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Chanson
Fred Yaddaden — the veil
Abandonne tes soucis à la porte, laisse toi emporter
Au-delà du voile, cette empyrée.
— Ma pauvre muse, qu’as-tu donc, ce matin ?
Coeur fermé, tu disposes que d’un sac plein
Muse du silence, te voilà déjà parti là où je ne pourrais guère te suivre
Muse muté, je ne ferai que te poursuivre.
Esquisse n’importe quel portrait délabré
Au-delà du voile, sous la pluie glacée.
— Ma pauvre muse, qu’as-tu donc, ce matin ?
Ton sourire me donne des maux, un frein
À notre existence enflammée, un plein
À nos mots existants.
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