Chapitre 18. Ninah - la première fois !
NDA : On a vu que Brigitte est bisexuelle et on a compris qu’il ne faudrait pas beaucoup pour que Ninah se retrouve dans le lit de Pierre. Brigitte ne sait rien d’Amina et cela la perturbe !
Jour 14 (dimanche semaine 2) suite.
### Brigitte ###
Cette fille m’avait troublée, elle était mignonne, je la mettrai bien dans mon lit si Pierre n’était pas là !
Mais en présence de Pierre, mes préférences étaient fixées.
Par contre, je n’aurai pas de problème si en mon absence elle grimpe dans le lit de Pierre, même s’il affirme de ne pas vouloir une négresse dans son lit. Je n’y crois pas une seconde !
Je rejoignis Pierre dans sa chambre où il lisait un rapport.
– Tu travailles ?
– Non, je relisais juste le rapport de mon assistante, avant la réunion de demain.
– Est-elle jolie ?
– Oui, très.
– Elle te fait bander ?
– Oui c’est déjà arrivé ! À plusieurs reprises. Je n’ai pas honte de le dire !
– Raconte !
– Les circonstances sont diverses, lors de l’essayage de ses vêtements pour aller en brousse, je l’ai vu pratiquement nue dans la cabine d’essayage.
– Elle te provoquait ?
– Non, c’était l’employée qui n’avait pas bien refermé le rideau.
– C’est tout ?
– Non, il y eut aussi un matin chez sa mère où elles étaient toutes les deux dans des tenues affriolantes !
– Quoi sa mère aussi !
– Ben oui c’était le week-end dernier, Amina et moi on était parti en excursion et j’ai dormi dans leur maison pour éviter des allers-retours inutiles.
– Et alors ?
– Alors rien, Sa mère possède un grand atelier de couture et est très célèbre dans la sphère politique. Elle a perdu son mari, il y a quelque temps, ce qui a forcé Amina à interrompre ses études de droit à Paris !
– Eh bien, t’es bien entouré alors !
– Oui mais je ne suis pas porté sur les peaux noires ! Ta présence de temps en temps me suffit ! pour le reste du temps je travaille et je n’ai pas envie de me retrouver avec une « ménagère locale » qui ne pense qu’à plumer le blanc. J’ai vu suffisamment de blancs se faire entuber et même jusqu’au mariage, jusqu'au moment où il y avait plus d’argent !
– Donc tu te contentes de femmes blanches ! Tu vois encore tes copines hôtesses comme par le passé ?
– Oui, mais tu es la seule sur mon carnet de vol pour le moment, tes collègues ne sont pas sur le circuit de Kinshasa pour le moment !
– Ah j’ai donc une exclusivité momentanée !
– Eh oui, viens dans mes bras pour un bisou on continuera après le dîner. Mais il faudra aussi dormir car tous les deux demain on bosse !
Je gardais ma blouse, Ninah ne s’offusquait pas de voir mes seins puisqu’elle les aimait. Pierre était encore nu et mit un peignoir/kimono pour venir à table. Il lui arrivait mi-cuisse, Dieu qu’il était excitant, il avait un dragon dans le dos, mais je préférais le dragon qu’il cachait dans ses plis !!
Une fois à table, Ninah servit le repas sans qu’on ait dû l’appeler, cette fille avait une ouïe fine !
Toujours aussi souriante, spécialement en me regardant, elle ne perdait pas une miette du spectacle offert par mes seins ! D’ailleurs ses tétons s’imprimaient dans le tissu de son top, Pierre s’en rendait compte et me regardait d’un air sous-entendu.
– Que lui as-tu fait ?
– On a discuté entre femmes et j’ai réveillé son sexe !
– Comment ? Ne me dis pas que tu lui as…
– Si, je n’ai pas résisté, je l’ai fait jouir avec ma langue, elle sent bon et son jus est délicieux ! et en plus elle est rasée totalement ! un vrai petit bijou !
– Eh ben !
En discutant de cela, je vis le pan de son kimono qui se levait ! Ah le « dragon de Monsieur » se réveillait.
À ce moment Ninah venait apporter les fruits en salade juste au moment où je mis ma main sur son « dragon » sous la table. Mais Ninah avait vu mon geste et me sourit en écarquillant ses yeux qui pétillaient. Le sexe était un plaisir pour elle, dans le sens que si cela lui fit du bien, ça ne pouvait que lui plaire !
Pas si innocente que ça ! J’étais prête de parier qu’avant mon prochain passage mon Pierre aurait une suceuse de couleur autour de son pic !
