Chapitre 2 ~ Kim Taehyung
Je date, cette histoire date, pourtant je l'aime toujours autant.
J'ai pris pas mal de temps pour moi c'est...compliqué enfin bref passons sur le sujet de ma personne et voici un nouveau chapitre !
(perso dure à écrire j'avoue)
TW : sang, violences, maladie
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Nous nous réveillâles, joyeux, bondissant vers la fenêtre. Puis je regarda la soleil se lever. Les minutes passèrent, le soleil me brûlait les pupilles et j'en avais les larmes aux yeux, mais je continua à regarder l'astre orangée se dresser en roi du ciel. Un sourire aux lèvres je me mis à fredonner une musique joyeuse pour enfant :
"bonne ! Tomate, bonne ! Tomate
bonne bonne, ooh ! Tomate !
Rouge sur le fond et vert sur le dessus, toma toma-te à la tomate ! Miam !
Il y a des tomates dans mes pâtes !
Et des tomates sur ma pizza !
Mon trésor de charme rouge, comme j'aime les tomates !"
Je rigola et me jeta sur mon lit.
"Je vais vous en donnez une autre ! Je vais vous en donnez une belle !
Mangez une tomate délicieuse et venez danser avec moi !"
Toujours en fredonnant, je me leva et commença à tourner dans la pièce.
"bonne ! Tomate, bonne ! Tomate !"
Je n'entendis pas la porte s'ouvrir et réalisa seulement que quelqu'un était entré quand je sentis un regard sur moi. Je me retourna et vis un infirmier qui me regardais en souriant. Surpris nous nous arretâmes m'arrêta de danser.
"Tu es en forme aujourd'hui Taehyung ! me dit-il"
Je ne dis rien, je m'assis juste sur le lit et tendis mes mains. L'homme me donna mon médicament régulateur d'humeur et un verre d'eau. Je les pris et avala le comprimé. Mes yeux furent plus durs quand ils rencontrèrent ceux du garde-malade. Je repoussa l'autre et ma voix se fit plus grave.
"C'est bon. Il faut que je fasse autre chose ? demandais-je séchement."
L'infirmier me tendit un autre comprimé.
"Qu'est ce que c'est ? le questionnais-je suspecieux, Il ne ressemble pas à ceux qu'on me donne d'habitude.
_ C'est de la risperidone, ils essaient un nouveau type de traitement pour toi"
Je le regarda fixement, sans l'avaler.
"C'est un médicament qui est utilisé pour les personnes atteintes de la bipolarité et de la schizophrénie, c'est un traitement qui peut être utiliser pour réguler les troubles d'agressivités chez les jeunes, ainsi que les phases maniaques, débita t'il"
Bien que je n'ai pas tout compris il avait l'air sérieux, alors je pris le comprimé. Il me sourit, aprobateur. Je le regarda sans comprendre et me détourna. Mais il ne partit pas et s'assit sur le lit à côté de moi. Je resta interdit, puis me leva et me dirigea vers la fenêtre. Le soleil était déjà plus haut dans le ciel, mais je continuais à le fixer. Un oiseau passa, puis deux et trois... cinq au bout de quelques minutes. Quand je me retourna, l'homme n'était plus là. Il avait vraiment la capacité d'aparaître et de disparaître n'importe quand.
Après que l'infirmier soit partit, je sentis de soulagement, cet homme était très singulier et il faisait presque un peu peur, je ne l'avais jamais vu auparavant. Je sentis aussi une sorte de solitude s'emparer de moi et me ronger. Alors je me replia laissant mon autre personnalité prendre le dessus. J'était encore seul pour un temps indéterminé, enfermé entre ces quatres murs. En soupirant je sentis l'ennuis me gagner.
