Allongé
Ils sont bien là, allongé à même le sol. La terre n'est pas trop dur, en même temps cela m'aurait étonner, il fait ni trop chaud ni trop froid, l'odeur on si habitue vite.
<<- Aaaah... Qu'est ce qu'on est bien là ! Pas vrai Cadi !
-...
- Tu pourrais me répondre quand même !
-...
- Enfin bon c'est pas comme si j'étais pas habituée... A force je parle toute seule vu que tu ne m'écoutes pas, j'ai raison ?
-...
- C'est ce que je disais ! C'est de ta faute si au village on me prend pour une fille bizarre !
-Tu ne veux pas plutôt dire une psychopathe ?
- Qui a parlé ?!
- C'est moi ! Cadi !
- Depuis quand un cadavre peut parler ?
- Je suis dans ta tête...
-Ah !>>
Je vous présente Katherine.
Depuis toute petite, les enfants et les adultes l'a trouvait étrange. Elle riait sans raison ou alors devant un cadavre d'un petit animal. Généralement, elle restait dans son coin toute seule mais quand elle s'approchait de vous, on pouvait entendre des voix d'hommes adultes lui susurrant des suppliques.
Elle ne ressentait qu'un seul sentiment, la joie dans le meurtre. Elle s'émerveillait devant les entrailles et les tripes, elle tripatouillait, touchait, sortait tout ! Elle décomposait et déchiffrait le corps humain de l'intérieur ! N'est-ce pas excitant ! Elle tuait de ces propres mains pour avoir la joie de voir les immondices qui lui sert de voisin la supplier de les laisser en vie.
<<- Kat... Katherine...
- Ah ! M. Rambin ! Alors toujours en vie ?
- S'il te plait... épargne moi...>>
Il haletait, il allait mourir.
<<- A une condition.
- Tout ce que tu veux...
- Fait le poulet !
- Quoi ?
- Fait le sinon je te torture
- D'accord ! >>
Il se leva avec beaucoup de difficulté et commença à faire le poulet. Il battait des ailes, pondait un œuf...
<<- Dite monsieur, vous seriez prêt à tout pour survivre non ?
- Oui ! Tout !
- Bien... Viol ton fils.
- Quoi...?
- Viol le cadavre de ton fils, sinon...
- Ok... ok, je vais le faire !>>
Et il violait son fils sous les yeux de la jeune Katherine. Elle lui ordonnait de claquer les fesses de son fils, de l'embrasser, de le lécher, de lui dire qu'il avait un cul aqueueillant*, même sa mère n'était pas un si bon coup ( et ça c'est lui qui le dit sans ordre de Katherine). Il lui faisait les pires outrages de lui-même, sa sœur n'avait pas une peau si douce ni un fessier si ouvert et il pouvait le crier haut et fort puisqu'il y goûtait tous les jours pendant huit ans, devant sa femme. Il jouissait mais continuait sans relâche.
<<- Il suffit Monsieur.
- Non pas encore !
- Mais tu vas arrêter oui !>> Elle lui envoyait son pieds dans son trou arrière. Il aimait ça.
<<- Tu veux continuer ?
- Oui maitresse !
- Bien... dévore le en même temps.
- OUI !>>
Il mangeait le cadavre de son fils alors qu'il continuait de le violer. Cependant il avait toujours faim alors il bouffait le corps sans vie de sa fille et de sa femme alors qu'il restait dans l'antre chaude à cause des frictions de son pénis de son fils. Finalement, sa femme a enfin eu ce qu'elle voulait, une langue morte !
Katherine, elle, riait. Elle riait comme elle ne l'avait jamais fait ! Cet homme est vraiment près à tout pour survivre ! Comme moi ! A l'époque ! Aaaah l'orphelinat...
<<- Tu m'amuse plus !
- Quoi ?>> Il avait la bouche pleine des ovaires de sa fille.
<<- Tu m'amuse plus !>>
Elle lui planta sa main dans le ventre et s'assit sur son bassin quand il tombait pour ne pas le laisser s'échapper.
Elle lui susurrait des mots à l'oreille. Il criait. Elle lui entaillait la peau et la lui retirait comme une banane ! Elle s'amusait à l'exciter en pressant son bassin (ainsi que son vagin recouvert de sa culotte) sur sa verge pour l'enrager. Elle croquait sa chair pour laisser des marques (ça compte comme tromperie d'ailleurs ?). Elle passait sa langue sous le globe oculaire et le fit sauter. Boup, fit-il. Elle le gobait et embrassait l'homme en dessous pour le lui donner et l'étouffer avec. Il auras son alimentation à l'œil au moins.
Pendant qu'il s'étouffait et que Katherine l'excitait en même temps, elle en profitait pour lui ouvrir le ventre.
Elle le laissait là, se vidant de son sang en s'étouffant et se masturbant. Quel homme...
Katherine partit tout en se demandant...
[ Est-ce que j'ai éteins le gaz ?]
*aqueueillant: Fait exprès.
Et voilà ! Ce n'est que le premier chapitre mais tout de même ! Je me suis bien fendu la poire en l'écrivant ! Les autres chapitres seront bien pires alors attendé leurs sortis !
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