CHAPITRE 14
Comme convenu, les quatre amis se retrouvent au bar. Dayvon, Méganne et Matt sont assis dans des fauteuils en cuir autour d’une table basse.
Lélia arrive en dernière, elle enlace Méganne, fait la bise à Dayvon et se fige devant Matt. Elle le toise du regard et s’assoit dans le fauteuil à côté.
Dayvon : - Ce n’est pas cool ça Lélia...
Lélia se force à dire bonjour au jeune homme : - Salut.
Matt : - Coucou, je suis content de te voir.
Lélia rétorque : - Pas moi si tu avais pu ne pas être là, ça aurait été mieux je me suis bien passée de toi pendant deux mois!
Cette phrase, c’est à contrecœur qu’elle le dit. Elle ne voulait pas que ça soit dit qu’il lui avait manqué. Elle réussi à piquer Matt.
Méganne : - Tu es désagréable là, arrêtes nous sommes ici pour passer une bonne soirée.
Lélia : - Je m’en fous, lui a bien gâché la mienne la dernière fois.
Matt se lève, la prend doucement par le poignet et l’emmène dehors quelques minutes : - Est ce que je peux savoir pourquoi tu es comme ça avec moi?
Lélia : - Tu m’as empêché de vivre ma vie!
Matt : - Désolé si tu l’as pris comme ça (regard sincère) j’ai surtout voulu te protéger, je te le redis tu es la plus importante dans ma vie. Je t’...... tiens à toi, énormément.
Lélia est troublée, ça lui fait de la peine cette situation, les larmes lui montent vite aux yeux, elle l’aime bien son Matt.
Il l’a regarde longuement.
Lélia soupire et lui fait naturellement un câlin, il enroule ses bras autour d’elle avant d’ajouter : - Je suis sûr qu’au fond tu m’aimes bien quand même.
Lélia : - Oui, beaucoup...
Matt : - Aller ne pleures pas, ça va aller maintenant que l’on se reparle tous.
Il lui essuie tendrement la joue avant de lui déposer un baiser dans le cou.
Ils rejoignent leurs amis,
Méganne : - Vous avez pu vous expliquer ?
Lélia : - Oui ça va mieux...
Dayvon : - Ça serait dommage qu’on brise notre amitié pour des conneries, buvons un verre à notre amitié et au retour de Matt !
Tous les quatre lèvent leurs verres bien haut pour trinquer. Ils sont inséparables même si parfois ça dégénère.
Les deux amis sont apaisés d’avoir remis les choses à plat. Chacun peut rentrer à la maison sans trop cogiter.
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