Je serrais la verge et Ninah trouvait cela plaisant, elle me signifiait presque sans le dire qu’elle approuvait que je donne des caresses à Pierre ! Le regard de Pierre était fixé sur les tétons de Ninah qui étaient dressés comme deux *ogives* dans son top, ce qui fit encore plus durcir son érection !
Comme je ne voulais pas masturber Pierre devant ses yeux non pas pour ne pas la choquer mais plutôt pour éviter de se retrouver à deux femmes en train de le cajoler, J’invitais Pierre à rejoindre la chambre.
Retour dans la chambre, tout en lui prodiguant des douceurs, je lui avouai que j’avais craqué sur la spontanéité de Ninah et que je l’avais fait jouir. Pierre ne croyait pas un mot et pensa que je lui racontais cela pour l’émoustiller ! Pour lui, Ninah était innocente, Je dus démentir en lui précisant que Ninah m’avait avoué aimer le sexe, qu’elle trouvait que Pierre était un bel homme surtout avec sa bite dressée !
– Tu devrais faire un peu attention de ne pas t’exhiber devant elle !
– Oui, bien sûr, mais elle se déplace sans bruit dans toute la maison et elle est heureuse que je lui ai cédé la boyerie.
– Donc elle peut rentrer à tout moment dans les pièces de vie ?
– Oui !
– Et Amina ? Je lui demandais
– Quoi Amina ?
– Ninah m’a dit qu’elle était très jolie et un peu amoureuse de toi. Comprends-moi Pierre, je ne suis pas du tout jalouse, tu le sais bien ! J’examine juste ton nouvel environnement.
– Oui, Amina est très jolie, elle et sa mère m’aiment bien, mais je me répète : elles me font bander mais pas question de tomber amoureux d’une noire.
– Tu pourrais trouver une sex-friend ?
– Non elles veulent la bague au doigt !
– Viens ici, car demain on n’aura pas le temps !
Je me couchais à côté de lui et je reprenais les caresses où j’étais resté avant que Ninah me regarde avec envie. J’aimais son corps et je comprenais que les femmes de son entourage fassent n’importe quoi pour l’avoir dans leur lit !
J’aimais faire l’amour avec lui, c’est vrai ce n’était que du sexe ! Je me rappelle quand on s’est rencontré la première fois au bord de la piscine d’un grand hôtel. J’étais avec une collègue on était bloquées dans ce bled pourri, notre avion avait un ennui technique et la compagnie pensait réparer l’avion en deux jours.
Pour des questions de sécurité, on ne pouvait pas quitter l’hôtel et j’avais envie de sexe. Le seul mâle baisable était Pierre, allongé dans un transat. Je l’avais abordé après avoir remonté mes seins que mon bikini serrait au point de me donner des crampes.
Il ne fut pas long à convaincre, mon atout se baladait quinze centimètres devant moi ; j’ai toujours eu une belle poitrine un peu plus importante que la moyenne mais ferme. On n’a pas quitté la chambre pendant deux jours, il m’a fait jouir de mille façons différentes, enfin mille c’est une expression, mais ce qui est certain c’est qu’il ne débandait pas ! Comme il était là pour quelques mois, j’ai profité des escales suivantes pour remettre le couvert.
On a convenu que c’était un acte volontaire mais sans sentiments ! Juste du sexe, et ça dure depuis. Je ne l’avais plus vu depuis quelques mois et ce changement d’escale me convenait. Je trouvais juste ce soir qu’il bandait mou… finalement on fit un 69 à notre grand plaisir mutuel et on s’endormit comblés.
Jour 15 (lundi semaine 3)
### Pierre ###
Ce fut Ninah qui vint nous réveiller, Brigitte et moi on s’était endormi nus, dans la même position de notre dernier rapport.
Ninah, avait un grand sourire et ne perdait pas une miette du spectacle offert par nos deux corps. Brigitte se réveilla aussi et saluait Ninah avec un soupir en disant :
– Merci Ninah, heureusement que tu es là, sinon je ratais mon avion. Pierre m’a beaucoup fatigué hier soir !
– Brigitte, cesse de dévergonder Ninah me dit Pierre. Ninah merci, tu es gentille, arrête de te rincer l’œil, on arrive pour le petit-déjeuner !
Brigitte se préparait rapidement et mit son uniforme, je me demandais toujours comment elle tenait le coup avec tous ces passagers qui allaient la reluquer pendant le vol. Elle m’avait avoué un jour que cela arrivait quelques fois que des passagers la coinçaient dans le couloir de service à l’arrière pour la palper, mais elle avait toujours pu éviter le scandale.
