Interlude 2.
Alice était dans les bains avec d’autres femmes.
« Ou est Anne ? »
« Qui est-ce ? »
« Je suis où ? »
« Dans les bains, pourquoi ? »
Alice parut étranges aux yeux des autres.
Elle sortit des bains et entendirent des Hommes qui violentèrent Anne.
« Lâchez-là bande de … »
« Alice ? »
« Mettez les aux cachots, les deux ! » ordonna un soldat.
Elles furent mises aux cachots remplie de boues visqueuses et dégueulasses.
« Comment on va sortir d’ici ? »
Alice trouva par hasard un mini-tunnel égout laissant Anne.
Les soldats murmurèrent « On va leur couper la tête. »
Anne fut conduite et Alice fut recherchée.
Alice se faufila dans la foule avec une capuche noire.
« Aujourd’hui nous allons couper la tête à cette Femme pour rébellion ! »
Alice s’approcha.
Puis là, elle sortit de son cauchemar par la professeure Abdela.
« Vous dormez madame Alice ? »
« J’étais au pays des Merveilles sous l’Empire Romain et on allait couper la tête à Anne. »
Madame Abdela gifla violemment la joue droite d’Alice.
« Putain de profs ! »
Alice s’emporta, projeta les cahier, pleura et se rendit à la vie scolaire.
« Qu’y a t-il Alice ? »
« La prof m’a giflé. »
Alice avait emporté avec elle sa seconde constitution.
« C’est une dictatrice comme Jules César. »
« Nous irons régler cette affaire. »
Puis à la maison, Alice raconta à sa mère divorcée.
« Quoi ? La prof t’a giflé ? »
« Oui »
« Ton comportement n’est pas en rapport avec cet acte ? »
« Non. »
« Ton innocence te perdra ma fille. »
Une semaine plus tard, il y eut un remplaçant nommé Léon Napol.
Alice montra sa constitution.
« C’est intéressant pour les Femmes. »
« Merci, vous m’écoutez vous. »
« Je ... »
« écrivez pour tout le monde une constitution sous Napoléon Bonaparte.
« Quoi ? » lança Anne surprise.
« Ce n’est pas au programme. » lança un autre.
« Je m’en contrefiche. Une constitution sous Napoléon qui parlent des Femmes à cette époque-là. »
Les élèves se révoltèrent. Alice esquissa un sourire.
« L’avenir des Femmes est là, Léon Napol quel prof génial. Il me fait plaisir et n’est pas comme Abdela. »
Alors Alice rêva et écrivit une autre constitution plus ambitieuse.
Anne l’observa fixement avec un regard tranchant.
« Je vais lui faire couper la tête, cette conne. Un cours avec ses idioties féministes ! »
« Tu as raison, le féminisme n’est pas à l’ordre du jour. » dit Laurence.
Annotations
Versions