- Moi : Génial, c’est mon tour alors…

- Amandine : De ?

- Moi : M’occuper de toi.

- Amandine : Rien ne t’y oblige.

- Moi : Tu as pas envie ?

- Amandine : Si mais en fait j'aurai envie de faire la chose….

- Moi : La chose ?

- Amandine : Ba la chose quoi, je vais pas te faire un dessin.

- Moi : Ah tu te sent prête ?

- Amandine : Disons que j’ai envie….

- Moi : On va peut-être pas faire ça ici ?

- Amandine : Effectivement, et chez moi ça risque d’être compliqué avec ma mamie.

- Moi : Chez moi il risque d’y avoir Jean.

- Amandine : Bah on essayera de faire ça discrètement.

- Moi : D’accord.

On s’embrasse alors, je sent le goût légèrement le goût de ma semence. C’est un goût assez fort en effet comparé à celui que j’ai eu l’occasion de goûter. Ça ne me gène pas tellement, je roule une pelle monumentale à Amandine.

Lorsqu’on se sépare enfin, mon sexe a bien dégonflé mais reste dans un état plus qu'honorable. On se dirige alors vers le vestiaire, on se sèche après s'être douché. On s’habille alors, sans faire particulièrement attention l’un à l’autre, on commence à avoir l’habitude de s'habiller et se déshabiller au même endroit.

On ressort de chez Amandine en passant par notre passage, on se dirige vers ma maison. Je n’en reviens pas Amandine se sent prête pour ça, je ne pensais pas que ça se ferait si rapidement. En fait, je m'imaginais qu’on allait encore se caresser, ou utiliser nos bouches pendant longtemps.

- Moi marchant main dans la main : Ça va tu appréhende pas trop ?

- Amandine : Franchement un peu mais ça va. C’est pour ça que je te l’ai dit.

- Moi : D’accord, parce que si tu veux encore attendre ça me gène pas.

- Amandine souriante : C’est gentil, on va tenter voir si c’est faisable déjà.

- Moi : D’accord.

- Amandine : A moins que tu ne veuille pas toi.

Je suis amusé par cette allusion, je ne sais pas trop quoi lui répondre. Je la regarde alors en souriant. Espérant qu’elle comprenne que je ne compte pas dire non à cette proposition. Je pense que c’est assez logique, et même si j’ai déjà joui, je me sent très motivé.

On finit par rentrer, comme je le craignait Jean est là je voit ces chaussures en entrant. En plus il n’est pas le seul Alan est probablement là également. Je ne sais qui d’autre est là mais il y a plusieurs paires de chaussure devant la porte.

- Moi : Merde y’a du monde on dirait.

- Amandine : Oui ça fait chier.

- Moi : Grave, on va se faire capter a mon avis.

- Amandine : Surement oui.

- Moi : Ça fait chier. En plus je sais pas trop qui est là mais y a un peu de monde.

- Amandine amusée : Ouai je voit ça.

Je suis vraiment frustré sur le coup, je me voyais déjà en train de faire l’amour, perdre mon pucelage et tout. J'avais même commencé a imaginé lui faire a nouveau un cuni et ça avait même commencé à m’exciter à nouveau.