L'Avocat
— Veuillez vous asseoir Monsieur Mik. Je vous présente mon ami Briack Lance et sa petite-fille Ambrise.
S’il était troublé par la décoration, sa physionomie change pour passer de la surprise à un légère panique. Il pose son attaché de caisse à ses pieds avant de nous serrer la main. Il a un costume noir impeccable et remet sa cravate de même couleur correctement pour mieux respirer.
Hant nous sert les cafés et je suis rassurer qu’il l’a fait lui aussi, des efforts sur sa tenue. Enfin, passant de sa robe de chambre à…un pull en laine blanc et un pantacourt vert pomme. Ses chaussures restent ses bottes préférer.
Moi, j’ai me suis fait une queue de cheval après avoir réussit à dompter mes boucles brunes. Le reste étant ma chemise blanche avec des boutons roses pales, un jean en cuir noir et la petite veste qui va avec. Une tenue confortable. Mon grand-père à décider lui de paraître comme un jeune trentenaire, cool. En survêt gris.
Je peux comprendre notre invité. Un rendez-vous pareil pour parler d’une succession ? Tout cela est très bizarre…Il veut oser nous dire quelque chose et c’est mon grand-père qui va droit au but.
— Monsieur Mik, vous avez connu mon fils, Andrew et ma belle-sœur. Inutile de le nier. A moins que vous êtes le tueur, vous avez n’avez rien à craindre. On vous a inviter pour mener un grand changement. Le Grand Ordre, qu’on va appeler GO, ne convient à personne. Je suis venu ici, après sept ans passé encore sur Terre, à la recherche des meurtriers. Accumuler des pistes sans rien donner de concret. Je ne cherche pas à que ce vous me défendiez. Je cherche, ainsi que ma petite-fille, tout comme Hant et le reste de l’Univers, la justice. Abattre ce qui ont attirer mon fils et sa femme pour mieux les éliminer comme des choses. Vidias, le chef, est la cible. Je sais que vous avez été un très bon stratège lors de votre plus belle bataille, il y quatre-vingts ans. On a donc besoin de vous.
L’homme recrache son café et mon grand-père sourit de l’effet rechercher. Mik repose sa tasse pour sortir un mouchoir de sa poche et une fois tamponner, il reprend ses esprits.
— Hey bien, je vous remercie d’abord de penser à moi. Ensuite, toute mes condoléances en retard. Et enfin, pour revenir à votre cause, je n’ai plus été sur le terrain depuis cette guerre.
— Comment vous avez connu mes parents ?
— Cela rejoins votre projet. Ils n’étaient pas les seuls à m’appeler pour les défendre contre…bé contre le GO. Ils m’ont contacté, quatre ans après leurs recrutements. Sauf qu’avec mes confrères, ont n’a pas réussi à aller les condamnés, vous vous douter bien. En ce moment, je suis un peu sur la liste rouge des gens peu recommandables auprès du GO. Je suis libre.
— On vous surveille ?
— Mes confrères ne le sont plus. On est la disculper pour des possibles trahison. Moi, j’ai refusé de rester. Cela fait désormais trois ans, que j’ai quitté mon poste. Je reste conseiller pour d’autres clients c’est tout.
— Combien de victimes Monsieur Mik ?
— Une cinquantaine la dernière fois au dernier recensement.
— Qui recrute ? Sachant que le Go est récent.
— Les premiers clients me raconter que le gouvernement, quelque soit leur origine…
— Monsieur, Hant nous a expliquer. Ce que je voudrais comprendre c’est leurs noms et…
— Vidias…
— J’avais raison Ambrise ! Ce type en est là aujourd’hui grâce à ses relations, ses jeux…
— Moi aussi papi. Alors Monsieur, ça veut dire que mes parents ont rencontré il y a vingt ans, ce type via sûrement les journaux et…
— Tous ont décrit son visage et j’ai fais le rapprochement. Les annonces indiquer toutes même chose, soit une recherche d’agents d’ordre, d’agents d’entretien, d’agents administratif pour agrandir le futur grand gouvernement. Au rendez-vous, c’était lui qui avant même la création du GO, se présenter comme leur chef. Il donnait des missions de et donne encore sûrement, de nettoyages. Tuer pour mieux servir. Sa devise.
— Ça fait peur.
— C’est lui qui a convaincu le reste de ses relations de construire ce système. Les premiers tests de peu de liberté, lui faisait peur. Il a sûrement assassiner d’anciens chefs, membres…
Hant nous l’informe et le froid règne. L’avocat nous rassure.
— Je suis d’accord avec vous. Ça ne peut plus durer. Je désire rendre justice et si mourir il le faut, je le ferais.
— Merci Monsieur.
— Merci à vous Monsieur Lance. Le hasard de notre rencontre est le bienvenu.
— Que nous conseillez vous ?
— Partir vers mes anciens camarades. Ils seront prêt à se battre pour renverser le pouvoir. On ne peut attendre les prochaines élections.
— Il faudra tuer ?
— S’il le faut, jeune fille. Tu es prête ?
— Je ne sais pas.
— On aura le temps de te faire apprendre
— J’ai peur mais je suis motivé !
On se sourit et mon grand père lui fait visiter son vaisseau. On prépare le voyage dans quatre jours, le temps de préparer une autre chambre du côté de ma salle.
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