Chapitre 7 Révélations
Jour 4 (suite)
### Pierre ###
La gérante m’a dit que je devais « retourner à Kin, te sucer ta bite, te donner du plaisir et de prendre mon pied ».
Quoi ? Amina était assise dans le divan, penchée en avant les mains sur son visage, j’étais abasourdi. Au restaurant, j’avais vainement essayé de lui faire dire la totalité du dialogue avec la gérante et maintenant alors que je n’y pensais plus vraiment ça sortait de sa bouche.
Je n’osais pas bouger mais mon esprit imaginait la scène de ce qu’Amina venait de dire ! Je devais dire quelque chose, désamorcer cette image et rassurer Amina. J’avais mal pour elle, mais je devais rester neutre, ne pas la toucher et puis finalement j’optai pour l‘humour et partis dans un grand éclat de rire. Le comique était finalement la bonne solution Amina redressait la tête, remit ses mains le long de son corps et essayait un faible sourire.
Au bout d’un moment je parvins à stopper mon fou rire :
- Tu es sérieuse ?
- Oui
- C’est insultant, je ne laisserai pas cela sans sanction mais pas maintenant ! Je vengerai cette grossièreté plus tard lorsqu’elle ne s’en souviendra plus. Désolé Amina, pour mon rire, ce n’est pas comique, mais ne dramatise pas. Par contre je suis heureux que tu aies franchi le pas et osé dire la vérité. Je te remercie de me faire confiance, dans notre collaboration il ne peut y avoir des secrets, je serai toujours franc avec toi je te demanderai la pareille. Si jamais ceci se reproduit avec qui que ce soit je te demanderai de m’en informer, mais j’espère de tout cœur que cela ne se reproduise pas. Cela restera entre nous et lorsque je me vengerai je ne ferai pas allusion à ces paroles, mais elle comprendra.
- Merci Pierre.
J’avais une folle envie de la serrer dans mes bras, mais c’était tabou ! Si je voulais désamorcer cette situation je ne devais pas la toucher, pas maintenant !
Après quelques secondes de silence, je parvins à reprendre le fil de mes idées et nous commençâmes l’analyse ethnique unité par unité. C’était long et compliqué, parfois on devait demander des précisions au DRH qui vint même nous saluer avec beaucoup de sympathie et disait en blaguant que si on se disputait, il pourrait toujours venir arbitrer le match. Amina et moi on était soulagé de voir que ce directeur était très compréhensif, toujours disposé à nous aider. Le temps passait vite en travaillant avec Amina et vers 17 heures j’estimais que c’était suffisant pour la journée et téléphonais à Joseph pour reconduire Amina chez elle. Je vis un court instant dans ses yeux de la frustration mais ensuite je retrouvai son sourire et elle me donna un léger baiser sur la joue en toute amitié (?)
- À demain, ce sera déjà vendredi, réunion le matin et puis comme aujourd’hui séance de travail ici. Puis ce sera le week-end enfin, j’ai l’impression que je le mérite vraiment. As-tu déjà pensé à notre activité de ce week-end ?
- Non Pierre, mais j’en parlerai avec maman. Je voudrais aussi qu’elle t’invite à manger samedi soir.
Elle sortit du bureau en faisant un petit signe de la main.
### Amina ###
Comment j’avais réussi à sortir cette phrase ? Pierre avait raison c’était une insulte à nous deux. J’aurais rampé sous terre, j’étais honteuse et en même temps heureuse d’avoir expulsé cette oppression de ma poitrine.
En regardant en arrière pour cette journée, j’étais joyeuse de retrouver maman et de lui confier mes soucis car certains collègues crevaient de jalousie. Je voulais avoir son avis sur l’attitude à prendre et puis si c’était possible lui exposer mes tourments concernant Pierre. J’espérais trouver l’occasion de lui parler à ce sujet. Comment me comporter sereinement avec Pierre, lui parler de mon attirance, de mon trouble à certains moments lorsque j’étais en sa présence ou quand je pensais à lui.
