Yvain

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Un chevalier assez malin,

Qui a su bravers destin,

A dut affronté un gardien,

Pour épouser son bien.

Puis s'en alla s'amuser,

En promettant de ne pas tarder.

Un an fut donner,

Pour ce ramener.

Mais ne vis point le temps passer,

Il en partie dans la forêt,

Se maudissant a jamais,

De ce qu'il avait fait.

Nue, il ce haïssait.

Jusqu'au jour où une demoiselle,

Mit fin a sa querelle.

De retour dans son état,

Il alla vers sa dame,

Qu'il avait laissé en larme.

Mais sa conscience se hâta,

Et il prit peur de son courroux,

Alors il fit demi-tour.

Il vit tout à coup un corps au long cou,

Qui s'attaquait à une bête à fier allure,

Le valeureux chevalier a grande carrure,

Trancha de son épée,

Le corps visqueux et épais.

Avec son nouveau compagnon,

Il partit pour de bon,

En quête d'aventure,

A dos sur sa monture.

Arrivé à un château lointain,

Il demanda hospitalité,

Que le roi ne put refuser.

Ce souverain qui était mal en point,

Avait besoin d'un grand coup de main.

Yvain accepta avec joie,

De sortir ce bon roi de son désarroi.

Ce preux chevalier,

Dut se mesurer,

Au géant Harpin,

Qui voulait arracher la fille du souverain,

De même à se priver de son propre bien.

Avec l'aide de son lion,

Il sortit de la bataille champion.

Repartit dans son périple,

Il dut faire vite,

Pour secourir Lunette,

Qui l'avait aidée,

Pour que sa Dame puisse l'épouser.

Faisant bataille contre trois,

Il dut faire de son droit,

Appelle a sa bête,

Pour leurs faire la fête.

De nouveau vainqueurs,

Il demanda encore une fois,

De faire raisonner son nom,

Le chevalier au lion.

Son épopée ne s'arrête pas là,

Car à nouveau fatiguer,

Il redemanda hospitalité,

Mais les villageois énervés,

Le fit enfermer,

Dans leur résidence.

Et par évidence,

Il calma sont lion,

Et posa des questions,

La réponse ne fut pas si compliquée,

Etant donné que 20 jeunes filles,

Devaient être emmener chaque année,

Pour tisser du fil,

Afin d'enrichir,

Deux démons qu'Yvain devait aplatir.

Ces immondes créatures,

Etaient ridicules,

De demander à Yvain,

D'enfermer son copain.

Le combat était dur,

Et le chevalier n'avait pas de carrure.

Entendant ses cris de torture,

Le lion défonça la porte,

Et sauta sur un des vilains,

Qui avait oser attaquer Yvain.

Le dernier coup fut donné,

Le royaume était délivré.

Yvain qui était à présent renommé,

Fut à nouveau appelé.

Une jeune princesse avait un héritage,

Que son ainée,

Ne voulait pas partagé.

Ne voulant pas tourner la page,

Elle demanda à sa soeur,

De faire un combat,

Et le champion,

Donnera raison.

A force égal il dut faire face,

Sans le savoir,

A son ami quil voulait tant revoir.

A la fin de la journée,

Ils durent s'arrêter,

La bataille n'étend point efficace.

Déclarant leurs identités,

Les deux voulaient savouer vaincus,

N'arrivant pas à se mettre d'accord,

Ils firent appeler Arthur,

Qui donna raison à la cadette.

Yvain, content de ses exploits,

Demanda à Lunette,

De le réconcilier avec sa reine,

Elle piégea sa dame,

Qui voulait que l'on réclame,

Le chevalier au Lion.

Laudine lui pardonna,

Et ensemble, ils étaient pour de bon.

Margo

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