Les scénarios probables de la fin du monde de Wilfried.c
Dans cet article scientifique, très sérieux et sourcé, nous parlerons de la fin du monde que nous définissons par l’extinction de l’humanité. Nous éviterons évidemment les thèses foireuses telles que les calendriers mayas dont leur dieu serpent à plumes est suffisamment stupide pour gober le soleil alors qu’il sait pertinemment que cela brûle, et cela, à chaque éclipse.Il est très buté le gus. Toutes les causes dues à notre inégalée stupidité et négligence seront omises, il y en a beaucoup.
Rayon de la mort.
Certains astres projettent dans leur pôle magnétique des jets de matière tellement puissante qu’ils peuvent vaporiser l’atmosphère et ceux à des vitesses hallucinantes avec des distances qui se mesurent en années-lumière. Conclusion : vous pouvez blâmer dans l’au-delà les fans de Stars Wars qui aiment l’empire, car ce n'est rien que de leur faute. Cela est prouvé dans des études sans parti-pris, très sérieuses, avec des gens qui en connaissent un rayon.
Le soleil.
Il grossira d’environ 250 fois sa taille actuelle, tel un autochtone hawaïen qui se met à manger américain. Et donc, un jour, il nous cramera comme le fait un chalumeau avec de la crème brûlée. Rien de plaisant là-dedans, sauf si vous aimez souffrir comme l’autre gus à plume.
Si nous réussissons à nous installer sur un autre astre, genre Pluton, notre ami devenu une géante rouge aura la brillante idée de maigrir en s'effondrant en naine blanche. Durs comme régime. Et après, il meurt dans une explosion, dont le souffle brûlant n’épargnera rien ni personne dans le système. Conclusion : on va se faire souffler comme des bougies par une naine, nom d'une pipe !
L’univers.
Si nous survivons jusque-là, c'est l’univers lui-même qui tuera l’humanité et tous les êtres vivants par divers scénarios théoriques que je vais vous lister. Ces derniers se produiront dans un nombre d’années proprement inimaginable.
Le Big freez : non, ce n’est pas Mister Freeze version divinité cosmique qui arrive vous geler avec son souffle glacé. C'est la mort thermique de l’univers. L’univers se refroidira à – 273 °C, ce faisant, tout sera figé, même le temps, et non, ne blâmez pas la reine des neiges. Cette fois, elle n'y est pour rien.
Les étoiles se meurent, les trous noirs absorbent tout comme cette amie qui avale les spaghettis durant un repas, mais sans le bruit immonde de la déglutition, ainsi que le visuel, avant de disparaître avec pour résultat, un grand vide. Les responsables sont l'énergie sombre et la matière noire, évidemment. Conclusion : on vous l'a pourtant dit, le côté obscur, c'est le mal !
Le Big RIP : toujours dans ce qui grossit, ce scénario, de ce nom français, « la grande déchirure », ne concerne pas que les propriétaires de rideaux qui découvrent la joie d'avoir un chat acrobate. Toutes les structures de l’univers. Les galaxies, les planètes, les rochers, le chien du voisin, votre belle-mère insupportable, votre ex-pervers narcissique, votre voisin avec sa tondeuse le samedi matin à 9 heures et vous aussi, ainsi que tous les atomes. Une merveilleuse leçon d’égalité, n’est-ce pas ? Conclusion : l’univers déchire grave.
Le Big crunch : l'inverse cette fois ; les scénaristes dans le cinéma n’ont pas le monopole du manque d’inspiration, les théoriciens aussi. C’est l’effondrement de l’univers, où tout le monde va inéluctablement se culbuter et finir entassé dans un même point, comme dans une boite de sardines, jusqu’à faire plus qu’un. En voilà un de joyeux bordel en perspective. Des moments seront sans doute gênants, notamment si votre voisin d’infortune est une énorme pieuvre avec tous ses tentacules autour de votre corps… Je vous laisse avec cette image en tête le temps de cette phrase pour qu’elle vous imprègne de l’effet escompté, libre à vous de comprendre laquelle. Conclusion : l’univers aime trop regrouper les gens.
Le Big bounce : oui, encore BIG dans le titre, je vous avais dit qu’ils n'avaient aucune inspiration et ce scénario est basée sur les deux autres, quelle que soit la conclusion, l’univers renaîtra de ses cendres tel le phénix. Punaise, si c’est vrai, l’univers lui-même semble souffrir des mêmes maux que nos chercheurs. Conclusion : l’univers est un vieux disque rayé.
Le Big slurpe : en gros, l’univers déciderait, comme ça, sur un coup de tête, de changer d’état et de supprimer la moitié voir la totalité de l’existence en la faisant basculer dans « le vide ». Oui, les amis, et vous ne le verraient même pas venir, comme une mauvaise blague émise par votre patron qui s’essaie à l’humour, et que votre réaction est de faire comme si elle n'a jamais eu lieu, par ce que de toute manière, votre cerveau n'a même pas capté que c'était justement de l'humour. Nulle comparaison possible avec une personne sur terre, mais si je devais donner mon humble avis, l’univers est une garce psychopathe et c’est là-dessus que je conclus mon article.
Wilfried.c
Annotations
Versions