- Mboté mama (Bonsoir maman), nsango nini ? (quoi de neuf/comment ça va ?)
- Nsango te (rien de neuf) – alors raconte ma chérie, comment était ta journée ? tu es contente ?
- Oh maman, quelle journée ! Monsieur Pierre a pris attache avec le DG ce matin qui m’a promu assistante personnelle de Monsieur Pierre avec une augmentation de cinq pour cent de mon salaire ! Je ne suis donc plus dans le service juridique, mais côté sombre du tableau, certains de mes collègues sont extrêmement jaloux. Je devrai donc faire très attention. Hier déjà Pierre et moi on a été insulté !
- Pierre ?
Oups, j’ai parlé trop vite !
- Eh bien oui, il m’a demandé de simplifier nos salutations lorsque nous sommes en privé : fini les Mademoiselle et Monsieur ! Si on doit travailler ensemble autant faire simple. Dans beaucoup d’entreprises les collègues se saluent par leur prénom !
- Ah, moi ça me choque quand même. Amina, au risque de me répéter, sois prudente reste sur tes gardes, ne fais pas de bêtises. Cette relation avec ton nouveau patron doit rester professionnelle. Des vêtements ‘de travail’, une augmentation que sera l’étape suivante ?
- Une excellente collaboration maman, cette après-midi on a commencé d’analyser les diverses ethnies qui composent le personnel. Ceci pour éviter des conflits en cas de regroupement ou de transfert de personnes d’une unité à une autre. Mon transfert est effectif et je suis installée dans son grand bureau ! C’est super ! à Paris on dirait c’est cool ! et puis on pourra s’offrir un petit extra de temps en temps, avec l’inflation galopante ce n’est pas de luxe d’avoir un peu plus d’argent. Oh mama je suis heureuse !
- C’était quoi cette insulte ?
- Oh des paroles offensantes mais Pierre demandera des sanctions en temps utiles. Avant que je ne l’oublie deux choses : que suggères-tu que je lui montre ici à Kin ? Et pourrait-on l’inviter à un dîner simple samedi soir, juste entre nous. Tu auras ainsi l’occasion de mieux le connaître et de l’apprécier. C’est un homme très gentil et très humain, sérieux au travail mais montre parfois un humour surprenant.
- Oh, visiter Kin c’est tout un programme, je te dirai quoi samedi matin. Je suppose qu’il vient te chercher ?
- Oui c’est Joseph qui sera notre chauffeur, rappelle-toi, il a « contracté » Joseph pour ses déplacements privés et pour me reconduire en sécurité lorsque je quitte le bureau après le coucher du soleil. Demain comme tu n’as pas besoin de ses services je demanderai à Joseph de me conduire au bureau, c’est compris dans le ‘contrat’. Zakpa est son chauffeur ‘officiel’ mais il ne veut pas mélanger les fonctions.
- Ah oui, je dois encore ajouter cette faveur à la liste : vêtements, bureau, promotion, augmentation, chauffeur/voiture « what else ? » dirait papa !
- Il me témoigne beaucoup de gentillesse, mais c’est important car on sera ensemble toute la journée. Je préfère de loin cela par rapport à Madame Coulibaly qui me regardait de haut et me jalousait chaque fois que je portais un nouveau boubou que tu me confectionnes. Ce matin j’ai vu qu’il admirait ce boubou indigo. C’est tellement gentil, mais tellement naturel. Mama, je sens que je vais aimer travailler avec lui !
- ‘Pourvou que sa doure’ disait la mère de Napoléon !! Comprends-moi je suis heureuse pour toi ma chérie ! On verra pour la suite, mais oui invite le à manger mais préviens-le ce sera un repas simple mais authentique !
J’aurais aimé me confier plus en avant avec maman par rapport à mes émois mais me ravisai : « malembe malembe » (doucement – pas à pas). Après notre repas du soir, on regardait encore les nouvelles à la télé puis je regagnais ma chambre. Je repensais aux événements de la journée et j’anticipais déjà le plaisir de la journée du lendemain.
