Plaisirs interdits
Quand entre mes deux fesses, un chemin il se fraye,
C’est comme une promesse, qui au début m’effraye,
Ce petit orifice, ce joli petit trou,
Que le prêtre à l’office, a déclaré tabou,
Recèle bien des mystères, des secrets ambigus,
Que l’on ne peut pas taire, quand on aime le cul.
Filles de petite vertu, catins ou gourgandines,
Amoureuses éperdues, ou douces Valentines,
Se pâment et crient encore, quand leur amant délaisse,
Leur petit bouton d’or, pour mieux baiser leurs fesses,
Mais revenons à moi, avant ma digression,
Car grand est mon émoi, devant cette agression.
Parce que précisément, vous me voyez offerte,
C’est par là qu’il me prend, et je cours à ma perte.
Il va et vient en moi, dans mon petit bonbon,
Encore encore une fois, je jouis c’est trop bon.
Quand dans mon fondement, enfin il se répand,
Oh bien profondément, quel vilain chenapan …
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