Avec elles je ne m'ennuyaient jamais. Tout n'était que sourires et rires, des fois on étaient épuisés les uns des autres mais sa ne durait jamais longtemps. Quand il n'était pas là on restaient debout jusqu'à tard à se raconter des contes. On jouaint à des jeux de sociétés et on achetaient de la glace à petit prix. Mais lorsqu'il était à la maison, c'était à peine comme si on n'osaient respirés. Chacun dans sa chambre, ne sortant que pour faire des taches ménagères, manger et se laver, où quand il nous demandait. Elles faisaient la cuisine, le ménage, essayant de ne me donner aucune tache trop dûre. Mais moi je voyais bien qu'il les martyrisait. Des fois, elle arrivait à me faire sortir, on courait dans le parc le plus proche et on jouait à cache cache pendant des heures. Si ils nous attrapais, il demandais à la voir. Mais après, quand elle revenait dans la chambre qu'on partageait tous les deux je la voyais essayer de cacher son corps meurtris. Alors je montais dans son lit et je m'allongeais la tête sur ces genoux. Elle me racontait des histoires dans le noir et on s'endormaient main dans la main. Jusqu'à ce que...
Je secoua la tête. Interdisant à mon autre moi de se rappeler de ces douloureux souvenirs.
J'approcha de mon lit et me roula en boule, rabatant les draps par dessus ma tête. Sombrant doucement dans l'inconscience, je partis dans un sommeil commateux.
Rêves sombres et brumeux dont nous ne n'on rappelions pas au réveil, mais qui nous hantaient. Rires gras d'alcooliques, cris meurtris, rires volés dans des escapades interdites. Encore et encore, en boucle dans notre esprit endormis.
Un bruit sourd résonna tout près de nous, suivis par un hurlement. Nous nous réveillâmes or de notre lit.
Autour de nous tout était flou, il la frappais encore. Nous devions le trouver, l'empêcher de continuer. Ces cris devaient cessés, nous devions les arêter ! Nous avaçâmes dans la salle, quand nous le trouvâmes enfin. Nous le plaquèrent contre le mur et l'immobilisèrent. Il essayait de se débattre, mais notre haine était plus forte. Nous saisîmmes la première chose que nos doigts atrapèrent et la brandirent pour lui faire payer.
"Tu es sûr grand frère ?"
Je lui dis de se taire, je n'étais que douleur et je pris le contrôle de notre corps.
Je donna un grand coups à l'homme qui avait détruit ma vie. Un hurlement retentit, mais cette fois il ne provenait pas d'une personne à qui nous tennions. Je le frappa encore, de toutes mes forces.
"Mais grand frère..."
Je chassa la petite voix qui se révoltais au fond de moi.
Le sang coulais sur mes mains, mais j'étais fière que ce ne soit pas du sang d'un être cher. Je devais me venger de toutes ces années de silences. Je lâcha l'objet et donna un coup de poing violent dans sa tête, un craquement sinistre retentit, peut-être son nez qui se cassait sous l'impact. Cet peur c'était transformée en colère. Et plus rien ne pouvais me stopper de déchenner cette haine...
"Arrêtes grand frère, ce n'est pas bien..."
A pars peut-être cet autre moi... Je lui souffla de se taire, mais il se rebellait.
Pendant ce temps, je continuais de rouler de coups ce monstre. Pour qu'il comprenne à quel point il m'avait blessé, à quel point il les avait blessées, je devais lui en faire ressentir aussi la douleur. Je saisis un objet coupant qui me rentra dans la chair de ma paume et l'enfonça dans son ventre.
"Stop grand frère ! Arrêtes !"
Violemment il repris le contrôle et nous tombâmes en arrière. Notre tête subis un choc et nous sentîmes quelque chose de dur nous rentrer dans le bas du crâne. Nous portâmmes nos mains à notre blessure et nous sentîmes un liquide poisseux dégouliner dans nos cheveux. Nous clignâmes des yeux et le brouillard qui si était levé disparus peu à peu. Je réalisa enfin ce que l'autre m'avait empêcher de continuer à faire. Devant nous, presque écroulé, se tenait un infirmier. Son nez saignait abondamment et je me rappela le craquement sinistre à la suite de mon coup de poing. Il était aussi blessé au niveau du ventre et je me souveins du tranchant de la lame ou du bout de verre dans ma paume. Des traces rouges maculait son corps et je me revis saisir un objet lourd et le rouer de coups.
