Dans sa maison, Martin avait un chat roux, Flocon, aux poils doux. Il l'aimait, il câlinait Flocon qui trouvait son plaisir sous la main inspirant la paix qui lui donnait un bonbon par jour.

Mais il disparut un soir. Son chat, Flocon, l'animal qui aimait tant dormir, nous quitta un soir. Il vivait, roulait son dos poilu sur un gazon, sortait sans savoir si Martin, son humain qui l'accompagnait, approuvait. Un soir, avant sa disparition, Martin câlinait, papouillait son poil roux, son poil doux : il y trouvait la paix. Mais, plus tard, Flocon sauta d'un balcon. Son dos, son poil doux, s'aplatit sur un gazon. Sa mort s'abatit sur Martin, l'attrista. Flocon avait disparu.