« Ma chère Elena,

Il est difficile de coucher sur le papier les émotions qui tourbillonnent en moi chaque fois que je pense à toi. Depuis ce jour béni où nos regards se sont croisés pour la première fois dans cette salle de classe de mathématiques, j'ai été envoûté par la magie de ta présence.

Tu es une muse pour mon cœur, une lumière qui éclaire chacune de mes journées. Les éclats dorés de tes cheveux châtains et la lueur captivante de tes yeux verts ont le pouvoir de transformer la grisaille du quotidien en un tableau vivant de bonheur. Chaque rire que tu partages, chaque éclat de joie dans ton regard, résonne en moi comme une mélodie enchanteresse.

Au fil des jours, notre amitié s'est tissée comme un fil invisible mais solide qui relie nos cœurs. J'ai appris à connaître la merveilleuse jeune femme que tu es, une personne qui sait apprécier la beauté simple de la vie et qui apporte de la lumière à tous ceux qui ont la chance de te connaître.

Cependant, il est temps pour moi de te confier la vérité qui pèse sur mon cœur depuis bien trop longtemps. Mon amitié pour toi a évolué, a grandi et s'est transformée en quelque chose de plus profond, de plus intense. Elena, je brûle d'amour pour toi.

Je me tiens ici, vulnérable et sincère, espérant que tu ressentes ne serait-ce qu'une fraction de ce que j’éprouve. Chaque battement de mon cœur semble réciter ton prénom, et chaque pensée mène à toi. Je ne peux plus contenir ces sentiments, et il est temps pour moi de les partager avec toi, car tu mérites de connaître l'effet magique que tu as sur moi.

Que ce soit dans les moments joyeux, dans les rires partagés lors des soirées, ou dans les silences complices qui ont tissé notre amitié, je voulais que tu saches que pour moi, chaque moment passé à tes côtés est une bénédiction.

Peu importe la réponse que tu choisis de donner, sache que notre amitié est précieuse à mes yeux. Ton bonheur est ma priorité, et même si mes sentiments ne sont pas partagés de la même manière, je continuerai à chérir l'amitié qui nous lie.

Avec tout mon amour, Charles. »