Jour 34 (semaine 5 – samedi) soir.

### Pierre ###

En rentrant après le repas, nous allâmes immédiatement dans la chambre, Amina se dévêtit entièrement et se coucha sur le lit sans se couvrir. Je fis pareil, mais ma lance était déjà dressée à la guerre et Amina me fit signe de m’approcher.

J’étais debout à côté du lit et elle prit mon pieu entre ses mains, un peu timidement elle parcourait de haut en bas mon engin pour l’admirer et je sentis venir le moment où elle allait le gober !

Je lui rappelai qu’on avait promis de téléphoner à Ninah et elle me demanda de m’allonger à côté d’elle. Ninah répondit à la première sonnerie !

– Tu es gentil Pierre de tenir ta promesse !

– Où es-tu Ninah ?

– Je suis couchée sur le lit de ta chambre, je me suis déshabillée totalement mais je n’ai pas mis la clim ! J’aime bien transpirer un peu en t’attendant, de toute façon je sens le lait de coco mais pas la négresse !

– Tu t’es déjà caressée en attendant mon appel ?

– Oui Pierre, mais mon vagin est sec et je comptais le lubrifier et mettre le vibro entre mes jambes.

– C’est bien ma gazelle, je vais te raconter ce que nous faisons ici, Je suis nu et mon serpent est déjà dressé. Amina est couchée à côté de moi. Elle est nue comme toi, moi je ne fais encore rien, mais je lui demande de se caresser les seins, doucement en passant avec la pulpe de ses doigts sur les tétons. Tu fais la même chose !

– Oui patron !

– Pourquoi tu m’appelles « patron » ?

– Parce que je suis ton esclave ! et j’aime satisfaire tes désirs.

– C’est très bien, maintenant Amina va masser ses aréoles en tournant autour des tétons en les touchant doucement, une main sur chaque sein ! Amina trouve ça très agréable, de plus elle voit ma lance qui se redresse ! Et toi ?

– Je me caresse comme Amina, cela me donne des chatouilles aux orteils et je vois ta lance, ce n’est plus un serpent couché dans l’herbe mais il se dresse comme le naja et sa tête gonfle un peu devant moi ! C’est délicieux patron, tes caresses me font mouiller !

– Oui Amina mouille aussi, elle gémit même un peu ! c’est bien Ninah ! continue de bien regarder le naja dans les yeux !

– Oui patron, je n’ai pas peur, je sais qu’il ne fera pas mal. J’ai envie de le sentir dans mon corps !

– C’est bien ma gazelle, maintenant tu gardes ta main gauche sur les seins en écartant tes doigts pour toucher les deux tétons ensemble.

– Je n’y arrive pas, ma main est trop petite patron !

– Si Ninah tu peux y arriver, tourne-toi légèrement sur ton flanc droit, ton sein gauche va se rapprocher.

– Oui patron, ça marche et le naja fait gonfler sa tête qui devient foncée ! Le naja cherche mon minou !

– C’est ça ! va sur ton minou avec ta main droite, Amina fait pareil, glisse un doigt entre tes lèvres intimes !

– Oui patron, mon minou est tout mouillé !

Amina fit pareil et je vis la cyprine épaisse couler sur ses doigts.

– Maintenant mets ce doigt mouillé dans ta bouche et suce le bien !

Amina suivit mes instructions également et je vis ses yeux se révulser de désir.

– Recommence, remets ton doigt dans ta mouille et suce encore et n’oublie pas les caresses sur tes seins ! C’est bon ton doigt ?

– Oh, oui c’est très bon, je vois le naja qui veut mordre mes seins !

– Très bien pince un peu tes tétons de la main gauche et mets deux doigts dans ton minou pour titiller ton bijou !

Je vis Amina se masturber brutalement.

– Non Ninah, caresse ton bijou doucement, laisse ton désir grimper en douceur.

Mon gourdin devenait douloureux sous l’érection, je ne pouvais plus attendre pour me caresser lentement. Amina gémissait de plus en plus tout en regardant ma masturbation lente et j’entendis Ninah qui montait dans les octaves.

– Mets un troisième doigt et appuie plus fort sur ton bijou ! Écarte un peu tes jambes pour augmenter le mouvement.

Amina devant moi se masturbait en puissance, elle cria sa jouissance en se recroquevillant sur sa main.