"'L'Autre ?"
"Grand frère ?"
"Merci de m'avoir arrêter"
"Dis, on l'as tué ?"
"Non, je ne l'ai pas tué, il respire encore"
"On devrais appeler quelqu'un"
"Tu sais où on va nous amener après sa l'Autre ?"
"Oui... et je ne veux pas aller las-bas, j'ai peur"
"Tu te reculerais dans notre tête et je ferais en sorte de prendre tout, ne t'en fais pas"
"Mais je ne veux pas que tu es mal grand frère..."
"Tu auras mal aussi, mais moins"
"Je n'aime pas cette salle, elle fais peur, mais le monsieur vas mourir et ce n'est pas bien"
*soupir* "Tu as raison l'Autre"
Nous nous levâmes avec difficulté, toujours une main à notre blessure au niveau du bas de la tête. Nous nous approchâmes de la porte qui était encore ouverte, puis nous crîames à l'aide. Ce qui nous avaient sembler être une éternité était en réalité quelques minutes et déjà le bruit avait attiré les gardes. Les pas résonnaienr dans le couloir et se rapprochaient dangeureusement.
"Grand frère... j'ai peur..."
Une peur horrible nous tordait le ventre. Et comme un dernier espoir nous courûmes vers la porte que le garde avait laisser ouverte. Rendus dans le couloir, nous nous dirigèrent dans le sens inverse des pas.
"Grand frère... si ils nous attrapent après ça se sera encore pire !"
"Laisse moi faire d'accord ?"
"D'accord, mais laisse moi te parler, s'il te plaît"
Je ne répondis rien, mais ne le chassa pas. Nous continuèrent à courir. Mais j'entendais des voix s'approcher. Nous ralentîmes l'allure, elles ne venait pas de derrière nous, mais de devant. Nous baissâmmes la tête en voyant appprocher un patient sur un fauteuil roulant avec un garde qui le poussait. Au fur et à mesure que nous nous aprochions, nous pûmes remarquer qu'il était accrocher au fauteuil grâce à des menottes. Sans doutes pour empêcher qu'il s'échappe. Notre regrd croisa le sien. Et nous frémirent, dans ces yeux luisait une chaleur dangeureuse et emprisonante. Il détourna le regard avec dédain et nous pûmmes lire sur sa chaise "Min Yoongi, patient n° , catégorie ARMY". Nous nous stopâmmes net.
"Catégorie ARMY ?"
Le patient et son garde se retounèrent et nous fixaièrent.
"Oui, il fait partis de cette catégorie en question, pourquoi ? demanda la personne qui poussait sa chaise roulante.
_Combien y a t'il de patients dans la catégorie ARMY ? nous demandîmes d'une voix presque robotique.
_7 monsieur. Vous ne le saviez pas ? Vous êtes nouveau pas vrai ? Attendez je dois vérifier votre pass.
_Notre pass ?
_Oui, cette zone est très dangeureuse, elle est interdite à ceux qui n'en possèdent pas, répondit-il en me regardant bizarrement.
_Nous nous sommes, euh je me suis perdus excusez moi."
Nous nous retournâmes et commencèrent à partirent.
"Monsieur ! Revenez ici !"
Mais avant que nous puissions rétorquer une voix vide de sentiments et glaciale qui contrastait avec le feu violent de ces pupilles s'éleva.
"J'ai envie qu'on me ramène dans ma chambre, je vais étouffer"
Imméditament l'attention du garde se reporta sur la voix froide que j'identifia être celle de son patient. Nous en profîtames pour fuir. Nous devions nous cacher. Nous entrâmes dans une pièce sans nous poser de question.
Et nous tombèrent nés à nés avec le garde malade bizarre de ce matin.
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