[?]
Une minute de lecture
À quelle fin les forces du mal engraissent-elles Laurent ?
C'est le plus simple, à cet instant, c'est-à-dire le plus terrible, ce sera la fin de ce qui a été une vie et qui s'est bien vécu : le jugement du monde.
« Tout cela a été beau, beau, beau! » se dit Laurent, car il faut avouer que, même aujourd'hui, le beau, le doux, le parfait reste son idéal et son mystère.
Avec quoi les forces du mal nourrissent-elles Laurent ?
Le père de la victime, déjà à genoux sur le sol de l’école, pleure et crie de douleur. Des cris de rage, de peur, de colère, et du cauchemar. S’il ne reste qu’un coupable, c’est bien le père, un enfant de dix-sept ans, qui est dans l’incapacité de jouer, c’est-à-dire d’entretenir une relation sociale.
Annotations