Ode à un Père
A mon père...
peut importe qui tu étais, je t'aime et je t'aimerais toujours.
*
Dans l'ombre d'une nuit où les étoiles pleurent,
Une jeune femme, le cœur lourd, pleure son père,
Dans ses yeux mouillés, brille une tristesse pure,
Son âme en peine cherche à comprendre et à savoir.
Elle se souvient des jours où il était son guide,
Ses paroles douces, ses gestes pleins de tendresse,
Maintenant, dans le silence, elle se sent démunie,
Privée de sa présence, sa voix, sa caresse.
Les souvenirs affluent, comme des vagues amères,
Chaque instant partagé devient une précieuse perle,
Elle voudrait le retenir, le ramener à la lumière,
Mais le destin implacable lui vole cette merveille.
Elle laisse couler ses larmes, telles des rivières,
Cherchant dans la nuit un peu de réconfort,
Dans son chagrin, elle se sent solitaire,
Mais dans son cœur, elle garde son père encore.
Son amour pour lui brille comme une étoile,
Guidant ses pas dans l'obscurité de son deuil,
Elle sait qu'il veille sur elle, même si loin du voile,
Son âme, dans la douleur, trouve un peu de recueil.
Dans chaque sourire, chaque éclat de rire,
Elle porte son héritage, son amour infini,
Son père restera à jamais dans son empire,
Dans son cœur, son esprit, son être tout entier.
Ainsi, dans la nuit, la jeune femme pleure.
Mais dans son chagrin, elle trouve aussi l'espoir,
Car l'amour entre un père et sa fille demeure,
Éternel, intemporel, malgré le départ du soir.
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