5.
En prison, Roger écrivit un livre de philosophie.
Il occupa ses journées avec douceurs et simplicités malgré la violence des détenues.
« Ma colère, les politiques comprendront ma haine contre ceux qui ont pris mes terres. »
Une détenue au nom de Rosie, assez jeune se rapprocha de Roger.
« Petit prof de philo ? »
« Non, juste un apprenti de la vie, je veux réussir à sortir de ce pétrin ! »
« Tu n’es pas prêt de rentrer chez toi mon gars. »
« Tu fais du charme comme tous les autres ? »
« Non, je m’intéresse juste à vous. »
« C’est ceux que les femmes disent toujours en premier. »
« Qu’est-ce qu’un vieux grincheux vient faire là ? »
« La justice à deux vitesses comme l’état est manipulateur. »
« Oui l’état est manipulateur. »
« Vous êtes jeune, j’ai vécu toute ma vie avec ces terres viticoles ! »
Il passa ses journées à écrire et à perfectionner son écrit.
Les jours étaient longs et ennuyants avec des personnes de mauvaises fréquentations.
Rosie faisait circuler de la drogue dans le lieu pénitencier !
Roger sortit son livre nommé « La prison de douleurs »
Il expliqua de manière très philosophique le lien avec l’Humain et la prison, les douleurs de l’âme.
Il réussissait à vendre à être connu.
Son enseignant agricole âgé de quatre-vingt quatorze ans, dans un EPHAD, l’acheta et eut les larmes à l’œil !
« Le pauvre, il a tout perdu, sa femme d’un cancer, ses terres … Je ne m’attendais pas à ça ... »
Quatre ans plus tard, Roger sortit de prison et se fit beaucoup d’argent grâce à son bouquin.
Il signa des dédicaces et autographes.
Des dames lui parlèrent :
« Vous avez un vécu profond et ça à laisser des cicatrices ... »
« Je me fais vieux, j’ai désormais soixante douze ans. »
« Soyez fort ! »
Puis un sénateur au nom de Willem fit une surprise à Roger.
« Nous savons que vous eu un problème avec vos Terres, elles sont de nouveaux à vous avec un plus grand espace ; c’est un cadeau de l’état ! »
« Merci merci ! »
Roger sourie.
« Nous avons lu votre livre et non l’état n’est pas un voleur, c’est la façon de gérer votre argent. »
Roger avait un moment heureux qu’il n’oubliera jamais.
« Comme dis mon livre, l’Humain est la pire création de la planète, je vois pas pourquoi j’accepterai ce cadeau. »
« Faites un effort, vous êtes riche, vous avez récupérer ce qui vous appartient ... »
« Je sais, je déteste les gens comme vous. »
« Bon ; vieux et grincheux, égoïste ... »
Roger se leva et gifla violemment le sénateur en public.
Puis le sénateur partit.
Roger fut applaudit !
« Révolte contre l’état ! » Crièrent ses fans.
Roger se sentit entendu !
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