Dialogue avec Romarin

Moins d'une minute de lecture

- Merci, mon petit chat, pour ton tendre câlin.

J'avais le cerveau lourd, et je n'étais pas bien.

Tu recevras de moi, le prix de tes efforts,

Car tu m'as apporté un très grand réconfort

A dormir contre moi, coussinets dans mon cou

Et ta tête appuyée ainsi contre ma joue.

- Maman, je te le dis, tu n'es pas raisonnable !

Où vas-tu tous les jours, avec ton gros cartable ?

Que sont tous ces papiers encombrant ton bureau ?

Pourquoi soir et matin, penser à ton boulot ?

J'en suis sûr, il serait, pour toi beaucoup plus sain

De tester avec moi le confort des coussins !

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 1 versions.

Vous aimez lire Ninib ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0