Chapitre 24 Un week-end torride !
Jour 19 (vendredi semaine 3) suite et fin
### Pierre ###
Je sortis de l’atelier après une dernière accolade de Lysa, qui me planta un baiser sur mes lèvres fermées et d’un « Merci, quand se revoit-on ? »
Je lui répondis que cela dépendait de beaucoup de circonstances, mais je lui demandais de ne plus s’introduire de force dans la villa et de faire un effort de discrétion.
Elle grimaça, mais au lieu de répondre elle prit ma main et la frotta intensément contre son sein en gémissant discrètement.
– Tu reviendras, j’en suis sûr !
Puis elle vérifia l’état de ma bitte, mais rien ! Aucune réaction de mon soldat…
***
En arrivant à la villa, je saluais le gardien et rentrais pour constater que tout était silencieux. Comme il n’y avait personne dans ma chambre, je regardais dans la première chambre visiteur, là je découvris sous la lumière de la veilleuse, Brigitte et Ninah endormies. Brigitte serrait Ninah dans ses bras, elles étaient nues et je déduisis que la soirée avait été chaude ! En effet, le vibro masseur traînait encore sur la table de nuit ! sacré Brigitte, elle avait trouvé son plaisir en mon absence. Je souriais en me disant que bientôt Ninah connaîtrait tous les secrets du jeu de sexe. Cela me réjouissait dans la perspective de nuits futures.
Mais pour ce soir, c’était suffisant, la vue de ce couple enlacé ne me faisait même plus bander ! J’étais saturé pour ce soir… Je pris donc la direction de ma chambre pour m’endormir.
Jour 20 (semaine 3 - samedi)
### Ninah ###
Je me réveillais serrée entre les bras de Brigitte qui dormait encore profondément. Quelle nuit ! Brigitte m’avait fait jouir, de sa main, de sa langue et avec le vibro, en alternance avec mes caresses et spécialement avec le vibro qui l’avait fait jouir en criant mon nom !
Je réussis à me dégager sans la réveiller, mais en me levant je sentis une légère irritation à mon intimité et je fis un crochet par la salle de bains pour appliquer un peu de sa crème calmante sur mes lèvres intimes et mon vagin.
En sortant de la chambre, je jetais un coup d’œil à la chambre de Pierre car on ne l’avait pas entendu rentrer, pour constater qu’il dormait encore étalé sur toute la largeur et nu comme d’habitude ! Son dos était griffé ! J’étais certaine qu’hier matin, lorsque je l’avais lavé, son dos ne portait aucune marque ! Malgré mon envie de lui faire un gros bisou, je le laissai dormir !
Je cherchais dans la boyerie un vêtement à mettre qui pouvait plaire à Pierre mais je ne trouvais pas grand-chose à part un vieux t-shirt blanc trop serré qui montrait mes tétons en relief et un petit short gris qui serrait sur mes fesses. Puis je me souvins de la nuisette offerte par Brigitte ! Je la mis et me regardais dans le miroir, Pierre allait sûrement bander en me voyant. La nuisette était noire mais assez transparente. Mes seins se voyaient clairement à travers le vêtement, mon minou ne se voyait presque pas car j’étais rasée et ma fente était discrète.
On était samedi et il n’y avait aucune raison qu’il se lève, je préparais le petit-déjeuner tout en réfléchissant au repas de midi. En examinant les réserves, je me dis qu’il faudrait faire des achats aujourd’hui ou lundi. Je demanderai à Pierre ce qu’il préfère ; moi j’aimerais bien faire les courses avec lui car je ne connais pas encore assez ses goûts ! De plus l’arrivée inattendue de Brigitte avait entamé un peu les provisions ! Lundi ça ferait deux semaines depuis les achats !