Je me déshabillais en me regardant dans la glace, avant d’enfiler mon t-shirt habituel pour la nuit je m’observais : oui, je me trouvais belle. Mon visage était vraiment l’héritage de mes parents ; fin et harmonieux. Mes seins jeunes et fermes, un peu plus gros que ceux de maman mais je pouvais me permettre de ne pas porter de soutien-gorge, ils ne retombaient pas. Je me demandais si Pierre serait excité en les voyant là, maintenant, la réponse était oui, hier encore il bandait lorsque je m’étais endormie contre son corps. En pensant à lui je sentais une humidité dans mon intimité ; cela faisait plusieurs fois maintenant que je mouillais soit en le voyant soit en pensant à lui. J’étais curieuse de le voir nu, était-il glabre ou poilu ? Pendant ce temps le liquide coulait sur mes cuisses, je passais mon doigt dans ma fente et le mis en bouche, hmm, c’était un petit peu salé mais cela me plaisait. Cela faisait certainement plus de deux ans que je m’étais plus touchée. À Paris, Gisèle m’avait appris les caresses de mon intimité, mais à l’époque je ne me caressais pas souvent. Gisèle m’avait révélé que si on se caressait assez longtemps on pouvait atteindre l’orgasme et puis elle était devenue toute rouge,
- Oh pardon Amina, je n’aurais pas dû parler de ça. Vexée, je lui demandai et pourquoi donc ?
- Parce que … en Afrique…
- Non Gisèle, mes parents sont modernes, je ne suis pas comme beaucoup de filles africaines : je ne suis pas excisée ! Dieu merci…
- Oh, tu me soulages, je n’osais pas le dire. Tu es mon amie et je ne voulais pas te faire souffrir ! Donc tu pourrais avoir un orgasme avec tes doigts…
- Non je n’ai jamais osé aller si loin…
En y repensant maintenant, lorsque je me caressais à l’époque mon intimité restait sèche et donc à la longue cela me faisait mal.
Ce soir par contre, c’était beaucoup plus agréable, le liquide entre mes jambes faisait glisser mes doigts, je les plongeais plus à l’intérieur, mon corps entier vibrait. Je ne sais comment mais ma main s’agitait de plus en plus, je vis des éclairs, de ma main libre je serrais mon sein, je le pressais, je crus voir Pierre qui me prit dans ses bras. Non Pierre, reste avec moi ! Tout mon corps se cabrait et je retombais sur le lit épuisée. Mon intimité palpitait encore mais les vibrations s’en allaient doucement, je repris lentement mes esprits, je n’eus pas la force de me rhabiller je restais nue avec juste le drap pour me couvrir. La dernière image avant de m’endormir, c’était Pierre qui embrassait mon sein.
Jour 5
### Pierre ###
Enfin, thanks God it’s Friday!
Mon réveil n’avait pas encore sonné, j’étais bien réveillé, mais mon sommeil avait été réparateur. Hier soir, j’avais mangé seul au restaurant de l’hôtel, un peu dans la lune. Je ne pouvais pas sortir Amina de ma tête. Un bon remède : non pas boire, mais travailler ! Je parcourais mes notes et l’énorme dossier électronique, il faudrait que je commence à organiser les visites des plantations et des usines. L’ennui c’était la répartition des unités, elles couvraient les trois-quarts du Congo. Cela représentait plus de 5 mois de visite sans tenir compte des voyages, du temps de rédaction des rapports et mon planning initial prévoyait au moins un an de présence sur place.
Je sais que c’est prématuré mais mon visa était de 3 mois. Il faudra que je voie avec le DRH la procédure de prolongation pour ne pas être piégé. Je suis certain qu’il pourra se charger des formalités.
