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Pas un mot soufflé à quiconque. Après quelques heures sur la route en alternant entre la radio allemande et italienne, je pose mon fardeau à quelques mètres de la plage. Un doux vent caresse mon visage. La sérénité me saisit par les épaules. La mer m’appelle. De belles vacances m’attendent.
Quel beau rêve, n’est-ce pas ?
Jeudi
Thegiornalisti — Riccione
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