De la cuisine j’entendis des bruits provenant de la salle à manger, ça devait être Pierre qui s’était levé. Je vins donc à sa rencontre, et entrant dans la pièce je me sentis soulevée par deux bras puissants et je n’eus pas d’autre choix que d’encercler son corps de mes jambes ! Je parvins à maîtriser ma surprise, mes yeux étaient à la hauteur de ses prunelles et je vis un grand sourire dans son visage !
### Pierre ###
En me levant, j’entendis Ninah remuer dans la cuisine et je décidais de la prendre par surprise : dès qu’elle sortait de la cuisine je la soulevais à ma hauteur, comme elle était plutôt poids plume, elle eut la bonne réaction de m’enserrer avec ses jambes. Son visage rieur était devant mes yeux et son entrejambe à la hauteur de ma ceinture, c’était très excitant, de plus ses seins pointaient à travers sa nuisette ! Elle mit ses deux bras autour de mon cou et me donna un baiser sur mes lèvres fermées.
Je sentais ses petites fesses musclées sous mes mains et en la laissant descendre un peu son ventre glissa sur mon sexe totalement déplié ! Au lieu de se laisser descendre elle enserra de plus belle mon corps avec ses jambes et c’est dans cette attitude que Brigitte nous découvrit !
– Eh bien mes cocos, vous commencez bien tôt vos exercices de musculation ! La nuisette te va superbement bien, Ninah tu nous excites !
Je me tournais vers elle tout en gardant la boyesse entre mes mains et j’embrassais Brigitte dans un baiser passionné qui la fit gémir de plaisir. Ninah qui nous regardait avec envie raffermit encore sa prise avec ses jambes et ma verge était littéralement coincée contre son intimité. Elle ne perdait pas le nord et me fit un massage ventral en alternant la pression qui me fit une jouissance inattendue.
Brigitte nota le mouvement du corps de Ninah et dit :
– Ninah, c’est son petit-déjeuner que tu lui prépares ?
– Non Brigitte, je lui montre qu’il nous a manqué hier soir !
Ne pouvant plus maintenir la pression sur mon gourdin, je la déposais sur le sol et les deux femmes découvrirent mon érection matinale dans mon boxer. C’étaient deux regards envoûtants et je dus me faire violence en disant qu’on prenait le petit-déjeuner « et rien d’autre » !
Brigitte enlaça Ninah en titillant ses seins et elles se firent une étreinte très sensuelle devant mes yeux. Ninah ne fut pas en reste et caressait sensuellement les seins de Brigitte qui n’eut pas d’autre solution de bloquer les petites mains sur ses seins pour stopper l’excitation.
La matinée se promettait d’être chaude !
Mon esprit surchauffé depuis la veille avait encore en mémoire les sensations de l’étreinte de Lysa et la vue des deux femmes devant moi ne fit qu’empirer la situation.
Brigitte fut la première à placer sa main avec délicatesse sur mon boxer en demandant s’il fallait éteindre le feu ou si on mangeait d’abord !
Je la remerciais en disant que la journée ne faisait que commencer et qu’il n’y avait aucune urgence !
Ninah me demandait si on allait faire les courses car les provisions étaient réduites et comme Brigitte restait jusqu’à lundi, il fallait refaire les provisions d’urgence.
Je proposais donc d’appeler le chauffeur Zakpa et d’aller au supermarché avec Ninah ; Brigitte restant à la villa en toute discrétion.
Dans le magasin, nous étions seuls, Zakpa attendant dehors Ninah profita de ce moment d’intimité pour m’interroger :
– Pierre j’ai vu ce matin que tu as des griffes dans ton dos que tu n’avais pas hier matin ! Tu as été attaqué par un lion ou une panthère ?
– Ah ! J’aurai dû faire attention, oui j’ai été griffé par la mère d’Amina, je ne l’ai pas réalisé hier soir. Elle m’avait attiré dans un guet-apens dans l’atelier et je n’ai pas pu m’échapper de ses griffes avant de l’avoir calmée !
– J’aurais voulu voir ça dit Ninah en souriant, toi Pierre tu t’es fait attaquer !