Il faudra aussi voir les diverses réglementations qui régissent l’agriculture industrielle et les possibilités de promotion du développement de l’agro-industrie. Pour le financement Paris pourrait donner un sérieux coup de pouce vu le nombre d’organismes internationaux qui collaboraient avec le groupe. À titre anecdotique le papa d’Amina avait travaillé jusqu’à sa mort pour l’AFD (Agence française de Développement) ici à Kin ! Ce serait amusant de la mettre en contact avec les anciens collègues de son père.
En étant optimiste ce serait une mission d’au moins 2 ans, sans tenir compte des congés (2 mois de vacances pour 1 an de présence…) que faire pour tenir le coup ?
Priorité absolue quitter l’hôtel pour un appartement ou mieux une maison équipée avec boy ou ménagère, cuisinier, société de gardiennage - à voir avec le DG et le DRH. Il n’était pas question de rester tout ce temps à l’hôtel. C’était prévu par Paris donc « y a qu’à ». Ce serait plus pratique pour recevoir mes copines hôtesses de l’air.
Pour la mobilité la voiture de société avec Zakpa et mon ‘contrat’ avec Joseph me suffisait, je ne tenais pas à conduire moi-même.
Je savais que la société avait 2 avions et un hélico encore faudra-t-il voir dans quel état ils sont ! J’avais lu quelque part dans la documentation que pendant la période de troubles les autorités avaient réquisitionné plusieurs fois les moyens aériens
En plus d’Amina, il faudra détacher un ou une secrétaire pour gérer l’intendance administrative et mes absences durant les voyages et last but not least un téléphone satellitaire. La société avait plusieurs abonnements et le Congo était relativement bien couvert par le satellite.
J’avais du pain sur la planche !
Après le petit-déjeuner, la course pour arriver à l’entreprise prit plus de temps que d’habitude, il avait plu des trombes cette nuit et donc le trafic était encore plus lent que d’habitude. Cela me fit penser à choisir un endroit où chercher une habitation. Près du centre et des magasins, près du bureau ou ailleurs. J’en parlerai avec Amina.
À mon arrivée à mon bureau je fus accueilli par Amina toute fraîche et jolie comme un mannequin et un baiser sur la joue !
Oups, était-ce la salutation matinale entre collègues comme en Europe ? J’ignorais que cette manie s’était aussi installée ici. Après un moment d’hésitation je lui rendis son baiser, mais sans intention malicieuse ma bouche fut près de la commissure de ses lèvres et je perçus un léger goût de banane ! Je ne fis aucun autre commentaire que : « Bonjour Amina, comment fais-tu pour être si fraîche avec cette température et cette humidité ? Encore un boubou différent ? »
Elle était tout en jaune nuance or, son teint d’ébène ressortissait à merveille. Couleur d’harmonie et de paix, ma journée commençait bien !
- Bonjour Pierre, merci pour le compliment, il me reste encore des boubous avec large décolleté en rouge et celui de lundi soir le blanc avec les croisettes ! Dit-elle avec un rire léger et des grands yeux.
Je crois qu’on pensait tous les deux à cette soirée où elle m’avait sorti de l’étau de Thérèse (la croqueuse d’hommes !). Est-ce que ma relation avec Amina a changé depuis ce jour ? Oui, définitivement, ce jour-là je croisais 3 femmes qui étaient en boîte pour s’amuser, leurs boubous étaient de coupe dirais-je érotique. Thérèse certainement, il suffisait de peu et ses seins se seraient dévoilés dans un « serré-collé » invitant à une relation sexuelle. Amina avec ses épaules nues était plus discrète et de loin plus belle. Son attitude pour m’extirper des bras de Thérèse, me montrait qu’elle désirait donner une image plus romantique, elle était contre l’agressivité de vouloir absolument une relation avec un homme riche. Elle était certainement attirée par l’homme blanc mais je ne pense pas qu’elle voulait coucher avec moi ce soir-là. Depuis lors, mon opinion sur Amina avait changé, elle avait une bonne éducation et me semblait réticente au sexe, elle n’avait pas de petit ami. Avait-elle déjà couché, pendant ses études à Paris, les occasions devaient être nombreuses, loin de ses parents ?
