Rouge de gêne, de honte ou de colère, rouge sang, écarlate, vermillon ou carmin, rouge pivoine, coquelicot, groseille, cerise, fraise, framboise, tomate, piment ou écrevisse…?

Terre rouge, ocre rouge des Beaux ou de Roussillon ?  

Echarpe rouge « mitterrandienne », « mélanchoniste », ou « barbieriste » ?

Croix rouge sur fond blanc, salvatrice, ou croix blanche sur fond rouge, helvétique, ou croix rouges des templiers ?

Rouge cardinalice ou pourpre cardinale, rouge royal, impérial, rouge des interdits, des amours, du danger, du plaisir, de l’enfer, rouge du luxe Louboutin ou rouge du stupre des lupanars ?  

Rouge de Bordeaux ou Beaujolais ?

Amours et rose rouge ou sexe et velours rouge ?

Justice ou spectacle, pourpre des assises ou rideau rouge du théâtre ou de l’opéra ?  

Le rouge du pouvoir ou des révoltés ?

L’armée rouge ou les gardes rouges ?

La vitalité, la vigueur, le combat ou les tendances agressives, les pulsions sexuelles, le désir amoureux, la passion ou le besoin de conquêtes ?  

Rouge tout est rouge : Les lèvres rouges à baiser, le cordon rouge à boire, le fil rouge à suivre, le label rouge à préférer, le carton rouge à expulser, la piste rouge à déconseiller, le bâbord à peindre en rouge, le nez du clown à grimer en rouge, le Père Noël à vêtir de rouge, les pommes d’amour à rougir.

L’érable ou le chêne rouge ?

Le rouge ou le noir de Stendhal ?

Le rouge est mis de Gilles Grangier !...