– Oh patron encore ! cria Ninah dans mon téléphone, le naja va cracher son venin ! Je jouis ! oh c’est bon !

À ce moment-là Amina reçut mon sperme sur ses seins, elle le cueillit sur ses doigts pour le mettre en bouche.

– Lèche tes doigts maintenant Ninah ! c’était bon ?

– Oh oui patron, on recommencera ?

– Oui Ninah, mais demain soir on sera ensemble, et je te caresserai de mes mains ! Repose-toi maintenant !

– Oui patron merci, je vais bien dormir maintenant dans tes draps, j’ai mis ton coussin entre mes seins et mes jambes, je sens ton odeur !

– À demain Ninah, dors bien !

Je raccrochai et me tournai vers Amina qui vint nettoyer ma verge du sperme encore présent, mais comme d’habitude mon gourdin ne rendit pas les armes et Amina reprit sa caresse buccale pour me faire jouir une seconde fois libérant toute l’excitation que ce dialogue m’avait procuré.

Je pris la bouche d’Amina pour goûter mon jus, puis pris mon amante dans mes bras en plaçant une main entre ses jambes, son corps vibrait encore. Elle finit par se calmer et nous nous endormîmes de concert !

Jour 34 (semaine 5 – dimanche) matin.

### Amina ###

Au matin je sentis la verge de Pierre en érection matinale entre mes cuisses ! Mon désir et mon envie de faire l’amour n’avaient pas diminué ! La séance de masturbation par téléphone m’avait vraiment excitée. J’avais entendu Ninah, crier son orgasme, quasi en même temps que moi mais cela m’avait laissé sur ma faim.

Sa main était toujours coincée entre mes jambes, son serpent entre mes cuisses et je voulais plus encore. Je voulais qu’il me fasse sa femme, qu’il ne puisse plus reculer, que je puisse dire à ma mère ce soir que je m’étais donnée à lui sans restrictions ! Quelle tentation ! Je reculai doucement le drap léger qui recouvrait le corps de Pierre, il ne bougea pas et je vis sa lance dressée dans toute sa splendeur ! Je glissai mon torse sur son engin provoquant l’érection de mes tétons, qui devinrent vraiment durs par ce massage. Je pris donc l’initiative d’enserrer sa verge entre mes seins pour la masser et mettre le gland dénudé en bouche à chaque fois qu’elle émergea d’entre mes seins.

Je sentis très rapidement ses mains sur ma tête avec la ferme intention de coller ma bouche encore plus près à chaque mouvement. Il gémit de plus belle et je vis des gouttes perler à son méat, je ne pus résister à l’envie d’aspirer le jus, j’eus l’impression de vider le conduit et d’appeler le sperme à surgir !

– Amina, Mbote na yo (bonjour), tu es délicieuse ce matin. Tu n’as pas été satisfaite hier soir ?

– Non, patron je veux tout de toi ce matin ! dans ma bouche et dans mon vagin ! Je veux pouvoir dire à maman que je suis ta femme et que je porterai bientôt ton enfant !

– Ta mère me coupera mes attributs et je serai eunuque ! Tu n’auras plus de caresses autrement que par ma bouche !

– Non, Pierre je te défendrai, j’empêcherai maman de prendre un couteau !

– Elle peut le faire avec ses dents ! J’ai lu il y a longtemps que des femmes se vengeaient en mangeant le pénis et les testicules de leur agresseur ! Ninah l’aurait bien fait si elle en avait eu l’opportunité avec son oncle !

– Non, maman ne fera jamais cela, si j’ai bien compris ton aveu elle ne gaspillera pas tes attributs, elle t’emprisonnera dans l’atelier pour jouir de toi en exclusivité !

– Quelle douce punition !

– Oui, dans tes rêves ! Je viendrai voir comment elle te punira et j’y mettrai peut-être mon grain de sel !

– Tu ferais alliance avec ta mère ?

– Oh oui, plutôt que de te perdre !

– Alors je suis perdu !

Je voulus enfoncer sa verge dans mon intimité, mais il était trop excité et son sperme jaillit entre mes seins à mon grand désappointement !

– Pierre, non ! D’habitude tu parviens à te retenir ! Que se passe-t-il ?

– Désolé, la vue de ta mère mangeant mes attributs m’a fait perdre mes moyens, l’image dans mon esprit était trop forte !

