Fumée d'autrefois
Moins d'une minute de lecture
Telle que la fumée de ma vape, je te vois t'envoler
Toi, cher plaisir éphémère, qui me porte préjudice
Je te contemple à l’acmée de ta tyrannie, déambuler
tel un satan qui m’a fait sortir de l’eden, Jadis,
Toi, amoureux de mes pulsions, tu condamnes mon destin
Faisant de mon présent un tourbillon ésotérique et sans fin
Je t’implore de quitter mon mesnil et d'abandonner ce coeur
Qui ne se joint qu’aux orchestres et aux unions en chœur.
Annotations
Versions