Chapitre 7
La Famille
- Heu… Oh oui, je suis un ami de votre fille Clarrence – Dit je.
- Maman, s’il te plaît, tu peux nous laisser ? - Dit Clarrence
Sa mère s’en va toujours avec son sourire diabolique tenant les fleurs que je lui ai offerte en allant dans la cuisine, tandis que Clarrence m’emmène au salon. On s’assoit en face-à-face l’heure de la discussion à sonner.
- Eric… Avant que l’on ne commence, je suis désolé que tu sois tombé amoureux d’une fille qui ne saurait pas être comme les autres… - Dit elle.
- Clarrence… Tu n’es pas comme les autres filles, tu es différente, intelligente, belle et j’aime tout ce qui est différent de la normalité, et aussi, je tiens à m’excuser pour ce que j’ai pu te dire ce matin à l’université… - Lui répondit je.
On se regarde longtemps dans le silence avant que sa mère n'arrive avec un plateau rempli de gâteaux et deux tasses de thé bien chaude avant de partir le sourire aux lèvres, bon sang, mais elle me fait vraiment peur avec son sourire, on dirait qu’elle allait nous dévorer.
- Elle est tout le temps souriante comme ça ta mère ? - Lui dit je.
- Seulement quand elle est sous un calmant et anti-dépresse – Dit elle.
- D’accord, bon, je t’écoute. - Lui dit je.
Clarrence me regarde une nouvelle fois dans le silence puis elle respire un bon coup.
- Cela remonte le jour de ma naissance, je suis née sans émotions. Les médecins disent que c’est une maladie rare mais guérissable, alors ils me surveillent, mais si c’est guérissable, il est fort probable que je puisse ne plus être moi-même… Et je ne veux pas ressembler à ces filles qui sourient tout le temps à longueur de journée et je refuse d’être comme ça – Me dit Clarrence.
- Pourquoi tu as tué le prof de sculpture M. Rousol – Lui dis-je – Il ne t’avait rien fait n’est ce pas ? - Continuais je.
- Exact… Il ne m’avait rien fait, et ont ma payé pour le tuer – Dit elle.
Je me redresse un peu du canapé posant mes bras sur mes genoux la regardent.
- On t’avait payé pour le tuer ? Pourquoi ? - Lui dit je.
- Ça, je ne peux pas te le dire – Dit Clarrence.
- Tu ne peux pas ou tu ne veux pas. - Lui dit je.
Je lui fis un moyen de pression, car je sentais bien qu’elle ne me disait pas tout ce que je voulais entendre.
Je la regarde dans les yeux avant de regarder ailleurs.
Le reste de la soirée, c’était pas trop mal passée même si le blanc était présent j’avais quand même put avoir beaucoup d’informations sur elle, maintenant, je sais pourquoi elle n'a aucune réaction faciale. Une heure plus tard, je suis sur la route pour rentrer chez moi, une seule question me tourmente Est elle vraiment une vrai criminelle ? Ou bien est elle une sorte de tueuse à gage ? Et commença, elle est payée ? Toutes ces questions qui restent sans réponse.
Le lendemain après la discussion que j’ai eu avec Clarrence hier soir, je vis la mère de Clarrence venir vers moi .
- Bonjour ! Eric, c’est ça ? - Dit elle.
- Heu, Bonjour ? Ou c’est moi, vous êtes la mère de Clarrence ? - Lui répondit je.
- Oui, on doit parler toi et moi, c’est à propos de ma fille – Dit elle ;
Je la regarde et vis son sourire s’enlever faisant place à un visage sérieux, woh sa fait froid dans le dos. Mais je hoche ma tête.
On part s’asseoir dans un parc sur un banc près d’une fontaine, et je décide de lui laisser prendre la parole.
- Tout d’abord, sache que je suis heureuse que tu aimes ma fille, tu sais qu'une mère est prête à tout pour le bonheur de son enfant et de le protéger de tous les dangers, tu le sais n’est ce pas ? - Dit elle.
Je la regarde attentivement en l’écoutant parler.
- Pourquoi vous me dites tout ça ? - Lui demandais je.
- Parce que tu l'as accepter sur ce qu’elle est, et tu as voulu tout stopper avec elle juste pourquoi ? - Dit elle.
Je ne savais pas ce, je devais lui dire où pas, mais à ce que je vois elle n'est pas au courant de ce que sa fille fait.
- Excusez-moi Mme Labelle, mais je vais y aller – Lui dis-je en me levant.
Elle me regarde et se leva aussi.
- Sache que c’est la première fois que j’ai vu ma fille sourire et être heureuse, si tu l’aime vraiment alors ce qui c’est passé devrait passer au-dessus de ta tête – Dit elle.
Puis elle part dans ma direction opposée où j’allais.
Quant à moi, je partis voir Clarrence, mais ce qu’a dit sa mère m’a fait réfléchir, si je l’aime vraiment alors je devrais surmonter ce que Clarrence est vraiment et de ce qu’elle a fait. Après tout, ce n’est qu’une question de famille et je compte bien protéger Clarrence, mais j’étais loin d’imaginer ce qui allait se passer quelques semaines plus tard quand Clarrence commet à nouveau un meurtre qui était involontaire cette fois-ci, tout aller très vite basculer d’un côté qu’on aurait très bien pu éviter.
Ce soir-là, alors qu’il fait nuit noire et que le froid, c’est installer, Clarrence est moi étions en train d’enterrer un cadavre dans les bois.
- Rappelle-moi pourquoi je t’aide déjà ? - Lui dit je.
Parce que tu es le seul en qui j’ai énormément confiance et qu’aussi… Je n’avais personne d’autres que toi… Appart… Une amie. - Dit elle.
- Comment ça une amie ? - Répondit je.
Clarrence se redresse plantent sa pelle dans la terre avant de me regarder.
- J’ai une amie à moi qui est très doué dans l’informatique est qui… S’occupe de quelques dossiers quand j’en ai besoin. - Dit elle.
Je la regarde surprit.
- Et c’est seulement maintenant que tu me le dis que tu as une complice ? ! Mais attend ? Je suis aussi ton complice ?! - Lui dit, je paniquais.
- Rassure-toi non, tu n’es pas un complice. - Dit elle.
- Je t’ai aidé à cacher un cadavre dans les bois en pleine nuit avec un froid glaciale ! - Lui dit je en criant.
- Bon ok ! Oui, tu es devenu un complice, mais ça ne veux pas dire que tu es une personne mauvaise – Dit elle.
Je la regarde dans les yeux avant de hocher ma tête.
On posa nos pelles part terre avant d’aller vers la voiture de Clarrence et d’ouvrir le coffre afin de récupérer le corps mort qui fut emballer dans un sac poubelle où on pouvait voir ses pieds et chaussure dépasser, ont le pris grâce à la force de nos bras et se dirige vers le grand trou que nous avons fait avant de le balancer dedans.
- Aller, on rebouche le trou et on s’en va - Dit elle.
On prit nos pelles et rebouche le troue.
Quelques heures, plus tard, Clarrence me déposa chez moi avant de partir chez elle. Je la regarder partir vers le noir obscur, tandis que moi, je fus là, dehors à regarder la route, mais je ne sais pas pourquoi, mais quelque chose me dit que les jours qui vont venir ne vont pas être de tout repos.
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