu a intérêt si tu veux que je continu a te nourrir de ma chatte esse bien clair ?!

- Oui Maîtresse, pardon, je vous pris de bien vouloir me baisé comme une salle chienne.

- Demanda accepté.

Elle enfonça d'un seul cou l'intégralité du gode-ceinture dans le cul d'Hélène en lui tenant la bouche pour l'empêcher de crié trot fort avant de la baisé puisement et énergiquement.

Pour ma part, cacher dans l'obscurité du couloir, les regardants a travers l'embrasure de la porte, mouillant comme une folle en voyant et entendant sa, déjà voir mes cousines nue m'aurait grave excité mais la, les voir entrain de baisé et entre elle et en soumission en plus. j'ai rarement autant mouiller qu'a cette instant en regardant des gens baisé. 

Sa a duré une quinzaine de minute facile, Julia continué d'insulté Hélène qui était étouffé part la culotte de Julia qu'elle lui avais mise dans la bouche pour qu'elle arrête de faire du bruit et arrête de répondre a sa Maîtresse. la prenant part le cul et la chatte de suite sans ménagement.

Je me surpris même a me doigté en les regardants faire.

Mais alors que Julia était entrain de mordre les tétons d'Hélène dans ses crie étouffé de douleurs mélangé au plaisir qu'elle poussé a travers la culotte dans sa bouche. J'entendis quel qu'un monté, et heureusement qu'une des marches fait du bruit sinon je ne l'aurai pas entendu arrivé. Mais la marche en question et la dernière après il y a la porte et en face se trouve la chambre d'Hélène et Julia, et moi juste devant entrain de les mater en ayant une main dans mon pantalon.

Je n'avais d'autre choix que de saisir la poignet et claqué la porte en fessant exprès de sortir de la chambre pour faire comme si de rien n'était et pour les prévenir.

Et en plus en me retournant je suis tombé sur leur père. Homophobe a souhait, de toute ma vie je n'avait jamais rencontré quel qu'un d'autre autan méprisé les homosexuel. évidement je lui cacher mes relations avec Sophie et mes parents aussi. chaque famille ont leur secret.

- Tient tonton comment ça va ? Dis-je assait fort pour qu'elle entende derrière la porte.

- ça va bien, ou sont mes filles ? C'est bientôt minuit. Demanda t'il avec un grand sourire un peut alcoolisé.

- Ho elle sont dans leur chambres, elle sont monté se refaire une beauté, le maquillage d'Hélène avais un peut coulé du cou, puis quant je suis arrivé on ses mise a parler et on a pas vue le temps passer hihi, elle arrive ne t'inquiète pas, elle finisse les retouches et sa sera bon.

- Ho bas je vais aller les voir pour...

- NON ! (...Merde pourquoi j'ai dis sa comme sa...) euh... et si tu aller me montré se que tu a acheté tout a l'heure au marché plutôt, tu me la pas montré a moi.

- ah bon ? T'es sur que je te les pas montré ?

- Certaine. Bien sur que si tu me la montré ta gourmette a la con avec ton nom écrie en couleur or que tu tes acheté comme un gros nombriliste et narcissique que tu et...

- Et bien dans se cas je vais te la montré avec grand plaisir. Pourquoi cette phrase a toujours un double sens avec moi... bref

J'avais réussi a éloigné leur père et leur donné assez de temps pour qu'elle se rhabille et descende. Mais je m'était cramé en même temps.

Quant elle sont arrivé en bas comme si de rien n'était elle on eu toute les deux un regard en mon égard. Mais alors que je m'attendait a un regard des plus froid se fut des regarde empli de gentillesse et de gratitude. Mais également voulant dire qu'elles avais l'intention de me parler de se que j'avais vue dans cette chambre.