Les Amants

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Dans la chambre d'Hugo, baignée par la douce lueur de la lune filtrant à travers les rideaux, l'air était chargé d'une tension palpable. Hugo, le brun aux yeux vert émeraude, se tenait face à Anaëlle, la brune aux yeux bleus, dont la silhouette se découpait magnifiquement dans l'obscurité. Leurs respirations s'accordaient dans un rythme effréné alors qu'ils étaient submergés par une passion dévorante. Ils savaient tous deux que la présence de Thomas, le grand frère d'Hugo, dans la chambre d’à côté, imposait le silence et la discrétion. Chaque mouvement devait être calculé, chaque baiser étouffé, pour ne pas troubler son sommeil.

Pourtant, leur désir ardent brûlait comme un feu incontrôlable, les poussant l'un vers l'autre avec une urgence irrépressible. Hugo prit délicatement le visage d'Anaëlle entre ses mains, ses doigts effleurant sa peau douce comme de la soie. Leurs lèvres se trouvèrent dans un baiser langoureux, leurs langues se cherchant avec une fougue passionnée. Elles dansaient en parfaite harmonie, s'entremêlant dans un échange passionné qui les laissait à bout de souffle. Anaëlle gémit doucement contre sa bouche, ses mains se perdant dans les mèches épaisses de ses cheveux bruns. Anaëlle glissa ses mains sous le t-shirt de Hugo, explorant chaque muscle avec une délectation avide. Il frissonnait sous ses caresses, sentant son désir monter en flèche à chaque contact.

Puis, Anaëlle entreprit de dévoiler son corps à Hugo. Ses doigts agiles glissèrent le long de ses courbes, défaisant chaque bouton avec une précision calculée. Le débardeur d'Anaëlle tomba au sol, révélant le rouge éclatant de son soutien-gorge en dentelle qui accentuait la courbe généreuse de sa poitrine. Un frisson d'excitation parcourut l'échine d'Hugo à la vue de cette vision envoûtante. Il la contempla avec admiration, émerveillé par sa beauté captivante. Hugo, ne pouvant résister plus longtemps à la tentation, laissa ses mains vagabonder sur le corps d'Anaëlle, explorant chaque creux et chaque vallée avec une adoration brûlante. Ses lèvres embrassèrent chaque centimètre de peau nue, traçant un chemin de feu sur son ventre, ses cuisses, ses seins. Anaëlle, en proie à une passion dévorante, se laissa emporter par les caresses enivrantes d'Hugo. Ses gémissements se mêlaient aux soupirs étouffés alors qu'elle s’abandonnait à ses étreintes, chaque sensation décuplant son désir. Leurs corps enlacés, ils se laissèrent emporter par la vague de plaisir qui les submergeait, perdus dans l'étreinte de l'autre. Chaque mouvement, chaque contact était empreint d'une intensité brûlante, les consumant dans les flammes de la passion.

Les mains d’Hugo glissèrent vers la culotte d’Anaëlle, la faisant glisser jusqu'au sol. Il s'interrompit pour contempler la luxuriante forêt qui menait à l'extase. Son regard parcourut chaque courbe, chaque repli de cette forêt luxuriante qui promettait une aventure exquise. Délicatement, il pressa ses doigts contre la porte de ce paradis ultime prêt à s'aventurer plus profondément dans le dédale de sensations qui les attendait. Les allers-retours de leurs étreintes étaient comme une danse enivrante, un ballet passionné où le désir était le maître de cérémonie. Ils se mouvaient ensemble, synchronisés dans leur quête de plaisir, leurs soupirs se mêlant dans un murmure enivrant qui résonnait dans l'intimité de la chambre.

Et alors que le feu de leur passion s'intensifiait, que les vagues du plaisir commençaient à les emporter vers des rivages inexplorés, un cri s'échappa des lèvres d'Anaëlle, brisant l'étreinte de la nuit. Hugo, submergé par l'extase et l'urgence du moment, réagit instinctivement, pressant sa main sur les lèvres d'Anaëlle pour étouffer le son de son plaisir. Thomas, son frère, dormait paisiblement à quelques pas de là. Dans le silence qui suivit, un sourire complice naquit sur les lèvres d'Anaëlle, un sourire qui exprimait à la fois l'excitation partagée et le désir de préserver leur secret. "Désolée, Hugo," murmura-t-elle, ses yeux pétillants d'une lueur espiègle, "mais c'était tout simplement irrésistible. Je ferai de mon mieux pour être plus discrète à l'avenir." Après cet épisode, Hugo prit Anaëlle par les hanches et la poussa sur le dos, il lui ouvrit les jambes. Il la regarda et vit dans ses yeux cette lueur de désir qui lui disait « Vas-y ! ».

Alors, sans attendre, Hugo pénétra dans Anaëlle, la fait gémir de plaisir. Leurs corps se cherchaient avec une ferveur animale. Les hanches d’Hugo s'abandonnaient à un rythme sauvage et incontrôlable. Chaque coup de rein était comme un marteau frappant un enclume, créant des étincelles de plaisir qui électrisaient leur connexion charnelle. Anaëlle gémissait de plaisir sous ses mouvements, "Oui, Hugo, comme ça," murmura-t-elle d'une voix rauque, ses ongles s'enfonçant dans le dos d'Hugo. Les mots d'Anaëlle excitèrent Hugo davantage, alimentant le feu qui brûlait en lui. Il accéléra le rythme de ses coups de rein, s'enfonçant plus profondément en elle à chaque mouvement. "Tu aimes ça, hein ?" souffla-t-il à son oreille, sa voix rauque de désir. Anaëlle acquiesça avec un plainte étouffée, incapable de former des mots cohérents alors que les vagues de plaisir la submergeaient. Elle attrapa les épaules d'Hugo, les griffant avec une urgence désespérée, cherchant un ancrage dans le tumulte de sensations qui la submergeaient. Hugo sentit le plaisir monter en lui, une énergie brute et primitive qui menaçait de le submerger. Il se laissa emporter par la vague de sensation qui l'envahissait, ses mouvements devenant plus féroces, plus urgents, alors qu'il cherchait à combler Anaëlle de tout son être.

Cette danse sauvage dura de longues minutes jusqu’à ce que les gouttes de sueurs envahissant le corps des deux amants. Hugo et Anaëlle se regardèrent quelques secondes. Puis, Anaëlle décida d’user de ces dernières forces pour remercier son bienfaiteur. « Allonge-toi là, mon beau, dit-elle ». Anaëlle se mit à quatre pattes et prit le sexe de son Hugo à deux mains. Elle le malaxa doucement dans ses mains. Il était dur et ferme. Elle le mit dans sa bouche et son manège commença. Elle sentit la main d’Hugo derrière sa tête. Puis, elle entendit la porte s’ouvrir et Hugo se raidir. Elle tourna la tête et vit Thomas. Il était bouche-bé, les yeux exorbités. Ses yeux se posèrent sur cette scène atroce. Son petit frère était en train de se faire bouffer le pénis par sa propre copine complètement dévêtue.

« Eh merde », lâcha Anaëlle.

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