Adeline à la maison de repos

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Comme tous les mercredis depuis deux mois, et d'autant plus maintenant qu'elle avait plus de temps libre, Adeline rendait visite à sa mamie à la maison de repos, où elle était pour se remettre d'une mauvaise chute qui lui avait fêlé le bassin. Adeline était appréciée par le personnel, parce qu'elle arrivait toujours avec un panier de gourmandises à partager entre résidents et salariés. Alors lorsqu'elle débarquait, elle avait le droit à une flopée de sourires et de bonjours enjoués. Elle aimait bien, même, ce monsieur Patrick, qui la reluquait et lui faisait des compliments sur ses formes tout en avalant une des friandises qu'elle avait ramenées. Il lui était même arrivé, une fois, de surprendre une bosse entre ses cuisses alors qu'elle avait mis une jupe courte.

Mais aujourd'hui, pas de Patrick. Sa mamie lui apprit que le pauvre homme avait fait une mauvaise chute et était coincé dans son lit avec un plâtre à la jambe. Elle eut de la compassion pour lui. Il lui avait parlé de son plaisir de la marche. À plus de 70 ans, il lui arrivait encore de partir randonner pendant deux ou trois jours, en compagnie d'autres marcheurs, pour ne pas inquiéter sa famille. Et il fallait bien avouer que cette activité sportive faisait de lui un homme certes grisonnant, mais plutôt bien entretenu physiquement.

Adeline avait donc mis de côté quelques gâteaux pour les lui porter après avoir passé un peu de temps avec sa grand-mère, l'avoir écoutée se plaindre de sa hanche guérissante, du personnel trop pressé, et de la nourriture qui était une véritable injure au mot "alimentation". Alors Adeline pianotait discrètement sur le clavier de son téléphone, plaisantant avec Sybille sur le fait qu'elle allait se retrouver seule avec ce Patrick dans sa chambre. "Est-ce que notre domination doit passer par les plus de 70 ans?" demanda-t-elle en s'empêchant de pouffer de rire. Mais Sybille ne prenait pas la chose à la légère, contrairement à Adeline et parfois Shana. Il était important pour la chef du groupe que chacune, et d'autant plus la dernière arrivée, prenne le même chemin que les autres. Voilà pourquoi Sybille lui répondit: "Ne reviens pas nous voir si tu n'as pas le goût de son foutre à la bouche. Nous serons dans le parc de la résidence dans 30 minutes".

Voilà que Sybille lui lançait un défi? Elle savait que ce ne serait pas difficile de le faire bander et il ne l'empêcherait sûrement pas de le sucer. Mais elle ne connaissait pas les allées et venues du personnel soignant. Elle pouvait encore moins prévoir l'arrivée de quelqu'un de sa famille. Mais elle avait 30 minutes pour le faire jouir dans sa bouche et prouver à Sybille qu'elle était prête à tout.

Elle réussit rapidement à mettre fin aux lamentations de sa grand-mère en prétextant qu'elle avait un devoir à terminer pour le lendemain. Elle se dirigea aussitôt vers la chambre de Patrick, au premier étage. À cette heure, toutes les chambres ou presque étaient vides. Entre les visites et les activités collectives, les résidents étaient presque tous descendus. Elle frappa doucement à la porte et entendit la voix grave de Patrick lui dire d'entrer. La surprise de l'homme, mêlée à la gêne de n'être pas habillé comme il faudrait, amusa Adeline qui posa les petits gâteaux sur la table de chevet.

-- Tu es trop mignonne, petite. C'est adorable de penser aux papilles d'un vieil homme comme moi!

-- En fait, répondit Adeline en s'asseyant sur le bord du matelas, une main glissant sur les draps en direction de son entre-jambe, ce n'est pas vraiment à vos papilles que je pensais.

-- Mais qu'est-ce que...

-- Chuuuttt...

Cela devait faire des années qu'il ne s'était pas fait palper de la sorte, et le vieil homme ne put cacher son plaisir. Adeline tira sur son débardeur pour en sortir un sein tout rond, le mamelon dardé d'excitation.

-- Je vous ai déjà surpris bander pour moi, Patrick, lui dit-elle en passant sa main sous le drap pour le saisir plus fermement. Et je peux vous dire une chose: je n'aime pas qu'on bande pour moi sans m'en faire profiter.

