Comédie fraternelle
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Dis-moi mon frère, mon comédien,
Dans les questions que l’on se pose,
Aucune barrière ne s’interpose,
On ne colporte que du bien.
Toi mon ami, mon interprète,
La fraternité qu’on se prête,
A pour fondement les délices
Récoltés en usant de malice.
Dans nos glorieux soirs de fête,
Se jouer aisément des entraves,
Puis glisser sur les affaires graves,
Avant de repartir en quête.
Toi mon ami, toi mon frère,
Rappelles-toi nos soirs d’ivresse,
Où nos douleurs, à coups de bières,
Etaient noyées dans la liesse.
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