Je ne connaissais pas sa religion, je ne pense pas qu’elle soit musulmane, ou alors peu pratiquante, je l’ai vu manger un sandwich au jambon et n’accomplissait pas ses prières. Elle était peut-être chrétienne ? Dans sa maison je n’ai pas vu de signes ostentatoires de sa religion.
Beaucoup trop de questions, maintenant qu’elle était mon assistante, certaines trouveraient leurs réponses naturellement. Nous avions des relations sereines, restons-en là !
- Bien, il est l’heure de rejoindre la réunion ! Ce matin le directeur financier doit nous donner sa vue critique sur la situation des diverses unités. Je prends mon ordinateur, comme cela nous pourrons toujours le consulter si on a des questions.
- D’accord, je prends juste mon carnet de notes, Pierre est-ce que je peux poser des questions ou dois-je en référer avec toi d’abord ?
- Amina, tu es intelligente donc si tu as des questions vas-y, garde juste en mémoire de ne pas froisser l’amour-propre des personnes auxquelles tu t’adresses.
- Bien sûr, et si je ne suis pas sûr de moi, je te poserai ma question via mon carnet.
- C’est parfait ! et lui fis un grand sourire.
Je me réjouissais une fois de plus de mon choix de l’avoir choisie comme assistante, c’est avec cette pensée que nous entrâmes dans la salle. Beaucoup de personnes suivaient notre entrée, les regards me semblaient plus aimables que la veille.
Le directeur financier connaissait bien son sujet, il expliqua longuement les forces et faiblesses de certaines unités. Amina était très attentive, plus que moi, car je jetais de temps à autre un regard vers ma voisine. Juste avant l’interruption café, elle posa une question bien à propos : sa voix était ferme et sans timidité et le directeur lui répondit très aimablement en employant des termes simples mais c’était très clair.
Au cours de l’interruption, elle se leva pour parler avec des collègues féminines et j’en profitais pour accrocher le DRH avec quelques problèmes pratiques comme mon logement.
À ma grande surprise, il me répondit qu’il avait déjà réfléchi à ce sujet et me révéla que la société possédait une grande villa dans le quartier de la Raquette, qui était inoccupée depuis quelques années. Elle avait servi de résidence pour le dernier DG européen et avait été occupée sporadiquement pas des VIP de France lors de leurs séjours, à l’époque où les hôtels étaient en mauvais état. « Elle est en bon état et pourrait être fonctionnelle en une semaine, le temps de trouver un bon cuisinier, un boy et revoir le mobilier en fonction de vos goûts. Vu le nombre d’ambassades dans le quartier, la sécurité est mieux assurée qu’ailleurs. Si vous voulez j’avertis le gardien et je vous donne l’adresse et les clés. Mademoiselle Traoré connaît le quartier et Zakpa votre chauffeur connaît la maison vous pourrez y aller à votre meilleure convenance. »
- Super, j’irai voir cet après-midi et sans doute ce week-end, et je vous informe lundi.
- Je vous donne les clés et l’adresse à la fin de la réunion.
- Merci beaucoup, car l’hôtel très confortable mais me pèse déjà !
Je repris ma place en murmurant à Amina « le DRH me propose un logement dans le quartier de la Raquette on ira voir après le déjeuner ».
Amina me fit un « waouh ! » sans plus avec des grands yeux pétillants. On ne put pas dire plus, car la présentation reprenait.
Cette deuxième partie était révélatrice, pour beaucoup de personnes présentes ce fut l’étonnement d’apprendre que beaucoup d’unités avaient beaucoup souffert durant les troubles qui avaient secoué le pays et qu’il faudrait prendre des mesures pour restaurer la rentabilité. Amina me regardait quelques fois le visage grave et finalement écrivit dans son carnet à mon attention, « c’est pour ça que vous êtes là ! » et je hochais la tête pour toute réponse.
Voilà ! La suite bientôt. Restez à l’écoute car la visite de la maison est surprenante ! N’oubliez pas de voter, cela me fera un grand plaisir.
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