– Oui, Ninah garde cela pour toi, Brigitte verra sans doute les griffures et je lui expliquerai, sinon on garde cela entre nous. En parlant d’autre chose, Ninah les vêtements que tu portes sont très usés, tu ne veux pas un nouveau top et un short ?
– Je comptais m’acheter quelques vêtements avec ma paie à la fin du mois. Car avant que tu me prennes à ton service mon salaire était réduit vu que j’étais en chômage !
– Et si je t’offre un top et un short, tu seras d’accord ?
– Non, Pierre, tu as déjà fait beaucoup de gentillesses à mon égard, je suis ta servante !
– Oui, tu es ma servante mais aussi ma partenaire de jeu ; et puis ma servante ne doit pas courir avec des vêtements usés, on dira de moi que je paye peu et maltraite ma servante qui me soigne !
– Oui, c’est vrai mais même sans cadeaux je te soignerai car tu m’as fait plaisir. Brigitte et toi vous m’avez fait le plus beau cadeau en me réconciliant avec mon corps ! Maintenant je peux sans peur te donner et recevoir des caresses, tu es mon tonton, tu me protèges et je te remercie pour cela.
– D’accord mais regarde ce top, je suis sûr que tu aimeras le porter et ce short blanc sera très élégant sur tes fesses.
– Mais ce sont des vêtements pour Européenne !
– Oui c’est vrai mais tu n’as pas de fesses de négresse, comme Amina tu as un corps mince, je l’ai encore constaté ce matin.
– Oui, Pierre et tu aimes mes fesses ?
– Et le reste aussi ! Essaie ces vêtements !
– Merci Pierre, mais j’en prendrai soin.
– Ninah, tu sais que tu peux employer le lave-linge pour nettoyer tes vêtements ?
– Oui Pierre, mais je les lave séparément de tes vêtements !
– C’est tout à fait correct ! Merci Ninah.
– C’est moi qui te remercie.
– Pierre, tu es gentil ; je peux t’embrasser ?
– Non Ninah, pas en public ! Tu es ma servante comme tu le dis si souvent !
– Oui d’accord, mais j’ai envie de te câliner !
– Je le vois, tes seins sont tout pointus et percent ton top !! Tu attendras qu’on soit de retour à la villa. Faisons nos achats de nourriture et rentrons !
– Oui, on ne doit pas oublier les condoms ! murmura-t-elle.
– Oui, bien sûr petite vicieuse !
Je la vis mettre sa main profondément dans son short puis retirant ses doigts elle dit tout bas contre mon épaule :
– Pierre, oui dépêchons-nous, je suis mouillée comme dirait Brigitte ! j’ai envie de toi…
***
À peine de retour à la maison, Ninah se précipita dans les bras de Brigitte toute joyeuse :
– Regarde, Brigitte : Pierre m’a acheté ce top et le short !
– Oh, mais tu as de la chance ! Pierre ne m’a jamais offert un vêtement !
– C’est normal Brigitte, tu les enlèves toujours quand tu me vois !!!dis-je en riant.
Ninah n’hésita pas une seconde, enleva ses vieux vêtements devant nous et enfila son nouveau short et mit son top. Brigitte et moi nous étions abasourdis de la spontanéité de la jeune file, qui vint se coller contre moi !
– Tu aimes ?
– Oui, bien sûr. Tu peux le constater !
– Oui, dit-elle, tu bandes pour moi ? En caressant la bosse de mon pantalon…
Brigitte riait à gorge déployée,
– Houla ! chaud devant ! Ninah, tu veux un coup de main ?
– Oui Brigitte, je suis encore sans expérience devant ce monsieur qui bande ! je ne sais pas quoi faire !
– Alors, Ninah première leçon, tu ouvres sa chemise, non pas le pantalon ! ne sois pas pressée ! puis tu passes tes mains sur son torse et tu titilles ses tétons !
– Mais ça n’est pas excitant ! dit-elle
– Oh que oui ! déclara Brigitte, pour lui ça va lui donner des frissons comme à nous les femmes !
