Toi, mon narc tu cours après un besoin sans fin.

Un besoin de reconnaissance insatiable qui te rend fou et inapte à la vie réelle.

Sans le savoir tu cours à ta perte car tu ne connaîtras jamais le sentiment d'être enfin une personne accomplie.

Ta vie ressemble au néant.

Dans ce puits sans fond, sur ce territoire asséché de tes larmes, chaque parcelle de terre qui s'y trouve épongera la moindre goutte d'eau de pluie censée te ramener à la vie.

Parce que tes besoins d'affection sont au-dessus de tout ce que tu peux imaginer, tu préfères les ignorer.

T'en défaire après avoir fait le mendiant toxique de cette vérité qui t'éclate en pleine face.

Tu es le seul sur terre à vouloir combler ce manque que tu prends comme une nécessité, un besoin légitime que seuls tes victimes doivent combler au détriment de la cruauté que tu exerces envers et contre tout.

Et ce besoin n'est que dans ta tête, une coquille vide qui le restera pour l'éternité.