De sa main, elle avait repoussé le tissu de son slip et elle le branlait de toute sa longueur. Elle était courte mais assez épaisse. Le vieux commença à ouvrir la bouche pour lui répondre quelque chose, mais elle posa son index sur ses lèvres pour lui intimer de se taire. Ce qu'il fit volontiers lorsque la douce main juvénile pressa ses couilles pleines.

Patrick posa une main tremblante sur le sein d'Adeline et le malaxa maladroitement pendant que le jeune fille repoussait le drap. Elle fut assez déçue, en fait, du sexe de l'homme. Musclé comme il était, elle s'était attendue à une verge tout en puissance, mais jamais il ne pourrait cogner au fond d'elle avec une queue si courte. Par contre, ce serait un véritable jouet d'enfant pour sa bouche.

Elle se pencha au-dessus de lui et fut prise par une odeur mêlant urine et sueur. Mais elle prit sur elle. La situation l'excitait bien trop pour s'arrêter à cela. Elle décalotta son gland et le lécha avec force salive, qui coula le long de sa verge tendue comme un élastique prêt à se déchirer. À peine ferma-t-elle les lèvres sur sa verge pour commencer à le sucer, que le pauvre Patrick jouit sans prévenir. Surprise, mais pas décontenancée, Adeline avala facilement les longues giclées de foutre de l'homme. Sans ciller, malgré le goût amer prononcé. Elle le garda en bouche le temps de recevoir chaque goutte de sperme qu'il avait à lui donner.

Mais Adeline était frustrée. Ça avait été un défi trop facile à relever. Le vieil homme tentait de reprendre son souffle sur son oreiller pendant qu'Adeline relevait la tête en lui souriant, remplaçant sa bouche par sa main sur son sexe déjà tout rabougri:

-- Je comprends, lui dit-elle en caressant ses bourses et son périnée. Vous n'avez sûrement pas joui depuis des lustres. Peut-être même que c'était la première fois de votre vie qu'on posait des lèvres sur votre bite. Mais je n'ai pas eu le temps de profiter. Laissez-moi faire, monsieur Patrick, et je vous promets que votre queue va redurcir.

Patrick ne répondit rien. Il était simplement aux anges. Cette jeune femme était en train de lui offrir la plus belle partie de sexe de sa vie, la plus directe et concupiscente. Alors il se concentra sur son souffle et uniquement cela, pendant qu'Adeline le reprit en bouche, aspirant son sexe entier, les lèvres posées sur la garde de son pieu mou, et les doigts pressant ses couilles encore frétillantes de s'être vidées.

À sa plus grande surprise, il sentit sa queue durcir à nouveau. Il avait sorti le deuxième sein d'Adeline de son débardeur et ceux-ci lui caressait la cuisse pendant que la jeune femme ricanait de plaisir, à présent que son jouet reprenait forme. Elle se tortilla et sortit son téléphone.

-- Vous permettez? lui demanda-t-elle. J'aimerais garder un souvenir.

Patrick n'était pas dupe des nouvelles technologies et il savait qu'il pouvait rapidement finir sur une de ces plateformes où les gens chargent des vidéos de cul et sont vues par des milliers de personnes. Mais quelle réputation avait-il encore à défendre? Il fit oui de la tête et Adeline se mit à le pomper en se filmant. Il ferma les yeux en râlant d'un plaisir jusque-là jamais égalé, pressant un sein d'Adeline avec une force qui fit grimacer la jeune fille.

Un instant, elle releva la tête et il la sentit presser ses bourses contre sa verge. Une petite douleur aigue le lança et il ouvrit les yeux, prêt à protester, mais il tomba sur le regard d'Adeline, qui semblait enfin en profiter.

-- Je vais tout vous avaler, monsieur Patrick.

Et avant qu'il ne puisse comprendre ce qui se passait exactement, il sentit sa verge et ses boules, avalées par la bouche grande ouverte de la jeune lycéenne. Sa langue pendue caressant son périnée laissait couler un épais filet de salive. Elle referma un peu plus son emprise sur son service trois pièces et lui fit sentir ses dents sur la base de sa queue et sous ses couilles. Elle sentait sa bouche enfin remplie. Elle se mit à remuer langue et mâchoires, offrant un massage inédit à l'homme qui s'agrippait aux draps. Tout son corps était en sueur, tendu d'un plaisir presque insoutenable pour lui. Elle jeta un coup d'œil sur son téléphone et se fit un clin d'œil à elle-même, destiné en fait à Sybille. On voyait bien qu'elle tenait tout dans sa bouche et elle savait d'avance que cela ferait mouiller ses amies.