– Et maintenant tu descends une main vers son pantalon pendant que l’autre main continue de le caresser sur sa poitrine. Et maintenant tu dégages sa braguette !
– Et tu sors son épée ! dit elle en ouvrant sa blouse, n’ayant rien en dessous, je voyais ses tétons gonflés et durs. Pour compléter elle passa une main sur ses seins et l’autre sous son shorty pour se caresser !
– Mais Brigitte, il est déjà tout dur !
– Bien sûr et tu vas reculer la peau de son prépuce pour bien montrer le gland dans toute sa splendeur ! Regarde bien il y a déjà une goutte qui perle ! Tu peux la lécher !
– Tu crois que Pierre va aimer ?
– Mais oui, tu es une petite salope, comme si tu ne le savais pas ! ajouta-t-elle d’une voix rogue que je connaissais trop bien …
Je vis la bouche de Ninah se rapprocher de la pointe de mon épée et recueillir cette goutte tout en délicatesse, puis très lentement enfoncer ma bite dans sa bouche en aspirant comme pour sucer le liquide restant.
Je ne pouvais plus rester inactif, la vue de Ninah et celle de Brigitte qui tout en l’encourageant se masturbait, me firent prendre la tête de Ninah pour pousser doucement sa bouche plus loin sur mon gourdin !
– Maintenant dit Brigitte tu vas le laisser et tu vas enlever ton nouveau top et ton short et tu vas te coucher dans le divan en écartant tes jambes pour bien montrer ta chatte !
Je n’en pouvais plus, Brigitte était sublime dans son rôle de metteur en scène, elle cessa de se caresser pour prendre une capote et la dérouler avec dextérité sur ma verge.
– Maintenant Pierre, tu vas faire jouir ta servante comme il se doit ! je veux être certaine qu’en mon absence tu pourras te souvenir de moi, même si ma peau n’a pas la même couleur ! Vas-y doucement, tu jouiras quand elle aura crié ton nom et pas avant !
Je me mis au-dessus de Ninah et Brigitte dans un geste charitable pointa ma verge devant le vagin foncé mais ruisselant de Ninah. Ninah m’encerclait de ses bras pour bien montrer son consentement et gémis pendant que je la pénétrais avec douceur.
Quelle différence par rapport à l’étreinte la veille avec la fougue de Lysa, ici tout était douceur et jouissance. Brigitte s’était déshabillée et vint se mettre sur la bouche de Ninah qui comprit le message et inséra sa langue dans le vagin trempé de Brigitte.
Était-ce la dextérité de la langue de Ninah ou la tension sexuelle de Brigitte mais sans doute les deux, mais pendant que je venais et allais lentement dans le vagin de Ninah, Brigitte explosa dans un orgasme violent en criant « Ninah ! oh ouiiii ! ». Je pouvais donc accélérer la cadence pour que Ninah jouisse à son tour, dans son orgasme elle prit ma bouche de ses lèvres et eut encore assez de force pour introduire sa langue et me communiquer la fraîcheur de sa salive. C’était de trop, son baiser sensuel et inattendu déclencha la montée de mon sperme dans un éblouissement sans nom ! Je ne pouvais plus mais Ninah gardait toujours sa langue dans ma bouche tout en vibrant encore de son vagin qui me procura une jouissance supplémentaire !
Ce fut Brigitte qui eut la conclusion :
– Eh bien, merci à tous les deux ! Je n’ai jamais connu quelque chose d’aussi intense. Pierre et Ninah, c’était beau de vous voir ensemble. Pierre, tu devras revoir ton jugement car tu aimes la peau noire ! c’est évident…
NDA : je vais couper ici la séquence pour vous permettre de reprendre haleine et de retirer votre main de votre petite culotte ou boxer selon votre genre !
Le week-end de Brigitte n’est pas encore fini, mais je sens que lundi matin les adieux seront émotionnants !
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