Dialogue avec Romarin
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- Merci, mon petit chat, pour ton tendre câlin.
J'avais le cerveau lourd, et je n'étais pas bien.
Tu recevras de moi, le prix de tes efforts,
Car tu m'as apporté un très grand réconfort
A dormir contre moi, coussinets dans mon cou
Et ta tête appuyée ainsi contre ma joue.
- Maman, je te le dis, tu n'es pas raisonnable !
Où vas-tu tous les jours, avec ton gros cartable ?
Que sont tous ces papiers encombrant ton bureau ?
Pourquoi soir et matin, penser à ton boulot ?
J'en suis sûr, il serait, pour toi beaucoup plus sain
De tester avec moi le confort des coussins !
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