Chapitre 3.
Yma se réveilla aveuglée par une forte lumière LED. Elle pousse un cri de rage en essayant de bouger quand elle se rend compte qu'elle est ligotée à une table. Contractant ses muscles, elle défait ses liens pourtant bien résistants et ouvre la fenêtre se trouvant à sa gauche, personne en vue, elle escalade le toît et regarde autour d'elle. Sortant un petit papier, elle griffonne un long moment et le remet à sa place. Sillonnant les rues, elle rentre chez Amy et se couche.
***
--Ahhhhh, j'ai bien dormi.
Amy sort de son lit et éxécute un pas de danse. Elle grimace puis se masse le front.
--Ouch, ma tête. Je me suis fait une belle bosse... Elle saigne un peu. Il faut que j'aille chercher des médocs.
Elle sort en virvoltant de son immeuble sous le regard ahuri d'une concièrge grincheuse. Courant à la pharmacie du coin de la rue, elle sourit au pharmacien qu'elle trouve assez mignion.
--J'ai un petit bobo... Pourriez vous me soigner ? demande-t-elle, faisant danser ses doigts le long de la joue de l'homme. Il recule, effrayé par cette jeune femme sans gène.
--Que...Quoi ? Que voulez vous... Où avez vous mal ?
--À la tête, mon chou. À la tête...
Il s'exlipsa, ravi de pouvoir échapper à cette dame n'ayant surement pas toute sa tête. Il revint, quelques secondes plus tard portant un sachet de Mauxbye-bye. Il le lui tendit sans un regard pour elle. Amy sortit en trombe, furieuse d'avoir eu un nouvel échec auprès de la gente masculine. Fouilant dans ses poches en pleine rue, elle fit tomber ses médicaments sur la route au moment où un bus passait dessus. Elle réussit tout de même à sauver un bout de papeir sur lequel il était écrit :
À Amy, ma chère soeur ,
Il est triste que tu découvres mon éxistence ainsi mais il faut bien que tu apprenne que tu as une soeur. Nous sommes nées d'une manière très rares, l'une de nous vit la nuit et l'autre, le jour. Tu as hérité du meilleur moment. Toutes les nuits, je me réveillais et allai voir notre père dont mère t'a caché l'existence. Nos parents savaient pour nous. Suite à un incident si imprévu, ils ont choisi de couper les liens. Ça n'a pas été difficile de te cacher notre vrai nature car tu vivais de jour mais n'éxistait plus la nuit. Par contre moi, père a du me dévoiler ton existence car, vivre de nuit n'est pas quelque chose de normal. Je n'avais pas de connaissances ni d'amis, je n'allais pas à l'école. Je passais toutes mes nuit seule ou avec père à discuter de tout et de rien. C'est alors qu'un soir, il m'a tout avoué. C'est normal que, ce matin tu as du te réveiller avec un mal de tête atrôce, un de tes collègues m'a assomé. C'est moi qui comméttais tout ces meurtres. En forme de Yin et yang dans l'espoir de te rencontrer,
Réponds moi, je t'en pries, Yma
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