Y- l'embranchement
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Aurore
Ile la nuit devenue océan,
Il a nui dès venue l’eau séant
L’âme rend brasse,
la mer embrasse
le noyé, homme, un lys sous l’eau sombre devant
le noyer aux mains lisses, saoul, haut, son brette de vent
tend aux bordures du paysage
tant d’aubes, ordure dupée et sage,
éclaire les toiles des étangs
est claire l’étoile des étants,
l’heure sans lui se penche défaite
leurs sang luit, s’épanche des fêtes
les gens de peu s’envient et s’ennuient
légende pesant vie et sang, nuit
Horor
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