7.
La Ministre de la Culture se rendit vers quinze heures dans un collège avec le Ministre de l’éducation nommé Cyril édulte.
« Bienvenue chers Ministres. » dit la directrice avec ses lunettes rectangulaires.
« On vient voir une classe de troisième. »
« Cours d’Histoire avec monsieur Killyan Letrésse. »
Les Ministres se rendirent en salle cent dix.
« Toc-toc. »
« Entrez ! »
« Ah les Ministres, nous travaillons sur les différentes guerres qui font notre culture populaire. »
« Bonjour ! » Les élèves se lèverent ensemble.
« Il vous manque des élèves ? »
« Quatre en dépression, le stress sans doute ... »
« Nous vous écoutons. » lança la Ministre de la Culture.
« Citez-moi toutes les guerres que vous connaissez. » Souriait Killyan.
« La première et la seconde guerre mondiale. »
« La guerre de cent ans ... »
« La guerre des roses, la guerre du Vietnam. »
« La guerre d’Indochine. »
« Guerre des Pequots. »
« Guerre civile du Darfour. »
« Les conflits israélo-palestinien ! »
« Guerre du Yémen ... »
« Stop ; alors y en a beaucoup, on pourrait y passer des heures. Leurs points communs ? »
« Intérêts humains … racismes, religieux … » ajoute Audrey.
« Nous apprenons que l’histoire ne cesse de se répéter par jalousies où haines, indifférences. »
« Très bien Audrey. »
Les Ministres furent surpris de leurs connaissances.
Elodie s’avança.
« Vous pensez que … la culture nous unit où nous divise de part l’Histoire et l’Humanité ? »
Audrey leva la main.
Le professeur lui secoua la tête.
« Elle nous divise, regardez la haine, l’indifférence et la jalousie a toujours existé. C’est le propre de l’Humain ! »
Olivier Restir leva la main.
« Non ça rassemble car on apprends de nos erreurs et l’évolution alors ? »
« Tu dis n’importe quoi ? » dit Audrey
« Non on apprends on évolue, tu comprends rien. »
Le professeur intervînt.
« C’est intéressant les différentes opinions que vous développez ... »
« C’est ça qui nous divise, nos différences. » continua Audrey motivée.
« Les critiques font évoluer, la méchancetés gratuite divise et à vingt ans on assume. »
« Olivier, la maturité et l’intelligence évolue différemment, je suis d’accord on apprends de nos erreurs. » reprit l’enseignant.
Elodie et le Ministre de l’éducation Cyril notèrent.
Puis la sonnerie arrêta le cours.
« Avant de sortir, comment préparez-vous le brevet ? Bon on verra plus tard. » pragmatique le professeur.
Annotations