Notre histoire était belle, riche en émotion. Je n'ai jamais autant éprouver de plaisir avec quelqu'un, car tu étais si spéciale a mes yeux. Tu as fait en sorte de l'être. Nos moments a deux était si beau, si pure. Je pouvais lire dans ton regard, comme tu pouvais lire dans le mien, et nos mains entrelasser montrer notre attachement.

Mais, quand ça devient trop sérieux, ça fait peur, n'est-ce-pas ? Je sais que tu étais terrifié. Car, lorsque je t'ai proposer de venir rencontrer mes parents, tu as détourner le regard. Et ça a était la première fois, mais loin d'être la dernière.

J'avais le sentiment que nous ressentions les mêmes choses, de la même manière. Que tu étais mon double, ou peut-être la moitié manquante de mon existance, comme celle d'une pièce de puzzle égarée. Mais avec le temps qui a défiler, je me suis aperçue que personne n'aime quelqu'un de la même manière. En tout cas, j'ai ressentis se fort décalage au fur et a mesure.

Je ne sais pas si tu te souviens de ces vacances qu'on devait passer avec nos amis en commun ? Tu as plus ouvert ta bouche avec eux, que pour me parler a moi. Ca, c'était le début de notre chute.

Je me suis rendu compte que tu ne ressentais pas le même manque que moi, et que tes mots sonner de plus en plus creux a mes yeux. J'ai essayer de raviver cette fameuse flamme dont on entend parler partout. Et je ne dirais pas que nous nous sommes bruler avec, mais que tu as déliberement éteint les flammes, jour après jour, de ton propre chef.

Tu disais vouloir profiter, vivre "pleinement". Je n'ai compris que plus tard que tu me voyais de plus en plus comme la chaine t'empechant d'avancer. Ton sourire a commencer a se faire rare, et il a totalement fanée.

Et puis, la fin est arriver. Juste un message. Quelques mots balancer aux hasards, et des affaires envoler de notre appartement. Juste quelques mots, qui m'ont donner le tournis.

J'ai compris, que nous n'avions pas le même avis sur notre relation, nos projets. Tu t'es défiler, tu es partis. Et tu t'es finalement très vite remis avec quelqu'un.

Alors pardonne-moi du terme, Mais tes "je t'aime" ont a présent une odeur d'égout. D'ailleurs, il s'est passer la même chose avec elle. La même finalité.

Si je devais te revoir un jour, je crois que je te dirais en face ;

-Je suis heureux que notre histoire est eu une fin. Même si elle était amère, j'ai appris beaucoup. Personne n'aime a la même echelle.

En fait, les histoires d'amour sont juste des choses nous faisant évoluer, et grandir.

Et même si personne ne veut entendre ces mots, elles ont toutes une fin.