Lorsque le taxi arriva, Brigitte partit sans larmes ni regrets, son séjour avait été bref mais intense ! Elle appela quand même Ninah pour lui donner un baiser sur la joue et en la remerciant pour sa gentillesse.
– Soigne bien Monsieur !
– Oui Brigitte, merci à vous aussi.
**
La maison paraissait vide après le départ de Brigitte, même Ninah semblait un peu perdue lorsqu’elle vint demander mon programme.
– Madame Brigitte est très gentille Monsieur, quand reviendra-t-elle ?
– Je ne sais pas exactement Ninah dans quelques semaines sans doute, cela dépend de son programme de vol. Ce midi je reste au bureau, ce soir je serai seul pour le repas.
– Amina ne vient pas ?
– Non on va travailler au bureau, car on doit préparer le prochain voyage. Normalement on partira jeudi pour revenir vendredi. Et vendredi soir, il faudra préparer les deux chambres : une pour Amina et une pour sa mère.
– C’est compris Monsieur votre linge de voyage sera prêt mercredi soir.
– Merci Ninah, tu es gentille.
– De rien Monsieur.
– Appelle-moi lorsque Zakpa arrive
– Entendu !
Un peu plus tard, Ninah vint m’avertir de l’arrivée de Zakpa, comme par hasard je n’avais rien entendu car j’étais sous la douche et Ninah riait car c’était la deuxième fois en quelques heures qu’elle me voyait en costume d’Adam… Je notais que ses tétons étaient dressés comme hier soir !
**
Le soir, je rentre fatigué, Amina a bien travaillé et a bien présenté le rapport à la commission, mais la réunion a continué toute la journée car beaucoup de réactions.
En rentrant, je sens la fatigue et je me déshabille avant le repas et je mets mon kimono. En revenant dans la salle à manger, je vois Ninah qui me regarde avec les yeux grands ouverts d’étonnement pendant qu’elle dresse la table. Je lui dis d’ajouter un couvert, car je ne désire pas manger seul. Elle m’adresse un sourire avec des yeux rieurs et s’exécute.
– Merci Monsieur !
– Non, Ninah c’est seulement très égoïste de ma part, je me sens un peu seul et je n’aime pas être seul ce soir.
– Madame Brigitte vous manque ?
– Non, je suis habitué à ses visites surprises, mais ce soir j’ai l’impression que la maison est vide. C’est sans doute la fatigue après une longue journée de discussion.
– Je peux faire quelque chose pour vous Monsieur ?
– Non, Ninah c’est gentil, ta présence me suffit !
– Monsieur, je peux vous poser une question ?
– Oui, bien sûr, tu peux toujours poser des questions et j’y répondrais toujours avec franchise.
– Pourquoi Madame Brigitte m’a-t-elle caressée ? Aime-t-elle les hommes et les femmes ? Elle m’a trouvée jolie et que je sentais bon !
– Oui, Ninah, Brigitte aime le sexe avec les hommes et les femmes !
– Ah, je comprends, elle a été très gentille avec moi, elle m’a fait jouir plus que lorsque je faisais cela avec mes amies à l’école !
– Et ça t’a plu ?
– Oh, oui et elle m’a dit que vous faisiez cela aussi bien !
– Haha ! J’éclatais de rire pour cacher mon émotion, et comme j’avais fini de manger, je me levais et m’installai dans le canapé du living.
Ninah après avoir desservi et fait la vaisselle, vint fermer les rideaux comme d’habitude mais au lieu de se retirer vint se placer devant moi :
– Monsieur, je suis un peu triste ce soir, je n’ai personne qui m’embrasse et me cajole ! Puis-je m’asseoir sur vos genoux ?
– L’ancien DG te prenait aussi sur ses genoux ?
– Non, Monsieur, c’était un vicieux, il a même tenté de me prendre de force et je l’ai frappé dans les parties. Il a menacé de me renvoyer mais il ne l’a jamais fait, et il ne m’a plus jamais approché. Il faisait venir des putes blanches et noires !
– Allez viens alors, mais sois sage !
– Oui, monsieur et elle mit ses bras autour de mon cou et sa tête sur ma poitrine.
Tudieu, que c’était bon sa chaleur sensuelle contre moi ! Mon soldat accusait réception de sa chaleur et contre ma volonté se redressa avec violence ! Ce n’était pas ce que je voulais ; mon intention était de la tenir dans mes bras comme une sœur et son frère…
Ninah sursautait en percevant le mouvement sous ses fesses…
Je mis mes mains autour de son corps et une de mes mains toucha sa poitrine accidentellement et provoqua un gémissement accompagné d’un frisson dans son corps. Je n’osais plus bouger !