– Tu me prives de mon plaisir et en plus ton soldat se rend ? Maman te fait donc peur à ce point ?

– Rappelle-toi sa menace au téléphone avec le DG ! si pas d’alliance pas de sexe !

– Tant pis ! ce sera pour ce soir, viens te laver avec moi. Je ne veux pas sentir ton sperme en disant au revoir à la gérante et la déléguée syndicale !

Mes seins étaient encore gonflés de désir, mais une douche à deux me rappelait le plaisir de se toucher, la caresse de l’éponge savonnée avait ce pouvoir calmant et mes tétons se firent moins douloureux.

En perspective du trajet en voiture je mis un boubou gris clair simple mais je laissai mon corps nu en dessous pour qu’il puisse me caresser sur le retour à l’abri du regard de Zakpa si l’envie me prenait de vouloir sentir sa main sur mon corps.

En finale, après les longs adieux de l’équipe locale il était midi passé lorsqu’on se mit en route. En comptant un arrêt pour pique-niquer je ne nous vis pas arriver avant la fin de l’après-midi et donc plus question de jouir ensemble avant l’arrivée de maman.

En voiture je devais garder mes distances pour sauver les apparences vis-à-vis du chauffeur et me contentai de garder la main de Pierre dans la mienne.

Mais comment aborder la discussion avec maman ? Pierre m’avait encore recommandé lorsque nous parlions tendrement sous la douche de ne pas engager la guerre avec maman. Pour des raisons familiales et aussi d’éviter que maman ne se venge sur Pierre par l’intermédiaire de l’entreprise ! Au pire elle pouvait via sa sphère d’influence, casser le permis de travail de Pierre et l’obliger ainsi de retourner en Europe ! ça, je ne pouvais l’imaginer je connaissais trop les lois d’immigration en France pour les avoir côtoyés pendant mes études et pour savoir qu’il me serait difficile de le rejoindre sans être mariée.

Je devais croire Pierre lorsqu’il disait que maman avait des pulsions sexuelles immenses et que Pierre avait cette qualité de bien connaître le corps de la femme. Ce n’est pas pour rien que Brigitte lui courrait après !

Oh, quand viendra-t-elle encore à Kin ? J’espère la rencontrer cette fois, Ninah m’avait certifié que c’était une belle femme sa poitrine un peu plus grosse que la mienne mais pas comme certaines Européennes qui avaient des poitrines lourdes de graisse !

Et si je partageais Pierre avec maman, comme pour Ninah ? Les jeux à trois étaient plaisants et Pierre avait assez de ressources sexuelles ! Par contre maman n’était pas encore ménopausée et j’avais lu il y a quelque temps que la ménopause n’entamait en rien le désir !

Je ne pouvais ignorer les cycles de maman, car pendant ses périodes rouges elle était souvent déprimée et un peu agressive ! Mais en y réfléchissant cela faisait plus d’un mois qu’elle n’était pas réglée ! Je pouvais exclure qu’elle soit enceinte, prenait-elle la pilule ? Ce ne serait pas étonnant si elle voulait copuler avec Pierre et être disponible tout le temps!

Pierre me sortit de mes réflexions car je n’avais pas compris que la voiture était arrêtée devant l’hôtel de Mbanza-Ngungu !

– Mais Pierre on n’est pas dans la bonne direction ! Kinshasa est dans l’autre sens !

– Oui ma grande, tu devais être vraiment distraite pour ne pas avoir remarqué ce changement de trajet ! Je me suis dit que c’était une bonne occasion de ramener des fraises dont tu m’avais parlé lors du voyage précédent. Nous allons prendre un repas léger et tu iras avec Zakpa chercher des fraises en quantités suffisantes pour ce soir !

– Oh Pierre, c’est génial d’autant plus que Maman et Ninah seront ravies de cet extra. À Kinshasa on les vend à un prix exorbitant ! C’est plus cher que l’or !

– C’est bien à elles que je pensais, surtout à ta maman qu’il faudra amadouer !

– Oui, Pierre j’y pensais durant le trajet !

– Amina, détends-toi, on trouvera une solution !

NDA : Voilà ! On arrive tout doucement à la fin du tome I le fichier Word devient vraiment trop lourd (400 pages A4 !) la semaine prochaine, c’est le dernier épisode du tome I. Ce sera une bonne coupure après cette soirée et la grande explication entre Lysa, Amina et Pierre ?