Moralité Interlude 3.
Sous le règne de Napoléon Bonaparte, Alice à cette époque-là fut éconduite vers la guillotine.
« Lâchez-moi ! »
« Ton pays des Merveilles n’est qu’un rêve. »
« Bande de lâches. »
Un Homme de Napoléon fit un discours solennel.
« Voici Marat, Robespierre et Alice, des révoltes, ils seront tués pour rébellions envers la société ! »
« Non ! »
« Lâchez Alice. » cracha Robespierre.
« Non, la règle est la règle petit. »
« Elle se bat pour des valeurs justes ! »
« Oui. »
Alice pleura et baissa sa tête.
« J’aime pas cette époque. »
« De quoi ? » incompris Marat.
Alice s’approcha de la Guillotine.
« Un dernier mot sale peste ? »
« Les Femmes prendront le pouvoir un jour ... »
« Jamais ! Jamais ! »
Puis il y eut des applaudissements sur les mots d’Alice.
Retour en 2025, Alice dormit sur la table.
Léon la vit.
« C’est normal qu’elle dorme ? »
« Non ... »
« Réveille-toi Alice. »
Puis les minutes défilèrent, elle semblait plus ou moins morte.
Léon l’amena à l’hôpital.
« Elle est morte, elle ne respire plus. »
« Pourquoi ? »
« Sans doute un trop d’émotions, arrêt brutal du cœur ou des poumons. »
Puis sa mère apprit la nouvelle et fut paniquée.
Entre les mains d’Alice les trois constitutions qu’elle avait rédigé dont le premier recoller.
Sa mère et le prof lut et versèrent des larmes.
Ils se regardèrent.
« L’Histoire est dédiée aux femmes car elles font les plus beaux cadeaux du monde : Les enfants. »
« Le plus important était de l’écouter. »
« Je crois que ma fille voulait apporter quelque chose en ce bas-monde. »
L’infirmière arriva.
« Arrêt brutal du cœur … le diagnostic est formel ! »
« Merde ! »
Ainsi, sa mère se portant garante pour devenir une Femme d’Histoire car les femmes doivent être égaux avec les Hommes, espérant que le monde évolue dans le bon sens.
Les viols, l’inceste, les harcèlements, l’indifférence, le sexisme, le racisme, l’homophobie et la xénophobie , malheureusement existeront toujours. C’est le propre de l’Humain.
Alice et son pays des Merveilles n’est finalement que Monde Cauchemardesque.
Pour sa mère, Alice est passée de l’autre côté du Miroir.
Quand sa mère se regarde, elle voit bien que le monde va mal.
Pourrait t-on vivre sans rêves ? Il est tant d’accomplir vos destinées, vous les Femmes et de dénoncer les médisances et l’inégalité de ceux qui vous entoure ici.
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