Guillaume recule jusqu’à la porte pour la verrouiller, il coince les clés dans la serrure pour que personne ne puisse entrer.

Lélia retire son pantalon et ouvre juste sa blouse. Guillaume la soulève et la pose sur le plan de travail en inox, le contact avec la matière est froid contre les fesses de Lélia.

Celle ci plonge dans le pantalon dans son collègue pour sortir son sexe, il n’est pas très long ni très large mais a une forme sympathique légèrement courbée, son pubis est poilu.
Elle commence à le branler assez rapidement pour l’exciter. Ses mains sont vite imprégnées de mouille.
Le sexe de Guillaume coulisse rapidement, son gland se couvre et se recouvre, il ferme les yeux puis stop Lélia.

Guillaume n’a plus l’habitude de faire l’amour donc il est plus que vite excité.

Il pelote maladroitement la poitrine de Lélia, il n’est pas très doué pour cela, elle ne ressent aucun plaisir sous ses mains.

Puis il vient la doigter sans même s’occuper de son clitoris, Lélia a l’air de se barber grave.

Agacée de la situation elle lui demande de venir droit au but. Elle se rapproche du bord du plan de travail, jambes écartées et pieds posés sur deux tabourets.

Guillaume enfile une capote, lubrifie le clitoris et le vagin de Lélia, et lui frotte le clitoris avec le bout de son gland.

Voilà qui est déjà un petit peu plus excitant pour Lélia, cette caresse la met dans tous ces états, elle a envie de Guillaume.

Guillaume enfonce sa verge à l’intérieur de l’intimité de Lélia et commence les vas et viens. Le dos de Lélia se promène sur la table, Guillaume a accéléré la cadence.

Lélia se redresse pour mieux le sentir en elle mais maladroitement renverse tous les dossiers qui étaient juste à côté d’elle.

Elle lâche un oh non.

Guillaume ne tient que très peu de temps, il éjacule très rapidement et se retire aussi vite qu’il est rentré car il perd son erection.

Lui a pris son pied mais Lélia c’est incroyablement ennuyée, qu’est ce qu’elle avait trouvé ça nul par rapport à sa dernière fois avec son meilleur ami.

Elle se rhabille très hérissée de la situation. En plus de s’être carrément ennuyée, elle allait devoir ranger tous les dossiers qu’elle avait fichu par terre.

Elle n’est pas prête de rentrer car il y a de quoi faire.