11.
Les Ministres se réunirent au quartier de la Défense.
Elodie et les autres furent prit en photo, ils furent alignés telle une ligne droite.
Certains Ministres déversèrent des larmes.
La Ministre de la Culture prononça un discours solennel et puissant.
« J’avais la conviction que le monde allait changer, tout ça était faux.
On détruit nos Histoires, nos Civilisations et dont nos Cultures, on nous attaque, on attaque nos symboles.
Le défi de demain est la lutte contre la haine même en ligne, le racisme, l’indifférence, le terrorisme profond …
Et ça c’est notre destin, nous battre pour la paix.
Nous avons traversés des temps durs. Ensemble, nous pouvons le faire !
Soyez forts ! »
Les journalistes furent émus de même que les Nations du monde entier.
« Surtout que ce complot était organisé depuis des semaines, Philippe Delargnion sera démis de ses fonctions aujourd’hui ! » dit un Ministre triste.
Le Ministre de l’éducation parla à son tour.
« C’est notre Histoire qu’on a attaqué en plein cœur, en pleine âme.
On nous a poignardé, on voulait nous diviser, on va s’unifier pour les défis de demain et l’éducation. »
La photo des Ministres devant le quartier de la défense fit le tour du monde, avec des articles de toutes les langues.
Elodie rentra chez elle.
« Liliane ? »
Garance était là.
« Elle dort. »
« Ah … merci de ton aide. »
Elodie dormit auprès de sa voisine.
Elle fit un odieux cauchemar.
Ou elle vit la Nation s’écrouler, une guerre meurtrière, du nucléaire qui explosèrent, des gens menacés et prient en otage.
Son cauchemar l’empêcha de se réveiller.
Le matin, Garance essaya de l’éveiller, en vain !
« Madame la Ministre ? »
Liliane essaya elle aussi.
« Maman ? Tu es morte ? »
Puis Elodie s’étouffa.
« Quoi ? Comment ? »
« Vous êtes ... »
« J’ai fait un énorme cauchemar, la planète, l’humanité, tout sera mort, le sang qui coule ... »
Elodie fut paniquée.
Garance la rassura.
« Allez voir un psychologue, je vous conseille monsieur Léder. »
« Vous savez quoi ? Vous avez raison ! »
D’une allure inconsciente Elodie embrassa les lèvres de Garance, qui celle-ci fut surprise.
Puis la Ministre quitta sa maison.
Liliane murmura à Garance.
« Ma mère aime les femmes ? »
« Je crois qu’il vaux mieux rien dire, c’est un secret. »
Elodie devint folle et perdu conscience dans un quartier de Paris.
« Madame ? Ne serais-ce pas la Ministre de la Culture ? Hein Kader ? »
« Si, fais lui un bouche à bouche Mathis ? » rie Kader.
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