Elle sentit enfin le vieil homme se crisper de tout son être. Par réflexe, elle releva la tête et se mit à suçoter son gland gonflé, tout en lui branlant la base de la verge du pouce et de l'index rejoints autour de ce pieu. Lorsqu'il se vida les couilles dans sa bouche, sans qu'elle n'en rate une seule goutte, elle se demanda depuis quand ça ne lui était pas arrivé. Son sperme avait presque un goût de renfermé, mais elle l'avala sans broncher. Elle lui souriait, même, et lui offrit quelques léchouilles sur le dessous de son gland avant qu'il ne se rabougrisse.

-- Ce sera notre petit secret, monsieur Patrick.

Adeline s'en alla prestement, sentant sa culotte coller à ses lèvres qui s'étaient humidifiées pendant cette fellation. À l'extérieur, elle s'empressa d'aller se promener dans le parc, saluant les résidents qu'elle reconnaissait. Au loin, elle voyait déjà sa bande d'amies rire ensemble près du petit étang où barbotaient des canards.

Sybille vint à sa rencontre et l'embrassa à pleine bouche. Adeline laissait volontiers cette douce langue venir récupérer les molécules encore présentes sur ses papilles. Aussitôt, tout son corps réagit à cette vérification. Souriant de toutes ses dents en devinant le goût du sperme dans la bouche de son amie, Sybille lui prit la main pour rejoindre les autres.

Adeline s'empressa de leur montrer la vidéo, et l'effet escompté fut plus que présent. Chauffées à blanc, toutes eurent des caresses pour elle et elles s'enfouirent en riant dans le bois qui avoisinait la maison de repos.

À l'abri des regards et des oreilles indiscrètes, Sybille leur demanda de se mettre en cercle. Chacune des Sardanapales savaient ce que ça voulait dire. Elles se prirent par la main et s'assirent de façon à se voir toutes, après s'être mises à l'aise; celle-ci ouvrant son pantalon, l'autre en relevant sa jupe, ou celle-là en baissant son short. Avant même que Sybille ne commence à parler, elles se caressaient toutes, une main entre les cuisses, un doigt faisant rouler son clitoris. Ayant déjà une excitation d'avance, Adeline y allait doucement, pour ne pas jouir pendant le discours de leur meneuse, contrairement à Sasha qui astiquait déjà vigoureusement le sien.

-- Adeline nous a montré aujourd'hui que notre plaisir, s'il est une chose importante, ne peut pas suffire. Les beaux mecs, forts et puissants, avec des queues à vous ouvrir l'utérus... hummmm Ce que j'aime ça... Mais aussi les petits, moches... ou vieux. Tous doivent être à notre botte. Et nous ne devons reculer devant rien pour parvenir à nos fins. C'est par le sexe que nous leur feront comprendre notre supériorité. Parce que comme me l'a toujours dit ma mère: même soumise, c'est la femme qui mène le jeu. Oh! Même sous le fouet, c'est elle qui réclame et non l'homme qui s'impose. Mes amies... Mes sœurs... Mes chéries... Jouissons... La dernière qui jouit devra à son tour nous montrer qu'elle n'a pas de limite.

S'ensuivit un concert de gémissements. Contrairement à d'autres filles de leur âge qui s'adonneraient à ce genre d'activités, les Sardanapales ne retenaient pas leurs cordes vocales. Elles étaient sept à geindre d'un plaisir agrémenté par la vue de leurs amies en train de frétiller d'envie, d'agiter leurs trois doigts dans leur vagin, puisque telle était la règle, une fois le discours terminé.

Adeline vint la première, rapidement suivie par Leïla. Moira s'agrippa à la main d'Adeline en terminant la troisième. Sybille suivit quelques temps plus, de concert avec Louise et Jade, laissant une Shana en nage, qui pourtant ne lésinait pas sur la puissance de ses va-et-vient, au point de se faire gicler devant ses amies, en hurlant sans aucune retenue, choquant sûrement les oreilles les plus proches dans le parc. Elle n'eut pas le temps de reprendre son souffle que Sybille déclarait déjà:

-- Tu nous prouveras que même nos pères ne feront pas exception à la règle, Sasha.

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