– Monsieur, caressez-moi encore !
– Ninah, tu avais promis d’être sage !
Elle bougeait son corps pour masser avec ses fesses mon épée qui durcissait de plus en plus ! En même temps elle frottait ses seins contre mon torse pour calmer la tension dans sa poitrine.
Je ne tenais plus !
– Ninah, lève-toi, elle obéit mais avec une figure boudeuse, jusqu’à ce que j’ajoute :
– Déshabille-toi, son sourire revint immédiatement.
Son effeuillage fut bref, elle portait que son top et son short, elle se tint devant moi nue, les seins dressés, les bras le long du corps immobile. Son bas-ventre rasé m’étonnait, je ne croyais pas que les Africaines toilettaient leur toison intime. Lysa était rasée, mais je croyais que c’était uniquement pour me plaire !
Je voyais le désir dans son regard, mais je me promis de ne pas lui faire violence, pensant qu’elle était vierge. Je ne tenais pas à m’embarquer dans des complications avec sa famille ou l’entreprise. Ce ne serait pas la première qui changerait d’avis après avoir été déflorée !
- Viens te rasseoir !
Du coup son sourire revint éclatant et elle se jetait littéralement dans mes bras. Ses bras autour de mon cou, les seins collés contre mon torse, ses fesses serrant ma verge ! je perdais toute notion de retenue.
Elle voulait manifestement du sexe, mais je ne voulais pas la brutaliser, comme elle voulait de la tendresse, je lui passais ma bouche sur tout le corps. Le front, les joues, pas la bouche, le cou, les épaules, ses seins très réactifs, juste bien dans ma main, son nombril, son bas-ventre, ses fines jambes, les cuisses, les mollets, ses pieds, je suçais ses orteils, remontait vers sa fente.
Tous ces baisers la firent rire et elle prit ses seins pour les présenter devant ma bouche !
– Fais-moi comme vous avez fait à Madame Brigitte !
– Tu nous as vus ?
– Oui, gémissait-elle, je me suis même masturbé en vous regardant !
– Tu es une petite vicieuse ! répondis-je en la soulevant et en la couchant dans le canapé, les jambes ouvertes.
Elle était belle, mon excitation augmentait crescendo ! Ses lèvres intimes s’écartaient sensiblement et je voyais sa cyprine qui coulait sur ses cuisses. Heureusement le canapé était couvert d’un couvre-lit qui absorberait ses fluides et qui était lavable.
Je n’y résistai pas, je plongeais entre ses jambes, très délicatement je pris possession de ses grandes lèvres, je poussais avec ma langue l’ouverture vers son petit bouton. Elle n’était pas incisée, tant mieux, elle allait jouir ! Elle commença à gémir, je voulais y aller progressivement. J’étais certain que Brigitte avait dû faire cela avec une grande douceur et elle en avait gardé un bon souvenir, je voulais faire pareil.
En lui faisant cette caresse intime je comprenais que j’étais de plus en plus attiré par la peau d’ébène. Je bandais à la vue des seins d’Amina, de Lysa et maintenant de Ninah. Chacune avait des caractéristiques spécifiques. Les aréoles de Ninah, que j’avais sous les yeux étaient particulièrement intéressantes, plus grandes que celles de Brigitte. Des tétons très pointus dont j’avais déjà aperçu qu’ils étaient très érectiles sous son top. D’une main j’atteignis un sein pendant que ma langue fouillait son vagin, je sentais le mamelon sous mes doigts. Ses tétons étaient durs, Ninah aurait-elle les mêmes caractéristiques que Brigitte de jouir rien qu’en titillant ses seins ?
Ninah, gémissait de plus en plus, sans une parole : pas de cris du genre « encore ! » ou « oh ouiii ! » ou d’autres cris exprimant sa jouissance. Son corps seul montrait son plaisir !
J’enfonçais ma langue de plus en plus loin dans sa fente, sa cyprine avait très bon goût, comme Lysa, un mélange de noix de coco et de caramel, plus excitant que le goût de la cyprine des femmes blanches. Était-ce leur savon ou autre chose ?
Soudain, tout son corps se cambrait et un seul mot sortit de sa bouche « maman ! » une vibration sauvage, puissante secouait tout son corps. Ses yeux s’ouvraient tout grands puis un sourire merveilleux fleurissait sur ses lèvres, j’avais encore jamais vu ou senti une femme jouir pareillement.
