Elodie et Laurent avaient prévu de se voir samedi soir, mais Alain était jaloux, il ne voulait pas qu'elle le voie avec un autre. Il l'a prise à part et lui a dit qu'il avait rencontré une fille. Elle a été surprise, elle a compris que c'était vrai. Elle a dit qu'elle n'était pas jalouse, mais qu'elle n'avait pas envie de l'embrasser. Alain a été triste, il a dit qu'il était en colère contre lui--même, qu'il ne voulait pas être là, qu'il ne voulait pas être là, qu'il ne voulait pas être là, qu'il ne voulait pas être là, qu'il ne voulait pas être là, qu'il ne voulait pas être là, qu'il ne voulait pas être là, qu'il ne voulait pas être là, qu'il ne voulait pas être

Opale intervint. Elle emmena Elodie dans le jardin, à l'écart. "Si tu comptes me quitter pour Laurent, vas-y, me fais pas mariner. Moi, le boucher, je m'en fous. C'était juste pour te rendre jalouse."

"Et ta blonde? Tu l'as vraiment épousée, n'est-ce pas?"

"Oui, mais c'est une drôle de drôle. Elle est partie chez les célibataires en pleine semaine de travail, elle n'a rien à faire. D'ailleurs, je lui ai dit de se présenter ici, je lui ai déjà préparé un petit dîner. Je lui ai dit que j'avais un ami à elle. Elle m'a pris au dépourvu. Tu vois, c'est comme ça. Elle s'est tellement ennuyée, qu'elle m'a donné deux jours pour m'enlever Laurent."

"Tu as peur qu'elle te reprenne?"

"Je crois pas. Elle m'a dit qu'elle était bien seule, elle n'avait pas d'amie à la campagne, elle se laissait aller. Moi, je l'ai laissée tranquille. Et c'est tout."

"Tu vas pas lui dire que j'ai fait la connerie avec Elodie?"

"D'accord. D'ailleurs, pourquoi pas? Pourquoi ne pas s'en sortir? On est tout de suite de retour."

"Qu'est-ce qu'on va faire, la nuit?"

"D'accord, on va faire le petit dîner."

"Est-ce que tu vas t'éloigner?"

"Je ne sais pas. J'ai peur de la voir. J'en ai assez de la voir."