Je la redressais et la pris dans mes bras, elle se laissait faire, elle voulait aussi de la tendresse après la jouissance.
### Ninah ###
Monsieur, m’avait fait jouir comme Brigitte, je me sentais heureuse dans ses bras. Sous son peignoir, il avait toujours son sexe dressé ! Je n’avais aucune expérience de sexe des hommes à part de l’homme qui m’avait violée en enfonçant sa verge dans mon corps. Que pouvais-je faire pour lui rendre un peu du plaisir qu’il m’avait donné ?
Puis je me rappelais ce que faisaient les putes avec le vieux DG : elles massaient de haut en bas la verge et certaines la mettaient en bouche jusqu’au moment où il criait. Quand il se masturbait tout seul c’était le même mouvement, à la fin il y avait un jet de liquide blanc qui sortait et quand c’était une pute qui lui suçait sa bitte, il criait toujours quelque chose et « avale ». Je ne comprenais pas, est-ce qu’elle avalait le sperme ?
J’écartais donc les pans de son kimono, sa verge me paraissait immense ! Mes mains n’étaient pas très grandes mais je pouvais quand même en faire le tour ! Je regardais Monsieur dans les yeux, il répondait à mon sourire mais ne dit rien. En serrant je faisais reculer la peau et le bout rouge du sexe apparut, puis je remontais lentement ma main jusqu’à sentir le bout qui disparaissait et je recommençais, je caressais le bout dégagé avec ma langue d’avant en arrière. Il me souriait toujours sans rien dire, je fis le mouvement plus vite comme les putes, je vis dans ses yeux qu’il avait du plaisir. Je continuais ainsi de longues minutes, monsieur me regardait toujours avec des yeux doux, comme quand il me remerciait pour la nourriture ou pour un service rendu. Je compris alors qu’il ne voulait pas me forcer à quelque chose et qu’il me laissait l’initiative. Au fur et à mesure que je le masturbais un peu de liquide perla au bout de sa verge, je voulais la goûter dans ma bouche et je mis son bâton dans ma bouche. Monsieur gémissait de plaisir, donc je gardais son sexe en bouche et avec ma langue je le caressais comme si j’avais un gros bonbon en bouche. Je montais et descendais ma bouche en suçant jusqu'à moment où il retira ma tête en arrière, je ne compris pas immédiatement, juste que quelques secondes plus tard un jet de sperme sortit comme une fontaine et maculait ma tête, mes seins et son peignoir. Il n’avait rien dit, mais pendant que son sexe vibrait encore et qu’il y avait encore du liquide qui sortait, il ferma les yeux avec un soupir de bien-être. Avec mes doigts je pris du sperme tombé sur mes seins et je le mis en bouche, ce n’était pas mauvais et j’en repris encore, puis je fis comme les putes je remis son sexe en bouche et je léchais toute sa verge. Il rouvrit les yeux, me souriait et prononça un « merci » tout doux contre mon oreille.
J’étais heureuse de lui avoir fait plaisir et je restais dans ses bras, je lui câlinais la joue puis je me mis à califourchon sur ses genoux face vers lui comme la femme sur la peinture qu’il avait enlevé de la chambre, sa verge tout contre mon sexe.
Je mis ma tête sur son torse et balançais mon corps d’avant en arrière. Je sentis tout de suite son sexe qui gonflait près de ma fente. Mais il bloqua mon corps en disant « doucement Ninah, attends un peu ».
Je restais contre lui, ne voulant pas lui désobéir. Puis soudain il me prit par les fesses et me souleva. Je poussais un petit cri de surprise et riais contre son épaule. Il me porta dans sa chambre, me coucha sur son lit et s’étendit contre moi en m’enserrant dans ses bras.
De ma main je caressais sa tête pendant que mon autre main descendait le long de son corps pour serrer doucement sa verge. J’étais comblée et je lui mis un doux baiser sur sa joue avant de m’endormir.
**
NDA : voilà j’ai essayé de décrire toute la tendresse de ce moment merveilleux entre Pierre et Ninah, qui manifestement n’a jamais eu de l’amour d’un homme ! L’aventure est loin d’être finie. Elle promet encore beaucoup de moments de bonheur. Pierre devra canaliser tout cela entre Lysa et Ninah et puis Amina qui n’a pas encore vu le loup ! Pierre qui ne voulait pas d’ébène dans son lit, est convaincu maintenant qu’un peu d’exotisme est le bienvenu.
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